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Game Over serie #3

Game over - Gouzi gouzi gouzi

Album - 01/10/2008 - Editions Dupuis

3.8

(103)

3.8

(103)

Audience
Jeunesse - Tous âges

Le Pitch

Présentation de l'éditeur On fait difficilement plus simple comme jeu vidéo : un petit héros particulièrement maladroit, une princesse stupide, hystérique et presque aussi gaffeuse que son sauveur et puis des tas de Blorks plus laids, cruels et vicieux les uns que les autres, qui n'ont qu'un but dans leur vie virtuelle : empêcher le premier de délivrer la seconde. Et si, au passage, ils peuvent les massacrer joyeusement, ils ne vont pas se gêner, entraînant ainsi l'inéluctable « Game over » qui rythme chaque fin de page de la série. C'est sur ce canevas simple que Midam nous régale de gags muets et gore d'une efficacité redoutable. Quatrième de couverture Princesse stupide contre Blorks déchaînés ! Biographie de l'auteur Michel Ledent, alias Midam, voit le jour en 1963 dans la commune bruxelloise d'Etterbeek. Enfant, il adore les monstres et rêve de devenir camionneur pour pouvoir travailler la nuit et écouter l'émission radio « Les routiers sont sympas » dans son « 30 tonnes ». Il aime lire des histoires courtes fantastiques et de science-fiction. L'intérêt qu'il porte à la BD est déjà présent et en 1977, il réalise à 14 ans sa première planche à l'encre de Chine en hommage à la BD Chronique d'extraterrestres de Jacques Devos. À 18 ans, il se tourne vers des spécialités artistiques, d'abord en architecture d'intérieur puis en photographie. C'est finalement en illustration qu'il décroche un diplôme à Saint-Luc, célèbre école de la capitale belge. Malgré son attrait pour la BD, il se sent plus libre et plus à l'aise en classe d'illustration. Il se familiarise, entre autres, avec la 3D en créant des marionnettes en latex dans un décor de type Dark Crystal qui révèlent déjà sa propension à représenter des monstres. Ses études terminées, Midam fait son service militaire dans la Force Navale Belge en tant que dessinateur-décorateur. Il est également le caricaturiste officiel de la base et chaque mois, il produit une caricature en guise de cadeau pour un officier prenant sa retraite. S'ensuivent des années de galère et de petites commandes pour diverses revues et journaux. Sa première publication date d'avril 1988 pour un petit journal local nommé Rigoletto et des planches pour une série intitulée Sacred Cadres, commandée par le journal professionnel Intermédiaire, dans laquelle l'influence de Franquin des Idées Noires se fait sentir. Suivant les conseils d'un gérant de librairie, il envoie une bonne centaine de dossiers à des magazines. Si la majorité lui adresse un refus poli, il reçoit néanmoins une dizaine de réponses positives, dont celle du magazine informatique français Micro-Systèmes pour lequel il fera des centaines de dessins et surtout celle du Journal Spirou. Dès 1992, Midam anime diverses rubriques dans le journal (à partir du N°2831). Pour un auteur débutant, c'est l'opportunité de s'essayer à la BD et tester sa réactivité. En 1993, Midam renouvelle la rubrique consacrée aux jeux vidéo du Journal Spirou et crée le personnage de Kid Paddle. La rubrique devient « Pas de joystick pour Kid Paddle ». Devant l'enthousiasme des lecteurs, le rédacteur en chef l'invite à passer à la pleine page. En 1996, le premier album de Kid Paddle « Jeux de vilains » voit le jour. Le succès s'installe durablement. Bien que Midam ne soit pas féru de jeux vidéo, l'univers de Kid Paddle (et de Game Over qui en découle) est intimement lié à ceux-ci. Se connaissant parfaitement, Midam savait que s'il se laissait tenter par cet univers, il risquait de devenir un véritable « gamer » et courait le risque de ne s'adresser qu'à un public restreint. En gardant une certaine distance par rapport à ce monde du jeu, il reste compréhensible pour le commun des mortels. La série Kid Paddle se décline à ce jour en 16 tomes. Depuis la parution du premier tome, plus de 10 millions d'albums de Kid Paddleont été vendus en langue française, et des centaines de produits dérivés ont été créés à son effigie. Le succès de Kid Pa Afficher moins Afficher plus
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Auteur

Game Over serie #3

Game over - Gouzi gouzi gouzi

Album - 01/10/2008 - Editions Dupuis

3.8

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur On fait difficilement plus simple comme jeu vidéo : un petit héros particulièrement maladroit, une princesse stupide, hystérique et presque aussi gaffeuse que son sauveur et puis des tas de Blorks plus laids, cruels et vicieux les uns que les autres, qui n'ont qu'un but dans leur vie virtuelle : empêcher le premier de délivrer la seconde. Et si, au passage, ils peuvent les massacrer joyeusement, ils ne vont pas se gêner, entraînant ainsi l'inéluctable « Game over » qui rythme chaque fin de page de la série. C'est sur ce canevas simple que Midam nous régale de gags muets et gore d'une efficacité redoutable. Quatrième de couverture Princesse stupide contre Blorks déchaînés ! Biographie de l'auteur Michel Ledent, alias Midam, voit le jour en 1963 dans la commune bruxelloise d'Etterbeek. Enfant, il adore les monstres et rêve de devenir camionneur pour pouvoir travailler la nuit et écouter l'émission radio « Les routiers sont sympas » dans son « 30 tonnes ». Il aime lire des histoires courtes fantastiques et de science-fiction. L'intérêt qu'il porte à la BD est déjà présent et en 1977, il réalise à 14 ans sa première planche à l'encre de Chine en hommage à la BD Chronique d'extraterrestres de Jacques Devos. À 18 ans, il se tourne vers des spécialités artistiques, d'abord en architecture d'intérieur puis en photographie. C'est finalement en illustration qu'il décroche un diplôme à Saint-Luc, célèbre école de la capitale belge. Malgré son attrait pour la BD, il se sent plus libre et plus à l'aise en classe d'illustration. Il se familiarise, entre autres, avec la 3D en créant des marionnettes en latex dans un décor de type Dark Crystal qui révèlent déjà sa propension à représenter des monstres. Ses études terminées, Midam fait son service militaire dans la Force Navale Belge en tant que dessinateur-décorateur. Il est également le caricaturiste officiel de la base et chaque mois, il produit une caricature en guise de cadeau pour un officier prenant sa retraite. S'ensuivent des années de galère et de petites commandes pour diverses revues et journaux. Sa première publication date d'avril 1988 pour un petit journal local nommé Rigoletto et des planches pour une série intitulée Sacred Cadres, commandée par le journal professionnel Intermédiaire, dans laquelle l'influence de Franquin des Idées Noires se fait sentir. Suivant les conseils d'un gérant de librairie, il envoie une bonne centaine de dossiers à des magazines. Si la majorité lui adresse un refus poli, il reçoit néanmoins une dizaine de réponses positives, dont celle du magazine informatique français Micro-Systèmes pour lequel il fera des centaines de dessins et surtout celle du Journal Spirou. Dès 1992, Midam anime diverses rubriques dans le journal (à partir du N°2831). Pour un auteur débutant, c'est l'opportunité de s'essayer à la BD et tester sa réactivité. En 1993, Midam renouvelle la rubrique consacrée aux jeux vidéo du Journal Spirou et crée le personnage de Kid Paddle. La rubrique devient « Pas de joystick pour Kid Paddle ». Devant l'enthousiasme des lecteurs, le rédacteur en chef l'invite à passer à la pleine page. En 1996, le premier album de Kid Paddle « Jeux de vilains » voit le jour. Le succès s'installe durablement. Bien que Midam ne soit pas féru de jeux vidéo, l'univers de Kid Paddle (et de Game Over qui en découle) est intimement lié à ceux-ci. Se connaissant parfaitement, Midam savait que s'il se laissait tenter par cet univers, il risquait de devenir un véritable « gamer » et courait le risque de ne s'adresser qu'à un public restreint. En gardant une certaine distance par rapport à ce monde du jeu, il reste compréhensible pour le commun des mortels. La série Kid Paddle se décline à ce jour en 16 tomes. Depuis la parution du premier tome, plus de 10 millions d'albums de Kid Paddleont été vendus en langue française, et des centaines de produits dérivés ont été créés à son effigie. Le succès de Kid Pa Afficher moins Afficher plus
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