Contenu
Notre programme qualité
Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.
Description de l’état d’un livre :
Très bon :
- Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
- Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
- Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées
- La couverture est en parfait étatVous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !
Bon:
- Livre déjà lu et usagé
- Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
- Aucune page n’est manquante
- La couverture est intacte
Correct:
- Livre usagé avec des marques d’usure visibles (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
- Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
- Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
- La couverture de protection peut être manquante
Le Pitch
Présentation
Dans les années 1970, les travaux de Daniel Kahneman et Amos Tversky ont montré que le jugement humain et la prise de décision reposent souvent sur des heuristiques (raccourcis mentaux) pouvant donner lieu à des biais cognitifs (déviations systématiques par rapport à une norme rationnelle). Par exemple, nous avons tendance par excès de confiance à surestimer nos chances de réussite lorsque l’on démarre un projet. Le biais de disponibilité fait que nos jugements sont influencés par l’information la plus disponible en mémoire. Le biais de confirmation nous amène à privilégier les informations qui confortent nos croyancesplutôt que celles qui les infirment. Ces travaux, qui ont valu à Kahneman le prix Nobel d’économie en 2002, ont eu une portée considérable en sciences sociales. Ils montrent les limites de la rationalité humaine et l’importance de les considérer pour éviter les erreurs de décision. Longtemps confinée à la recherche fondamentale, la thématique des biais cognitifs commence à franchir les murs des laboratoires de recherche pour trouver écho sur le terrain de la pratique. Dirigeants, managers, médecins, juristes, financiers, les biais cognitifs sont une réalité susceptible d’impacter les décisions de tous ces professionnels dans leur pratique quotidienne.
Ce livre a un double objectif : présenter de façon vulgarisée les principaux biais cognitifs et fournir les clés pour éviter qu’ils impactent les décisions. L’enjeu est de permettre aux managers et aux professionnels d’être conscients des biais susceptibles d’influencer leurs décisions et de disposer d’outils permettant de maîtriser cette influence. Dans un monde marqué par une complexité informationnelle et technologique croissante, savoir éviter les erreurs de décision devient une compétence clé. Pour cela, cet ouvrage présente le premier test psychométrique pour évaluer les biais cognitifs : le CBI (Cognitive Bias Inventory).
,4e de couverture
Dans les années 1970, les travaux de Daniel Kahneman et Amos Tversky ont montré que le jugement humain et la prise de décision reposent souvent sur des heuristiques (raccourcis mentaux) pouvant donner lieu à des biais cognitifs (déviations systématiques par rapport à une norme rationnelle). Par exemple, nous avons tendance par excès de confiance à surestimer nos chances de réussite lorsque l’on démarre un projet. Le biais de disponibilité fait que nos jugements sont influencés par l’information la plus disponible en mémoire. Le biais de confirmation nous amène à privilégier les informations qui confortent nos croyances plutôt que celles qui les infirment. Ces travaux, qui ont valu à Kahneman le prix Nobel d’économie en 2002, ont eu une portée considérable en sciences sociales. Ils montrent les limites de la rationalité humaine et l’importance de les considérer pour éviter les erreurs de décision. Longtemps confinée à la recherche fondamentale, la thématique des biais cognitifs commence à franchirles murs des laboratoires de recherche pour trouver écho sur le terrain de la pratique. Dirigeants, managers, médecins, juristes, financiers, les biais cognitifs sont une réalité susceptible d’impacter les décisions de tous ces professionnels dans leur pratique quotidienne.
Ce livre a un double objectif : présenter de façon vulgarisée les principaux biais cognitifs et fournir les clés pour éviter qu’ils impactent les décisions. L’enjeu est de permettre aux managers et aux professionnels d’être conscients des biais susceptibles d’influencer leurs décisions et de disposer d’outils permettant de maîtriser cette influence. Dans un monde marqué par une complexité informationnelle et technologique croissante, savoir éviter les erreurs de décision devient une compétence clé. Pour cela, cet ouvrage présente le premier test psychométrique pour évaluer les biais cognitifs : le CBI (Cognitive Bias Inventory).
Le Pitch
Présentation
Dans les années 1970, les travaux de Daniel Kahneman et Amos Tversky ont montré que le jugement humain et la prise de décision reposent souvent sur des heuristiques (raccourcis mentaux) pouvant donner lieu à des biais cognitifs (déviations systématiques par rapport à une norme rationnelle). Par exemple, nous avons tendance par excès de confiance à surestimer nos chances de réussite lorsque l’on démarre un projet. Le biais de disponibilité fait que nos jugements sont influencés par l’information la plus disponible en mémoire. Le biais de confirmation nous amène à privilégier les informations qui confortent nos croyancesplutôt que celles qui les infirment. Ces travaux, qui ont valu à Kahneman le prix Nobel d’économie en 2002, ont eu une portée considérable en sciences sociales. Ils montrent les limites de la rationalité humaine et l’importance de les considérer pour éviter les erreurs de décision. Longtemps confinée à la recherche fondamentale, la thématique des biais cognitifs commence à franchir les murs des laboratoires de recherche pour trouver écho sur le terrain de la pratique. Dirigeants, managers, médecins, juristes, financiers, les biais cognitifs sont une réalité susceptible d’impacter les décisions de tous ces professionnels dans leur pratique quotidienne.
Ce livre a un double objectif : présenter de façon vulgarisée les principaux biais cognitifs et fournir les clés pour éviter qu’ils impactent les décisions. L’enjeu est de permettre aux managers et aux professionnels d’être conscients des biais susceptibles d’influencer leurs décisions et de disposer d’outils permettant de maîtriser cette influence. Dans un monde marqué par une complexité informationnelle et technologique croissante, savoir éviter les erreurs de décision devient une compétence clé. Pour cela, cet ouvrage présente le premier test psychométrique pour évaluer les biais cognitifs : le CBI (Cognitive Bias Inventory).
,4e de couverture
Dans les années 1970, les travaux de Daniel Kahneman et Amos Tversky ont montré que le jugement humain et la prise de décision reposent souvent sur des heuristiques (raccourcis mentaux) pouvant donner lieu à des biais cognitifs (déviations systématiques par rapport à une norme rationnelle). Par exemple, nous avons tendance par excès de confiance à surestimer nos chances de réussite lorsque l’on démarre un projet. Le biais de disponibilité fait que nos jugements sont influencés par l’information la plus disponible en mémoire. Le biais de confirmation nous amène à privilégier les informations qui confortent nos croyances plutôt que celles qui les infirment. Ces travaux, qui ont valu à Kahneman le prix Nobel d’économie en 2002, ont eu une portée considérable en sciences sociales. Ils montrent les limites de la rationalité humaine et l’importance de les considérer pour éviter les erreurs de décision. Longtemps confinée à la recherche fondamentale, la thématique des biais cognitifs commence à franchirles murs des laboratoires de recherche pour trouver écho sur le terrain de la pratique. Dirigeants, managers, médecins, juristes, financiers, les biais cognitifs sont une réalité susceptible d’impacter les décisions de tous ces professionnels dans leur pratique quotidienne.
Ce livre a un double objectif : présenter de façon vulgarisée les principaux biais cognitifs et fournir les clés pour éviter qu’ils impactent les décisions. L’enjeu est de permettre aux managers et aux professionnels d’être conscients des biais susceptibles d’influencer leurs décisions et de disposer d’outils permettant de maîtriser cette influence. Dans un monde marqué par une complexité informationnelle et technologique croissante, savoir éviter les erreurs de décision devient une compétence clé. Pour cela, cet ouvrage présente le premier test psychométrique pour évaluer les biais cognitifs : le CBI (Cognitive Bias Inventory).