C'est l'histoire de quatre ados qui veulent devenir riches et célèbres sans trop se fouler...Biographie de l'auteurLaurent Noblet est né le 23 novembre 1969 à Châtellerault. Après des études aux Beaux-Arts de Mulhouse et des études de graphisme publicitaire à Strasbourg, Laurent Noblet s'oriente vers le dessin de presse, le strip et l'illustration. En tant que dessinateur, Laurent Noblet a travaillé pour les Éditions Milan (Mikado,Les Clés de l'actualité junior, Léonard...) et les Éditions Play Bac (Les Incollables). Au cours des années, on l'a trouvé au sommaire de publications plus adultes, commePsikopat,L'Écho des savanes ou Mazette. Il travaille également pour différentes collectivités locales et des agences de communication. C'est après avoir successivement remporté deux concours de BD que Laurent Noblet contacte les Éditions Dupuis. Une bonne idée, puisqueSpirou, l'hebdo au calot, s'attache vite ses talents de scénariste. Noblet crée ainsi la sérieGénération Ego qui deviendraAdostars sous le trait de Bercovici. De cette collaboration dansSpirou naîtra une déclinaison en albums. En 2006, c'est comme scénariste que Laurent Noblet commence à collaborer à la célèbre sérieGame Over de Midam et se trouve au « générique » du tome 3 :Gouzi gouzi gouzi. Il fournit également des scenarii pour la sérieZapping Generation de Ernst, que l'on a pu retrouver en gags dans le journalSpirou comme en albums.Né à Nice le 5 janvier 1963, le petit Philippe Bercovici est repéré à l'âge de treize ans par Raoul Cauvin, auquel il était venu soumettre ses œuvres lors d'une séance de dédicaces. Il publie immédiatement dans la rubriqueCarte Blanche du JournalSpirou, avant d'investir les pages d'animation du célèbre hebdo au calot. Cauvin lui propose ensuite - l'année de ses 15 ans ! - d'illustrer « Les Grandes Amours contrariées », série lui permettant de revisiter les romances les plus mythiques de l'Histoire et de la littérature. Philippe Bercovici profite de ces premières expériences pour développer un dessin souple, efficace et dynamique. Un style à nul autre pareil partant du cartoon pour aboutir à une nouvelle forme de narration BD, par laquelle il peut potentiellement explorer tous les types de récits. La carrière de Bercovici prend une nouvelle dimension en 1981 avec le lancement des « Femmes en blanc », sur un scénario de Cauvin, série extrêmement populaire accédant rapidement au statut de best-seller. 41 tomes sont parus aux Éditions Dupuis et « Les Femmes en blanc », série multi-récompensée en festival, s'est vue honorée en 2014 d'un mur BD à Bruxelles. Le parcours de Philippe ne saurait toutefois se résumer à sa série la plus emblématique, puisqu'on lui doit également plusieurs dizaines d'autres séries, one shot ou travaux pour la presse. Citons « Robinson et Zoé » (pour le magazineGomme à partir de 1982), « Kostar le Magnifique » (pour le magazine Circus, 1984), « Barnabé, envoyé spécial » et « Big Bang Orchestra » (dansJe bouquine), le « Grand Panic Circus » chezPif gadget, « Testar le Robot » (chez Fleurus) ou encore « Téléfaune » (pour Dargaud en 1993), autant d'univers scénarisés par François Corteggiani. Avec Yann, Bercovici anime les aventures très soviétiques de « Leonid et Spoutnika » chez Marsu-Productions. François Gilson lui écrit pour sa part les gags de « Cactus Club » - une sati
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