Contenu
Notre programme qualité
Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.
Description de l’état d’un livre :
Très bon :
- Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
- Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
- Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées
- La couverture est en parfait étatVous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !
Bon:
- Livre déjà lu et usagé
- Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
- Aucune page n’est manquante
- La couverture est intacte
Correct:
- Livre usagé avec des marques d’usure visibles (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
- Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
- Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
- La couverture de protection peut être manquante
Le Pitch
4e de couverture
Le design n'est pas une science exacte. Si la fabrication d'objets ou de systèmes de communication relève d'un besoin, d'une connexion avec une société, un public, à des médias, des matériaux et des moyens techniques contemporains, elle ne se résout jamais dans une simple formule. Sa réussite, sa capacité à saisir le regard étant inhérente à l'effet de surprise, il suffit d'une équation pour que, l'instant d'après, celle-ci ne soit plus valable. Le réemploi, la reproduction annihilent la fraîcheur d'une idée, d'une image dans le regard de l'autre. Entre pragmatisme et imagination, une fragile complémentarité est possible, une combinaison dans laquelle deux attitudes, a priori opposées, peuvent se soutenir l'une l'autre, en se renforçant.Comment enseigner cet art de la réinvention, cette faculté à créer la surprise tout en restant connectés aux besoins d'une époque? Dans leurs diversités, les travaux des jeunes diplômés des écoles d'art et de design offrent quelques éléments de réponse.
La fascination d'un graphiste ou d'un designer pour son environnement se nourrit de culture et de connaissances, d'expériences, de rencontres. Une tension vers l'autre, l'inconnu, le différent, l'obscur, le lointain, qu'une fois le temps des études passé, il faudra entretenir par soi-même. Une avidité du regard, une propension à se mettre en danger, à se renouveler, alors même que le monde du travail dans lequel nous évoluons tend à la reproduction des schémas et des solutions. Héritage du fordisme ou tentation de la facilité, ce paradigme constitue un filet dans lequel viennent se briser les rêves et les ambitions de ceux qui apprécient l'air frais des vols en altitude. Il faudra aux jeunes designers développer l'art des pourparlers, de la diplomatie autant que de témérité et de stratégies d'évasion pour réaliser les images et les rêves à venir. Et de considérer, dix ans, vingt ans, trente ans après être sorti de l'école qu'il n'est jamais trop tard pour les réaliser.,
Présentation
Le design n'est pas une science exacte. Si la fabrication d'objets ou de systèmes de communication relève d'un besoin, d'une connexion avec une société, un public, à des médias, des matériaux et des moyens techniques contemporains, elle ne se résout jamais dans une simple formule. Sa réussite, sa capacité à saisir le regard étant inhérente à l'effet de surprise, il suffit d'une équation pour que, l'instant d'après, celle-ci ne soit plus valable. Le réemploi, la reproduction annihilent la fraîcheur d'une idée, d'une image dans le regard de l'autre. Entre pragmatisme et imagination, une fragile complémentarité est possible, une combinaison dans laquelle deux attitudes, a priori opposées, peuvent se soutenir l'une l'autre, en se renforçant.Comment enseigner cet art de la réinvention, cette faculté à créer la surprise tout en restant connectés aux besoins d'une époque? Dans leurs diversités, les travaux des jeunes diplômés des écoles d'art et de design offrent quelques éléments de réponse.
La fascination d'un graphiste ou d'un designer pour son environnement se nourrit de culture et de connaissances, d'expériences, de rencontres. Une tension vers l'autre, l'inconnu, le différent, l'obscur, le lointain, qu'une fois le temps des études passé, il faudra entretenir par soi-même. Une avidité du regard, une propension à se mettre en danger, à se renouveler,alors même que le monde du travail dans lequel nous évoluons tend à la reproduction des schémas et des solutions. Héritage du fordisme ou tentation de la facilité, ce paradigme constitue un filet dans lequel viennent se briser les rêves et les ambitions de ceux qui apprécient l'air frais des vols en altitude. Il faudra aux jeunes designers développer l'art des pourparlers, de la diplomatie autant que de témérité et de stratégies d'évasion pour réaliser les images et les rêves à venir. Et de considérer, dix ans, vingt ans, trente ans après être sorti de l'école qu'il n'est jamais trop tard pour les réaliser.
Le Pitch
4e de couverture
Le design n'est pas une science exacte. Si la fabrication d'objets ou de systèmes de communication relève d'un besoin, d'une connexion avec une société, un public, à des médias, des matériaux et des moyens techniques contemporains, elle ne se résout jamais dans une simple formule. Sa réussite, sa capacité à saisir le regard étant inhérente à l'effet de surprise, il suffit d'une équation pour que, l'instant d'après, celle-ci ne soit plus valable. Le réemploi, la reproduction annihilent la fraîcheur d'une idée, d'une image dans le regard de l'autre. Entre pragmatisme et imagination, une fragile complémentarité est possible, une combinaison dans laquelle deux attitudes, a priori opposées, peuvent se soutenir l'une l'autre, en se renforçant.Comment enseigner cet art de la réinvention, cette faculté à créer la surprise tout en restant connectés aux besoins d'une époque? Dans leurs diversités, les travaux des jeunes diplômés des écoles d'art et de design offrent quelques éléments de réponse.
La fascination d'un graphiste ou d'un designer pour son environnement se nourrit de culture et de connaissances, d'expériences, de rencontres. Une tension vers l'autre, l'inconnu, le différent, l'obscur, le lointain, qu'une fois le temps des études passé, il faudra entretenir par soi-même. Une avidité du regard, une propension à se mettre en danger, à se renouveler, alors même que le monde du travail dans lequel nous évoluons tend à la reproduction des schémas et des solutions. Héritage du fordisme ou tentation de la facilité, ce paradigme constitue un filet dans lequel viennent se briser les rêves et les ambitions de ceux qui apprécient l'air frais des vols en altitude. Il faudra aux jeunes designers développer l'art des pourparlers, de la diplomatie autant que de témérité et de stratégies d'évasion pour réaliser les images et les rêves à venir. Et de considérer, dix ans, vingt ans, trente ans après être sorti de l'école qu'il n'est jamais trop tard pour les réaliser.,
Présentation
Le design n'est pas une science exacte. Si la fabrication d'objets ou de systèmes de communication relève d'un besoin, d'une connexion avec une société, un public, à des médias, des matériaux et des moyens techniques contemporains, elle ne se résout jamais dans une simple formule. Sa réussite, sa capacité à saisir le regard étant inhérente à l'effet de surprise, il suffit d'une équation pour que, l'instant d'après, celle-ci ne soit plus valable. Le réemploi, la reproduction annihilent la fraîcheur d'une idée, d'une image dans le regard de l'autre. Entre pragmatisme et imagination, une fragile complémentarité est possible, une combinaison dans laquelle deux attitudes, a priori opposées, peuvent se soutenir l'une l'autre, en se renforçant.Comment enseigner cet art de la réinvention, cette faculté à créer la surprise tout en restant connectés aux besoins d'une époque? Dans leurs diversités, les travaux des jeunes diplômés des écoles d'art et de design offrent quelques éléments de réponse.
La fascination d'un graphiste ou d'un designer pour son environnement se nourrit de culture et de connaissances, d'expériences, de rencontres. Une tension vers l'autre, l'inconnu, le différent, l'obscur, le lointain, qu'une fois le temps des études passé, il faudra entretenir par soi-même. Une avidité du regard, une propension à se mettre en danger, à se renouveler,alors même que le monde du travail dans lequel nous évoluons tend à la reproduction des schémas et des solutions. Héritage du fordisme ou tentation de la facilité, ce paradigme constitue un filet dans lequel viennent se briser les rêves et les ambitions de ceux qui apprécient l'air frais des vols en altitude. Il faudra aux jeunes designers développer l'art des pourparlers, de la diplomatie autant que de témérité et de stratégies d'évasion pour réaliser les images et les rêves à venir. Et de considérer, dix ans, vingt ans, trente ans après être sorti de l'école qu'il n'est jamais trop tard pour les réaliser.
Détails du livre
Contenu
4ème de couverture
Comment enseigner cet art de la réinvention, cette faculté à créer la surprise tout en restant connectés aux besoins d'une époque? Dans leurs diversités, les travaux des jeunes diplômés des écoles d'art et de design offrent quelques éléments de réponse.
La fascination d'un graphiste ou d'un designer pour son environnement se nourrit de culture et de connaissances, d'expériences, de rencontres. Une tension vers l'autre, l'inconnu, le différent, l'obscur, le lointain, qu'une fois le temps des études passé, il faudra entretenir par soi-même. Une avidité du regard, une propension à se mettre en danger, à se renouveler, alors même que le monde du travail dans lequel nous évoluons tend à la reproduction des schémas et des solutions. Héritage du fordisme ou tentation de la facilité, ce paradigme constitue un filet dans lequel viennent se briser les rêves et les ambitions de ceux qui apprécient l'air frais des vols en altitude. Il faudra aux jeunes designers développer l'art des pourparlers, de la diplomatie autant que de témérité et de stratégies d'évasion pour réaliser les images et les rêves à venir. Et de considérer, dix ans, vingt ans, trente ans après être sorti de l'école qu'il n'est jamais trop tard pour les réaliser.