Ayako, l'enfant de la nuit serie #2

Ayako, tome 2

Name: Ayako, tome 2
Brand: Tezuka, Osamu
SKU: AV-9782847893045
Price: 6.87 EUR
Availability: OutOfStock
Rating: 4.0 (123 reviews)

4.0

(123)

Audience : Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Enfermée dans la resserre familiale, Ayako ne prend pas encore la mesure de son enferment. Elle est protégée et cajolée par sa mère qui remue ciel et terre pour infléchir cette décision de la famille. Pendant ce temps Jiro est en cavale poursuivit par la police, Naoko est chassée de la maison, il ne reste plus que Shiro. Les années passent Ayako est devenu une belle jeune fille avec des désirs. N'ayant de contact qu'avec son frère Shiro, elle en fait son amant et protecteur. Le père invalide depuis son malaise lui a légué toute sa fortune ainsi qu'à Sué sa véritable mère par testament. Ne supportant pas cette idée Ichiro assassine sa femme pour l'héritage. Jiro quand à lui à bien profité de la guerre entre la Corée du Sud et la l'Amérique sous une nouvelle identité, il a fait fortune mais n'a pas oublié Ayako à qui il envoi tous les trimestres 500 milles yens qui sont déposés sur un compte. Cela fait maintenant 23 ans qu'Ayako est séquestrée dans sa cave. Shiro profite de l'absence de Ichiro pour libérer Ayako qui refuse apeurée par la vie extérieure. Ichiro se voit dans l'obligation de vendre la parcelle de terre sur laquelle se trouve la resserre qui est détruite, Ayako s'enfuit seule parmi les caisses d'un camion de déménagement... Quatrième de couverture De la chrysalide enfermée dans sa prison souterraine finit par naître le papillon Ayako, qui ainsi devient femme. Son "frère" Jiro s'est enfui et a réussi à s'enrichir grâce à un commerce interlope, profitant des désordres provoqués par la guerre de Corée... Bien loin d'être irréprochable, la famille Tengé est bousculée par la houle de l'Histoire. Biographie de l'auteur Fondateur du manga moderne, Osamu Tezuka révolutionne la bande dessinée après la Seconde Guerre mondiale, en inventant une grammaire graphique qui offre au manga des possibilités narratives aux confluents de la littérature et du cinéma. En 1946, New Treasure Island (Shin Takarajima, la Nouvelle Île au Trésor), d’après Stevenson, est le premier jalon d’une œuvre immense, sans équivalent dans la bande dessinée internationale. « Tout le manga depuis la Seconde Guerre mondiale s’est élaboré à l’intérieur des formes créées par Tezuka Osamu. » écrit le critique japonais Nobuhiko Saito. Médecin de formation, Tezuka s’illustrera dans tous les genres narratifs, du conte pour enfants (Unico, Beeko-Chan) au drame historique et psychologique (Adolf, Ayako) repoussant toujours plus loin les limites de son art. Conteur sans égal, il invente le premier shôjô manga (récit pour jeunes filles) avec Princess Knight (Princesse Saphir) en 1953, le drame médical avec Black Jack (1973). Et passe avec allégresse et évidence du polar le plus noir (MW) à la tragédie (Shumari), du western (Angel Gunfighter) à la science-fiction (Wonder 3, Metropolis), de l’adaptation très personnelle d’une œuvre célèbre (Manon Lescaut, Faust, King Kong) au fantastique (Vampire, The Three-Eyed One), de l’érotisme (Pornographic Pictures ou ses longs-métrages 1.001 Nights et Cleopatra) aux robots géants (Ambassador Magma), de la biographie (Bouddha, Hidamari no Ki, Ludwig B) aux super-héros (Big X), du récit de samouraï (I’m Sarutobi, Dororo) à l’autobiographie (Makoto to Chiiko)… Quant au manga qui lui tenait le plus à cœur, c’est une fresque monumentale, mythologique et métaphysique, aux dimensions cosmiques, qui englobe tous les genres narratifs sans se réduire à aucun : Phénix.Astro Boy ou le Roi Léo (plagié par Disney en 1995 avec le Roi Lion) ont rendu Tezuka célèbre dans le monde entier. Leur créateur insufflait tellement d’âme à ses personnages que ceux-ci semblent souvent animés d’une vie propre. Tezuka rappelait à ce sujet que le verbe « animer », du latin « animare » signifie bel et bien « donner une âme ». Une formule magique qui s’appliquait aussi à ses personnages de papier.Son œuvre est également sans équivalent sur le plan quantitatif : plus de 400 volumes pour 150.000 pages dessinées. P Afficher moinsAfficher plus

Contenu

4ème de couverture

De la chrysalide enfermée dans sa prison souterraine finit par naître le papillon Ayako, qui ainsi devient femme. Son "frère" Jiro s'est enfui et a réussi à s'enrichir grâce à un commerce interlope, profitant des désordres provoqués par la guerre de Corée... Bien loin d'être irréprochable, la famille Tengé est bousculée par la houle de l'Histoire.Biographie de l'auteurFondateur du manga moderne, Osamu Tezuka révolutionne la bande dessinée après la Seconde Guerre mondiale, en inventant une grammaire graphique qui offre au manga des possibilités narratives aux confluents de la littérature et du cinéma. En 1946, New Treasure Island (Shin Takarajima, la Nouvelle Île au Trésor), d’après Stevenson, est le premier jalon d’une œuvre immense, sans équivalent dans la bande dessinée internationale. « Tout le manga depuis la Seconde Guerre mondiale s’est élaboré à l’intérieur des formes créées par Tezuka Osamu. » écrit le critique japonais Nobuhiko Saito.Médecin de formation, Tezuka s’illustrera dans tous les genres narratifs, du conte pour enfants (Unico, Beeko-Chan) au drame historique et psychologique (Adolf, Ayako) repoussant toujours plus loin les limites de son art. Conteur sans égal, il invente le premier shôjô manga (récit pour jeunes filles) avec Princess Knight (Princesse Saphir) en 1953, le drame médical avec Black Jack (1973). Et passe avec allégresse et évidence du polar le plus noir (MW) à la tragédie (Shumari), du western (Angel Gunfighter) à la science-fiction (Wonder 3, Metropolis), de l’adaptation très personnelle d’une œuvre célèbre (Manon Lescaut, Faust, King Kong) au fantastique (Vampire, The Three-Eyed One), de l’érotisme (Pornographic Pictures ou ses longs-métrages 1.001 Nights et Cleopatra) aux robots géants (Ambassador Magma), de la biographie (Bouddha, Hidamari no Ki, Ludwig B) aux super-héros (Big X), du récit de samouraï (I’m Sarutobi, Dororo) à l’autobiographie (Makoto to Chiiko)… Quant au manga qui lui tenait le plus à cœur, c’est une fresque monumentale, mythologique et métaphysique, aux dimensions cosmiques, qui englobe tous les genres narratifs sans se réduire à aucun : Phénix.Astro Boy ou le Roi Léo (plagié par Disney en 1995 avec le Roi Lion) ont rendu Tezuka célèbre dans le monde entier. Leur créateur insufflait tellement d’âme à ses personnages que ceux-ci semblent souvent animés d’une vie propre. Tezuka rappelait à ce sujet que le verbe « animer », du latin « animare » signifie bel et bien « donner une âme ». Une formule magique qui s’appliquait aussi à ses personnages de papier.Son œuvre est également sans équivalent sur le plan quantitatif : plus de 400 volumes pour 150.000 pages dessinées. Par ailleur

Tezuka

Ayako, l'enfant de la nuit serie #2

Ayako, tome 2

4.0

(123)

5,45 €

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Enfermée dans la resserre familiale, Ayako ne prend pas encore la mesure de son enferment. Elle est protégée et cajolée par sa mère qui remue ciel et terre pour infléchir cette décision de la famille. Pendant ce temps Jiro est en cavale poursuivit par la police, Naoko est chassée de la maison, il ne reste plus que Shiro. Les années passent Ayako est devenu une belle jeune fille avec des désirs. N'ayant de contact qu'avec son frère Shiro, elle en fait son amant et protecteur. Le père invalide depuis son malaise lui a légué toute sa fortune ainsi qu'à Sué sa véritable mère par testament. Ne supportant pas cette idée Ichiro assassine sa femme pour l'héritage. Jiro quand à lui à bien profité de la guerre entre la Corée du Sud et la l'Amérique sous une nouvelle identité, il a fait fortune mais n'a pas oublié Ayako à qui il envoi tous les trimestres 500 milles yens qui sont déposés sur un compte. Cela fait maintenant 23 ans qu'Ayako est séquestrée dans sa cave. Shiro profite de l'absence de Ichiro pour libérer Ayako qui refuse apeurée par la vie extérieure. Ichiro se voit dans l'obligation de vendre la parcelle de terre sur laquelle se trouve la resserre qui est détruite, Ayako s'enfuit seule parmi les caisses d'un camion de déménagement... Quatrième de couverture De la chrysalide enfermée dans sa prison souterraine finit par naître le papillon Ayako, qui ainsi devient femme. Son "frère" Jiro s'est enfui et a réussi à s'enrichir grâce à un commerce interlope, profitant des désordres provoqués par la guerre de Corée... Bien loin d'être irréprochable, la famille Tengé est bousculée par la houle de l'Histoire. Biographie de l'auteur Fondateur du manga moderne, Osamu Tezuka révolutionne la bande dessinée après la Seconde Guerre mondiale, en inventant une grammaire graphique qui offre au manga des possibilités narratives aux confluents de la littérature et du cinéma. En 1946, New Treasure Island (Shin Takarajima, la Nouvelle Île au Trésor), d’après Stevenson, est le premier jalon d’une œuvre immense, sans équivalent dans la bande dessinée internationale. « Tout le manga depuis la Seconde Guerre mondiale s’est élaboré à l’intérieur des formes créées par Tezuka Osamu. » écrit le critique japonais Nobuhiko Saito. Médecin de formation, Tezuka s’illustrera dans tous les genres narratifs, du conte pour enfants (Unico, Beeko-Chan) au drame historique et psychologique (Adolf, Ayako) repoussant toujours plus loin les limites de son art. Conteur sans égal, il invente le premier shôjô manga (récit pour jeunes filles) avec Princess Knight (Princesse Saphir) en 1953, le drame médical avec Black Jack (1973). Et passe avec allégresse et évidence du polar le plus noir (MW) à la tragédie (Shumari), du western (Angel Gunfighter) à la science-fiction (Wonder 3, Metropolis), de l’adaptation très personnelle d’une œuvre célèbre (Manon Lescaut, Faust, King Kong) au fantastique (Vampire, The Three-Eyed One), de l’érotisme (Pornographic Pictures ou ses longs-métrages 1.001 Nights et Cleopatra) aux robots géants (Ambassador Magma), de la biographie (Bouddha, Hidamari no Ki, Ludwig B) aux super-héros (Big X), du récit de samouraï (I’m Sarutobi, Dororo) à l’autobiographie (Makoto to Chiiko)… Quant au manga qui lui tenait le plus à cœur, c’est une fresque monumentale, mythologique et métaphysique, aux dimensions cosmiques, qui englobe tous les genres narratifs sans se réduire à aucun : Phénix.Astro Boy ou le Roi Léo (plagié par Disney en 1995 avec le Roi Lion) ont rendu Tezuka célèbre dans le monde entier. Leur créateur insufflait tellement d’âme à ses personnages que ceux-ci semblent souvent animés d’une vie propre. Tezuka rappelait à ce sujet que le verbe « animer », du latin « animare » signifie bel et bien « donner une âme ». Une formule magique qui s’appliquait aussi à ses personnages de papier.Son œuvre est également sans équivalent sur le plan quantitatif : plus de 400 volumes pour 150.000 pages dessinées. P Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet

Ayako, tome 2

Auteur

Editeur

Format

Tankobon

Publication

18 novembre 2003

Série

Ayako, l'enfant de la nuit

Audience

Adulte - Grand Public

Pages

237

Taille

18 x 13 x 2.5 cm

Poids

250

ISBN-13

9782847893045

Contenu

4ème de couverture

De la chrysalide enfermée dans sa prison souterraine finit par naître le papillon Ayako, qui ainsi devient femme. Son "frère" Jiro s'est enfui et a réussi à s'enrichir grâce à un commerce interlope, profitant des désordres provoqués par la guerre de Corée... Bien loin d'être irréprochable, la famille Tengé est bousculée par la houle de l'Histoire.Biographie de l'auteurFondateur du manga moderne, Osamu Tezuka révolutionne la bande dessinée après la Seconde Guerre mondiale, en inventant une grammaire graphique qui offre au manga des possibilités narratives aux confluents de la littérature et du cinéma. En 1946, New Treasure Island (Shin Takarajima, la Nouvelle Île au Trésor), d’après Stevenson, est le premier jalon d’une œuvre immense, sans équivalent dans la bande dessinée internationale. « Tout le manga depuis la Seconde Guerre mondiale s’est élaboré à l’intérieur des formes créées par Tezuka Osamu. » écrit le critique japonais Nobuhiko Saito.Médecin de formation, Tezuka s’illustrera dans tous les genres narratifs, du conte pour enfants (Unico, Beeko-Chan) au drame historique et psychologique (Adolf, Ayako) repoussant toujours plus loin les limites de son art. Conteur sans égal, il invente le premier shôjô manga (récit pour jeunes filles) avec Princess Knight (Princesse Saphir) en 1953, le drame médical avec Black Jack (1973). Et passe avec allégresse et évidence du polar le plus noir (MW) à la tragédie (Shumari), du western (Angel Gunfighter) à la science-fiction (Wonder 3, Metropolis), de l’adaptation très personnelle d’une œuvre célèbre (Manon Lescaut, Faust, King Kong) au fantastique (Vampire, The Three-Eyed One), de l’érotisme (Pornographic Pictures ou ses longs-métrages 1.001 Nights et Cleopatra) aux robots géants (Ambassador Magma), de la biographie (Bouddha, Hidamari no Ki, Ludwig B) aux super-héros (Big X), du récit de samouraï (I’m Sarutobi, Dororo) à l’autobiographie (Makoto to Chiiko)… Quant au manga qui lui tenait le plus à cœur, c’est une fresque monumentale, mythologique et métaphysique, aux dimensions cosmiques, qui englobe tous les genres narratifs sans se réduire à aucun : Phénix.Astro Boy ou le Roi Léo (plagié par Disney en 1995 avec le Roi Lion) ont rendu Tezuka célèbre dans le monde entier. Leur créateur insufflait tellement d’âme à ses personnages que ceux-ci semblent souvent animés d’une vie propre. Tezuka rappelait à ce sujet que le verbe « animer », du latin « animare » signifie bel et bien « donner une âme ». Une formule magique qui s’appliquait aussi à ses personnages de papier.Son œuvre est également sans équivalent sur le plan quantitatif : plus de 400 volumes pour 150.000 pages dessinées. Par ailleur