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Le Jazz et les gangsters

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Audience : Adulte - Grand Public
Le Pitch
Présentation de l'éditeur Que seraient devenus Duke Ellington, Louis Armstrong, Earl Hines ou King Oliver sans les gangsters qui les employaient ? Ces mobsters et ces racketeers, souvent juifs ou siciliens, n'étaient pas aveuglés par les préjugés racistes qui empêchaient l'establishment blanc d'apprécier et de soutenir les musiciens noirs. Dans les clubs qui proliférèrent pendant la Prohibition, ils assurèrent la sécurité de l'emploi nécessaire à la constitution d'orchestres stables et à la maturation d'un style. Et ce sont les politiciens conservateurs qui, en faisant de la Mafia leur bouc émissaire, ont mis fin à l'âge d'or du jazz. A l'appui de cette thèse étonnante, Ronald Morris propose une enquête et une documentation exceptionnelles, une peinture réaliste de la vie des premiers musiciens de jazz et du milieu de la pègre à la Nouvelle-Orléans, à Chicago, New York et Kansas City. Il lève ainsi le voile sur un pan méconnu de l'histoire de la culture populaire. Les gangsters, conclut-il, se sont comportés avec les Jazzmen comme les grands mécènes de la Renaissance : " Il n'y eut peut-être jamais, dans toute l'histoire de l'art, d'association plus heureuse. " Quatrième de couverture Que seraient devenus Duke Ellington, Louis Armstrong, Earl Hines ou King Oliver sans les gangsters qui les employaient ? Ces mobsters et ces racketeers, souvent juifs ou siciliens, n'étaient pas aveuglés par les préjugés racistes qui empêchaient l'establishment blanc d'apprécier et de soutenir les musiciens noirs. Dans les clubs qui proliférèrent pendant la Prohibition, ils assurèrent la sécurité de l'emploi nécessaire à la constitution d'orchestres stables et à la maturation d'un style. Et ce sont les politiciens conservateurs qui, en faisant de la Mafia leur bouc émissaire, ont mis fin à l'âge d'or du jazz. À l'appui de cette thèse étonnante, Ronald Morris propose une enquête et une documentation exceptionnelles, une peinture réaliste de la vie des premiers musiciens de jazz et du milieu de la pègre à la Nouvelle-Orléans, à Chicago, New York et Kansas City. Il lève ainsi le voile sur un pan méconnu de l'histoire de la culture populaire. Les gangsters, conclut-il, se sont comportés avec les jazzmen comme les grands mécènes de la Renaissance: « Il n'y eut peut-être jamais, dans toute l'histoire de l'art, d'association plus heureuse. » Biographie de l'auteur Ronald L. Morris a enseigné l'histoire sociale dans des universités anglaises et américaines, écrit sur le roman noir américain et pratiqué le jazz. Afficher moinsAfficher plus

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Présentation de l'éditeur Que seraient devenus Duke Ellington, Louis Armstrong, Earl Hines ou King Oliver sans les gangsters qui les employaient ? Ces mobsters et ces racketeers, souvent juifs ou siciliens, n'étaient pas aveuglés par les préjugés racistes qui empêchaient l'establishment blanc d'apprécier et de soutenir les musiciens noirs. Dans les clubs qui proliférèrent pendant la Prohibition, ils assurèrent la sécurité de l'emploi nécessaire à la constitution d'orchestres stables et à la maturation d'un style. Et ce sont les politiciens conservateurs qui, en faisant de la Mafia leur bouc émissaire, ont mis fin à l'âge d'or du jazz. A l'appui de cette thèse étonnante, Ronald Morris propose une enquête et une documentation exceptionnelles, une peinture réaliste de la vie des premiers musiciens de jazz et du milieu de la pègre à la Nouvelle-Orléans, à Chicago, New York et Kansas City. Il lève ainsi le voile sur un pan méconnu de l'histoire de la culture populaire. Les gangsters, conclut-il, se sont comportés avec les Jazzmen comme les grands mécènes de la Renaissance : " Il n'y eut peut-être jamais, dans toute l'histoire de l'art, d'association plus heureuse. " Quatrième de couverture Que seraient devenus Duke Ellington, Louis Armstrong, Earl Hines ou King Oliver sans les gangsters qui les employaient ? Ces mobsters et ces racketeers, souvent juifs ou siciliens, n'étaient pas aveuglés par les préjugés racistes qui empêchaient l'establishment blanc d'apprécier et de soutenir les musiciens noirs. Dans les clubs qui proliférèrent pendant la Prohibition, ils assurèrent la sécurité de l'emploi nécessaire à la constitution d'orchestres stables et à la maturation d'un style. Et ce sont les politiciens conservateurs qui, en faisant de la Mafia leur bouc émissaire, ont mis fin à l'âge d'or du jazz. À l'appui de cette thèse étonnante, Ronald Morris propose une enquête et une documentation exceptionnelles, une peinture réaliste de la vie des premiers musiciens de jazz et du milieu de la pègre à la Nouvelle-Orléans, à Chicago, New York et Kansas City. Il lève ainsi le voile sur un pan méconnu de l'histoire de la culture populaire. Les gangsters, conclut-il, se sont comportés avec les jazzmen comme les grands mécènes de la Renaissance: « Il n'y eut peut-être jamais, dans toute l'histoire de l'art, d'association plus heureuse. » Biographie de l'auteur Ronald L. Morris a enseigné l'histoire sociale dans des universités anglaises et américaines, écrit sur le roman noir américain et pratiqué le jazz. Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
Le Jazz et les gangsters
Editeur
Format
Broché
Publication
10 février 2002
Audience
Adulte - Grand Public
Pages
273
Taille
23 x 15 x 2.2 cm
Poids
415
ISBN-13
9782847420029

Contenu

4ème de couverture

Que seraient devenus Duke Ellington, Louis Armstrong, Earl Hines ou King Oliver sans les gangsters qui les employaient ? Ces mobsters et ces racketeers, souvent juifs ou siciliens, n'étaient pas aveuglés par les préjugés racistes qui empêchaient l'establishment blanc d'apprécier et de soutenir les musiciens noirs. Dans les clubs qui proliférèrent pendant la Prohibition, ils assurèrent la sécurité de l'emploi nécessaire à la constitution d'orchestres stables et à la maturation d'un style. Et ce sont les politiciens conservateurs qui, en faisant de la Mafia leur bouc émissaire, ont mis fin à l'âge d'or du jazz.À l'appui de cette thèse étonnante, Ronald Morris propose une enquête et une documentation exceptionnelles, une peinture réaliste de la vie des premiers musiciens de jazz et du milieu de la pègre à la Nouvelle-Orléans, à Chicago, New York et Kansas City. Il lève ainsi le voile sur un pan méconnu de l'histoire de la culture populaire. Les gangsters, conclut-il, se sont comportés avec les jazzmen comme les grands mécènes de la Renaissance: « Il n'y eut peut-être jamais, dans toute l'histoire de l'art, d'association plus heureuse. »Biographie de l'auteurRonald L. Morris a enseigné l'histoire sociale dans des universités anglaises et américaines, écrit sur le roman noir américain et pratiqué le jazz.
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