Stabat mater

Name: Stabat mater
Brand: Chaurette, Normand
SKU: NW-9782742725625
Price: 4.37 EUR
Availability: OutOfStock

Audience : Adulte - Grand Public

Le Pitch

Dans cette pièce de théâtre, Normand Chaurette revisite le mythe d'Œdipe en le confrontant à des figures contemporaines. L'histoire se déroule dans un asile psychiatrique où les patients endossent les rôles des personnages tragiques. Entre réalité et folie, le texte explore les thèmes de la culpabilité, de la destinée et de la quête de vérité. Une œuvre puissante et complexe qui interroge les limites de la condition humaine. Afficher moinsAfficher plus

Contenu

4ème de couverture

Manustro est une cité maudite où les jeunes filles se noient dans les écluses. Des mères se croisent à la morgue de la ville où elles vont reconnaître leurs dépouilles, certaines prostrées dans leur peine, d'autres illuminées par ce deuil imprévisible. L'eau des écluses, en même temps qu'elle les invite à mourir, ne procure-t-elle pas aussi à ces jeunes femmes une profonde paix ? Car les enfants de la cité disent "que l'eau des écluses dans le calme des nuits est à la base de la joie"... Entre la mort et la lumière, la distance n'est peut-être pas celle de toutes les douleurs et de tous les doutes.

Chaurette, Normand

Stabat mater

9,20 €

Le Pitch

Dans cette pièce de théâtre, Normand Chaurette revisite le mythe d'Œdipe en le confrontant à des figures contemporaines. L'histoire se déroule dans un asile psychiatrique où les patients endossent les rôles des personnages tragiques. Entre réalité et folie, le texte explore les thèmes de la culpabilité, de la destinée et de la quête de vérité. Une œuvre puissante et complexe qui interroge les limites de la condition humaine. Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet

Stabat mater

Auteur

Editeur

Format

Grand Format

Publication

04 avril 2000

Audience

Adulte - Grand Public

Pages

53

Taille

20.5 x 15 x 0.5 cm

Poids

90

ISBN-13

9782742725625

Contenu

4ème de couverture

Manustro est une cité maudite où les jeunes filles se noient dans les écluses. Des mères se croisent à la morgue de la ville où elles vont reconnaître leurs dépouilles, certaines prostrées dans leur peine, d'autres illuminées par ce deuil imprévisible. L'eau des écluses, en même temps qu'elle les invite à mourir, ne procure-t-elle pas aussi à ces jeunes femmes une profonde paix ? Car les enfants de la cité disent "que l'eau des écluses dans le calme des nuits est à la base de la joie"... Entre la mort et la lumière, la distance n'est peut-être pas celle de toutes les douleurs et de tous les doutes.