Mademoiselle se marie T09

Broché - 30/01/2013 - Crunchyroll

3.6

(5)

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Depuis leur première nuit d'amour, Towako et Yûga nagent en plein bonheur. Mais du haut de leur petit nuage, ils ne voient pas la tempête qui s'annonce ! En effet, le professeur Renjô, disparu du lycée depuis quelques jours, réapparaît chez les Gokurakuin avec une curieuse demande qui risque bien de chambouler l'avenir de nos deux tourtereaux ! Revue de presse Attention attention, j’étais mauvaise langue quand je prétendais qu’après tant d’essais ratés et avortés, jamais Towako et Yûga ne coucheraient ensemble. A la fin du précédent tome, c’est chose faite. Bien. Neuf tomes c’est pas si mal, il y a tellement de shojo dans lesquels ça n’arrive jamais. Ah, oui, mais là les héros sont mariés depuis le tout début de la série. Tout de suite, c’est nettement moins impressionnant comme résultat. Et donc, on a oublié Ritsu. Ah bon ? Bon, il reviendra foutre son bordel plus tard. En attendant, pas besoin de lui. Il suffit d’instaurer un concours d’arrangement floral, avec Saho et le professeur Renjô en Guest Star. Ils vont s’affronter mais ils ont besoin d’un partenaire avec lequel vivre une semaine et à qui faire entière confiance, pour le déroulement du concours. C’est donc tout naturellement que Renjô vient kidnapper Towako et que Yûga accepte de seconder Saho …Pardon ? Sérieusement, c’est pas juste un des pire scénario inventé pour coller de la jalousie au milieu de notre petit couple parfait, comme à chaque tome depuis neuf tomes, voir chaque chapitre ? Cela devient profondément lassant, à force. C’est vraiment une idée sortie tout droit de nulle part, sans logique, sans intérêt et la mangaka nous laisse pantois. Oui, c’est possible de justifier une situation abracadabrante par un aussi mauvais argument. Et allez, Ritsu revient pour faire de Saho une méchante et après faire des réconciliations émouvantes entre elle et Towako au prochain tome, on n’en doute pas une seconde. Tout est totalement prévisible et plat, sans aucun intérêt. Seul mérite pour le début du tome, avec un couple plus sûr de lui depuis qu’ils ont franchi le pas de l’acte sexuel. Mais bon, ça ne dure pas bien longtemps. Pour ma part, la série devrait juste s’arrêter là. Et d’ailleurs, je pense l’arrêter là. C’est devenu trop ridicule pour moi. NiDNiM (Critique de www.manga-news.com) Biographie de l'auteur Megumi Hazaki (葉月めぐみ) est née un 21 aout dans la préfecture de Shiga. Elle débute sa carrière en 2004 en publiant un premier one shot Insupi (インスピ), elle enchaine ensuite peandant quelques années des séries courtes : S+ (エスプラス), Kono ie de Kimi to (この家できみと)et Lemon Planet (檸檬プラネット) avant de connaitre véritablement le succès avec Ojôsama wa Oyomesama (お嬢様はお嫁様) qui sera publiée en France sous le titre Mademoiselle se marie par les éditions Kaze. En parallèle elle publie quelques one shot : ELiSA in GHoSTLaND et Tanpenshû - Ôji Recipe, et une série courte : Boku no robot ( 僕のロボット). A l'heure actuelle elle travaille sur la série intitulée Koi to Natsutsubaki, publiée dans le Margaret depuis juin 2013. Afficher moins Afficher plus
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Présentation de l'éditeur Depuis leur première nuit d'amour, Towako et Yûga nagent en plein bonheur. Mais du haut de leur petit nuage, ils ne voient pas la tempête qui s'annonce ! En effet, le professeur Renjô, disparu du lycée depuis quelques jours, réapparaît chez les Gokurakuin avec une curieuse demande qui risque bien de chambouler l'avenir de nos deux tourtereaux ! Revue de presse Attention attention, j’étais mauvaise langue quand je prétendais qu’après tant d’essais ratés et avortés, jamais Towako et Yûga ne coucheraient ensemble. A la fin du précédent tome, c’est chose faite. Bien. Neuf tomes c’est pas si mal, il y a tellement de shojo dans lesquels ça n’arrive jamais. Ah, oui, mais là les héros sont mariés depuis le tout début de la série. Tout de suite, c’est nettement moins impressionnant comme résultat. Et donc, on a oublié Ritsu. Ah bon ? Bon, il reviendra foutre son bordel plus tard. En attendant, pas besoin de lui. Il suffit d’instaurer un concours d’arrangement floral, avec Saho et le professeur Renjô en Guest Star. Ils vont s’affronter mais ils ont besoin d’un partenaire avec lequel vivre une semaine et à qui faire entière confiance, pour le déroulement du concours. C’est donc tout naturellement que Renjô vient kidnapper Towako et que Yûga accepte de seconder Saho …Pardon ? Sérieusement, c’est pas juste un des pire scénario inventé pour coller de la jalousie au milieu de notre petit couple parfait, comme à chaque tome depuis neuf tomes, voir chaque chapitre ? Cela devient profondément lassant, à force. C’est vraiment une idée sortie tout droit de nulle part, sans logique, sans intérêt et la mangaka nous laisse pantois. Oui, c’est possible de justifier une situation abracadabrante par un aussi mauvais argument. Et allez, Ritsu revient pour faire de Saho une méchante et après faire des réconciliations émouvantes entre elle et Towako au prochain tome, on n’en doute pas une seconde. Tout est totalement prévisible et plat, sans aucun intérêt. Seul mérite pour le début du tome, avec un couple plus sûr de lui depuis qu’ils ont franchi le pas de l’acte sexuel. Mais bon, ça ne dure pas bien longtemps. Pour ma part, la série devrait juste s’arrêter là. Et d’ailleurs, je pense l’arrêter là. C’est devenu trop ridicule pour moi. NiDNiM (Critique de www.manga-news.com) Biographie de l'auteur Megumi Hazaki (葉月めぐみ) est née un 21 aout dans la préfecture de Shiga. Elle débute sa carrière en 2004 en publiant un premier one shot Insupi (インスピ), elle enchaine ensuite peandant quelques années des séries courtes : S+ (エスプラス), Kono ie de Kimi to (この家できみと)et Lemon Planet (檸檬プラネット) avant de connaitre véritablement le succès avec Ojôsama wa Oyomesama (お嬢様はお嫁様) qui sera publiée en France sous le titre Mademoiselle se marie par les éditions Kaze. En parallèle elle publie quelques one shot : ELiSA in GHoSTLaND et Tanpenshû - Ôji Recipe, et une série courte : Boku no robot ( 僕のロボット). A l'heure actuelle elle travaille sur la série intitulée Koi to Natsutsubaki, publiée dans le Margaret depuis juin 2013. Afficher moins Afficher plus
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