Vincent Bolloré: Ange ou démon ?

Name: Vincent Bolloré: Ange ou démon ?
Brand: Cori, Nicolas
SKU: GD-9782755602142
Price: 1.99 EUR
Availability: OutOfStock

Audience : Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Vincent Bolloré : son parcours, ses succès, ses échecs, son entourage, sa manière de procéder, son caractère... Une sorte de "Que sais-je" Cette collection a pour but de présenter l'intégrale de chaque personnage traité dans un style simple et dans une présentation identique d'un ouvrage à l'autre. Tout sera identifié dans ce qui sera bien plus qu'un portrait classique, une plongée dans l'univers de l'individu traité : son parcours, ses succès, ses échecs, son entourage, sa manière de procéder, son caractère... Une sorte de "Que sais-je" personnalisé sur des capitaines d'industrie, des magnats, des femmes et des hommes qui ont pris le pouvoir dans leur domaine et au-delà et qui de ce fait sont incontournables dans la France d'aujourd'hui d'abord, dans le Monde ensuite. Prévision de trois à quatre livres par an. Les Français ont découvert l'existence de Vincent Bolloré lors du voyage médiatisé de Nicolas Sarkozy sur le yacht de l'homme d'affaires. Le patron du groupe éponyme était jusqu'à présent une personnalité très connue du monde des affaires pour ses coups boursiers, mais dont la notoriété avait peu dépassé ce cercle. Mais comme Dracula, Bolloré redoute la lumière. Et depuis cet écart, il cherche à tout prix à revenir à l'anonymat, relatif, des grands patrons. Et surtout refaire des affaires, en tout discrétion, dans ses métiers traditionnels en Europe et en Afrique dont la longue liste ressemble à un inventaire à la Prévert : transport, logistique, culture d'hévéas et d'huile de palme, voiture électrique, film plastique, distribution de fioul... Pourtant, ces récentes incursions dans la publicité (Havas, Aegis) et surtout dans les médias audiovisuels et écrits (Direct Soir, Direct 8, Matin Plus) où plusieurs affaires de censures ont défrayé la chronique méritent qu'on se penche sur la trajectoire d'un homme, sa personnalité et sa vision du monde, alors qu'il essaie, via ses entreprises de médias, de la faire partager à tous les Français. Extrait Extrait de l'introduction : En affaires, il n'y pas de mensonges. Il n'y a que des vérités successives. Un banquier C'était le 8 mai 2007. Au large de Malte, le nouveau président de la République, Nicolas Sarkozy, se repose de la campagne électorale sur un yacht de soixante-cinq mètres de grand luxe, le Paloma. Un bateau propriété du très discret homme d'affaires breton de cinquante-cinq ans, Vincent Bolloré. Cette virée est pour le moins inédite dans la Ve République. Mitterrand attend les résultats des élections dans la chambre numéro 15 de l'hôtel du Vieux Morvan, à Château-Chinon. Jacques Chirac, en 1995, fête la victoire du balcon de l'hôtel de ville de Paris. Nicolas Sarkozy, élu, file au Fouquet's, un restaurant des Champs-Elysées avec ses amis people et politiques. Puis s'échappe sur le Paloma, avec celle qui est encore sa femme, Cécilia, ses enfants et les amis de celle-ci. Le style Sarkozy, ostentatoire et nouveau riche, ami des patrons, s'étale à la une des journaux. «On n'a jamais vu, à ce point, quelqu'un qui affiche de façon aussi provocatrice le goût de l'argent et sa proximité avec les milieux d'affaires, à peine élu», commentait sur le coup Vincent Peillon, l'un des responsables du PS. Les vacances du Président au mois d'août 2007 ont d'ailleurs reproduit ce même schéma. Sarkozy assume son mode de vie. Il est fier de s'afficher aux côtés de ses amis milliardaires. Mais pour Vincent Bolloré, l'épisode du Paloma est à double tranchant. Vu du monde des affaires, il a réussi son coup. Dans ce milieu où la valeur d'un homme se mesure à son influence, sa cote est montée d'un cran. Le président de la République est, symboliquement au moins, en dette avec lui. Nombreux sont les financiers ou les industriels que nous avons interrogés qui estiment que Bolloré est dorénavant «intouchable» pendant cinq ans. Vis-à-vis du grand public, la polémique qui s'en est suivie a été cependant franchement mauvaise. L'homme d'affaires a fait m Afficher moinsAfficher plus