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Note promotionnelle Autour de souvenirs mis en récit, deux psychanalystes confrontés au grand âge portent un regard sur les processus psychiques mis en œuvre chez les personnes âgées écrivant sur leur enfance… ,Présentation L’enfant qu’il fut reste à jamais incrusté dans l’adulte. Au fur et à mesure du déroulement du temps, certaines traces s’atténuent, d’autres demeurent, généralement les plus douloureuses. Ainsi à la fin de sa vie, la personne âgée se penche sur son passé dans l’espoir de se re-connaître et de faire le deuil de l’objet maternel primaire qu’elle poursuit encore. Le temps des martinetsest un récit issu d’une enfance blessée comme il y en a bien d’autres. Il est écrit par une vieille dame poussée par un besoin impératif de retrouver une période douloureuse de son enfance pour mieux l’inscrire dans la trajectoire de sa vie. Ces moments traumatiques se révèlent indélébiles, occultant le reste. Chercher à les élaborer peut conduire à une réconciliation avec soi-même et ses parents. Autour de ce texte personnel et sensible, les auteurs réfléchissent à la nécessité intense qui anime la personne âgée pour se lancer dans cette quête de soi périlleuse qui lui permet d’affirmer son identité et sans doute de transmettre à ses descendants une cohésion véritable. ,4e de couverture « Une femme se penche sur son passé et voit au loin une petite fille brune avec des nattes relevées sur la tête et deux petits nœuds papillon blancs. C’est elle au début de sa vie, au cours d’une période de plusieurs années restées gravées en elle, à la fois très lointaines et très proches. Le temps n’est pas passé. Un dortoir triste et froid et la soirée au balcon à regarder et entendre les martinets ont en commun la reviviscence d’un chagrin intense. C’était la guerre. La peur. La solitude. La faim. Le pire était l’absence de Papa, et surtout de Maman, où étaient-ils ? Elle n’a pas maintenant, des décennies après, de vrais souvenirs organisés, mais seulement des séries d’images, toujours les mêmes, et des impressions plus que des émotions, comme si elle y était sans y être. La vieille dame regarde cet album de photos où elle se voit petite fille, comme la petite fille elle-même se regardait vivre une succession d’instants, sans les habiter. À l’intérieur du temps figé, elles regardent ensemble non pas une vie d’enfant mais une fiction. » Anne-Marie Merle-Béral À partir d’un récit personnel et sensible, deux psychanalystes confrontés au grand âge portent un regard sur les processus psychiques mis en œuvre par les personnes âgées écrivant sur leur enfance. Afficher moinsAfficher plus

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Note promotionnelle Autour de souvenirs mis en récit, deux psychanalystes confrontés au grand âge portent un regard sur les processus psychiques mis en œuvre chez les personnes âgées écrivant sur leur enfance… ,Présentation L’enfant qu’il fut reste à jamais incrusté dans l’adulte. Au fur et à mesure du déroulement du temps, certaines traces s’atténuent, d’autres demeurent, généralement les plus douloureuses. Ainsi à la fin de sa vie, la personne âgée se penche sur son passé dans l’espoir de se re-connaître et de faire le deuil de l’objet maternel primaire qu’elle poursuit encore. Le temps des martinetsest un récit issu d’une enfance blessée comme il y en a bien d’autres. Il est écrit par une vieille dame poussée par un besoin impératif de retrouver une période douloureuse de son enfance pour mieux l’inscrire dans la trajectoire de sa vie. Ces moments traumatiques se révèlent indélébiles, occultant le reste. Chercher à les élaborer peut conduire à une réconciliation avec soi-même et ses parents. Autour de ce texte personnel et sensible, les auteurs réfléchissent à la nécessité intense qui anime la personne âgée pour se lancer dans cette quête de soi périlleuse qui lui permet d’affirmer son identité et sans doute de transmettre à ses descendants une cohésion véritable. ,4e de couverture « Une femme se penche sur son passé et voit au loin une petite fille brune avec des nattes relevées sur la tête et deux petits nœuds papillon blancs. C’est elle au début de sa vie, au cours d’une période de plusieurs années restées gravées en elle, à la fois très lointaines et très proches. Le temps n’est pas passé. Un dortoir triste et froid et la soirée au balcon à regarder et entendre les martinets ont en commun la reviviscence d’un chagrin intense. C’était la guerre. La peur. La solitude. La faim. Le pire était l’absence de Papa, et surtout de Maman, où étaient-ils ? Elle n’a pas maintenant, des décennies après, de vrais souvenirs organisés, mais seulement des séries d’images, toujours les mêmes, et des impressions plus que des émotions, comme si elle y était sans y être. La vieille dame regarde cet album de photos où elle se voit petite fille, comme la petite fille elle-même se regardait vivre une succession d’instants, sans les habiter. À l’intérieur du temps figé, elles regardent ensemble non pas une vie d’enfant mais une fiction. » Anne-Marie Merle-Béral À partir d’un récit personnel et sensible, deux psychanalystes confrontés au grand âge portent un regard sur les processus psychiques mis en œuvre par les personnes âgées écrivant sur leur enfance. Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
Écrire avant la nuit: Quand la personne âgée écrit sur son enfance
Editeur
Format
Poche
Publication
29 septembre 2022
Auteur
Puyuelo, Rémy
Audience
Adulte - Haut niveau
Pages
176
Taille
17 x 11 x 1.2 cm
Poids
132
ISBN-13
9782749274904

Auteur

Livré entre : 14 décembre - 19 décembre
Livraison gratuite (FR) à partir de 35,00 € de livres neufs
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