Meg Corbyn serie #4

Meg Corbyn, T4 : Empreintes fauves

Name: Meg Corbyn, T4 : Empreintes fauves
Brand: Bishop, Anne
SKU: AV-9782811224592
Price: 7.69 EUR
Availability: OutOfStock
Rating: 4.4 (247 reviews)

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Audience : Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation « L’un des meilleurs romans de bit-lit de tous les temps. »All Things Urban Fantasy La paix fragile qui règne depuis des siècles entre les Autres et les humains est sur le point d’être brisée. L’alliance des Autres avec lescassandra sangue, prophétesses de sang exploitées pour leurs dons, a modifié l’équilibre des pouvoirs entre les espèces, et si Simon Wolfgard, chef de l’enclos de Lakeside, et son amie Meg Corbyn considèrent ce changement comme une amélioration, tous ne sont pas convaincus. Une poignée d’humains radicaux chercheà usurper les terres sauvages en attaquant lesterra indigene. Ils sont loin d’imaginer qu’il existe desêtres beaucoup plus anciens et plus dangereux que ceux qui peuplent les Enclos– et qu’ils sont prêtsà tout pour protéger les leurs… « Par moments brutalement réaliste, ce roman centré sur le combat d’une jeune femme en quête de liberté dégage aussi une certaine mélancolie.À ne surtout pas manquer ! »Romantic Times Court extrait : « Lorsque Meg revint de la salle de bains, elle semblait un peu plus réveillée et beaucoup moins ravie de le voir. Elle le serait encore moins quand elle découvrirait pourquoi il lui proposait cette promenade. [...] Elle semblait plus agacée qu’endormie,à présent. Bon, mieux valait ne pas trop titiller le porc-épic. Il gagna donc la cuisine, où il vérifia le contenu du réfrigérateur afin de s’assurer que Meg disposait de réserves suffisantes de nourriture. Un demi-litre de lait. Deux ou trois bouchées de fromage, peut-être plus pour une mâchoire humaine. Un petit bol de fraises qu’elle avait cueillies puis partagées avec Henry Beargard la veille. La moitié d’un sandwich emballé provenant deBonà Croquer, le café de l’Enclos. Le placard renfermait une boîte de pêches au sirop, un bocal de sauce tomate ainsi qu’un paquet de spaghettis. - Si tu cherches la pizza, je l’ai terminée hier, lança Meg en entrant dans la cuisine. Simon referma la porte du placard. Ce stock correspondait-ilà la norme pour un humain en période estivale ? Son propre appartement ne contenait pas plus de nourriture, mais il chassait ses proies pour les manger fraîches et ne se procurait d’autres aliments qu’à titre de supplément, soit parce qu’il en aimait le goût, soit parce qu’ilsétaient bons pour sa forme humaine. - Tu veux prendre un petit déjeuner ? demanda Meg. - Plus tard. Il quitta la cuisine pour emprunter l’escalier menantà la porte extérieure. Comme il s’y attendait, elle lui emboîta le pas. Une fois dehors, il lui prit la main, entrelaçant ses doigts aux siens, un contact qu’ils avaient expérimenté pour la première foisune semaine auparavant, le jour où elle avaiténoncé la prophétie concernant la communauté de River Road. - L’herbe est mouillée, fit remarquer Meg. Ce serait mieux de marcher sur la route, non ? Simon secoua la tête. Ce matin-là, la route, quiétait assez large pour permettre le passage d’un véhicule et décrivait un cercle dans l’Enclos, lui paraissait trop humaine. » © Bragelonne 2017 Afficher moinsAfficher plus

Bishop, Anne

Meg Corbyn serie #4

Meg Corbyn, T4 : Empreintes fauves

4.4

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7,45 €

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Présentation « L’un des meilleurs romans de bit-lit de tous les temps. »All Things Urban Fantasy La paix fragile qui règne depuis des siècles entre les Autres et les humains est sur le point d’être brisée. L’alliance des Autres avec lescassandra sangue, prophétesses de sang exploitées pour leurs dons, a modifié l’équilibre des pouvoirs entre les espèces, et si Simon Wolfgard, chef de l’enclos de Lakeside, et son amie Meg Corbyn considèrent ce changement comme une amélioration, tous ne sont pas convaincus. Une poignée d’humains radicaux chercheà usurper les terres sauvages en attaquant lesterra indigene. Ils sont loin d’imaginer qu’il existe desêtres beaucoup plus anciens et plus dangereux que ceux qui peuplent les Enclos– et qu’ils sont prêtsà tout pour protéger les leurs… « Par moments brutalement réaliste, ce roman centré sur le combat d’une jeune femme en quête de liberté dégage aussi une certaine mélancolie.À ne surtout pas manquer ! »Romantic Times Court extrait : « Lorsque Meg revint de la salle de bains, elle semblait un peu plus réveillée et beaucoup moins ravie de le voir. Elle le serait encore moins quand elle découvrirait pourquoi il lui proposait cette promenade. [...] Elle semblait plus agacée qu’endormie,à présent. Bon, mieux valait ne pas trop titiller le porc-épic. Il gagna donc la cuisine, où il vérifia le contenu du réfrigérateur afin de s’assurer que Meg disposait de réserves suffisantes de nourriture. Un demi-litre de lait. Deux ou trois bouchées de fromage, peut-être plus pour une mâchoire humaine. Un petit bol de fraises qu’elle avait cueillies puis partagées avec Henry Beargard la veille. La moitié d’un sandwich emballé provenant deBonà Croquer, le café de l’Enclos. Le placard renfermait une boîte de pêches au sirop, un bocal de sauce tomate ainsi qu’un paquet de spaghettis. - Si tu cherches la pizza, je l’ai terminée hier, lança Meg en entrant dans la cuisine. Simon referma la porte du placard. Ce stock correspondait-ilà la norme pour un humain en période estivale ? Son propre appartement ne contenait pas plus de nourriture, mais il chassait ses proies pour les manger fraîches et ne se procurait d’autres aliments qu’à titre de supplément, soit parce qu’il en aimait le goût, soit parce qu’ilsétaient bons pour sa forme humaine. - Tu veux prendre un petit déjeuner ? demanda Meg. - Plus tard. Il quitta la cuisine pour emprunter l’escalier menantà la porte extérieure. Comme il s’y attendait, elle lui emboîta le pas. Une fois dehors, il lui prit la main, entrelaçant ses doigts aux siens, un contact qu’ils avaient expérimenté pour la première foisune semaine auparavant, le jour où elle avaiténoncé la prophétie concernant la communauté de River Road. - L’herbe est mouillée, fit remarquer Meg. Ce serait mieux de marcher sur la route, non ? Simon secoua la tête. Ce matin-là, la route, quiétait assez large pour permettre le passage d’un véhicule et décrivait un cercle dans l’Enclos, lui paraissait trop humaine. » © Bragelonne 2017 Afficher moinsAfficher plus