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Relation de voyage

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Audience : Adulte - Grand Public
Le Pitch
Présentation de l'éditeur La traversée américaine du conquistador parti d?Andalousie en 1527. Quatrième de couverture Si les choses étaient ce qu?elles devraient être, et bien faite la tête des hommes qui porte si mal au rêve et à la justice, Alvar Núñez Cabeza de Vaca serait en nous, là où se gagnent la gloire et l?admiration, savoir dans notre mémoire et alors, de nous à lui, quels élans du c?ur ! Quelle fièvre de l?imaginaire ! Quelles courses dans la forêt américaine, qui fut la plus belle du monde, et notre regard voilé à connaître, à travers lui qui les raconte, tant de misères, une telle cruauté, qu?on croit lire, hallucinant, le livre du Mal ! Or les choses ne sont pas ce qu?elles devraient être et les hommes ont la tête mal faite. Alvar Núñez Cabeza de Vaca, dit Cabeza de Vaca, et donc, en français, Tête de Vache? Il est trésorier et grand alguazil de l?expédition ? cinq navires, six cents hommes ? que commande Pánfilo de Narváez, le conquérant borgne (il a perdu un ?il en se battant contre Cortés) de Cuba, sans doute psychopathe et l?un des plus sinistres ?bourreaux d?Indiens? de l?histoire des conquistadores. Le rêve de tous : l?or ? en trouver autant au nord du Rio Grande que Cortés en découvrit au sud. Voici trente-cinq ans à peine que Christophe Colomb a révélé le Nouveau Monde. Bonne ou erronée, l?information est lente à se répandre : Cabeza de Vaca, comme Colomb, parle toujours des ?Indes? et on ne connaît rien, alors, de l?Amérique septentrionale, c?est-à-dire du pays qui n?en finit pas de s?étendre au nord du golfe du Mexique. La flotte, le 17 juin 1527, quitte l?Andalousie pour la Floride, via Saint-Domingue et Cuba. L?Amérique des navigateurs a sa bible : l??uvre d?un amiral ? un homme qui, par métier, s?y connaît ? Samuel Eliot Morison*. Il a pu établir que, durant tout le XVIe siècle, un sur trois des ?aventuriers? (au sens propre du mot) qui tentaient le voyage transocéanique jamais ne prenait pied sur le continent. La faute aux cyclones, aux maladies, aux rixes, à l?ordinaire déprimant de lard et de biscuits. De Cuba, où ils ont subi les vents, les tempêtes, les pluies torrentielles, où ils ont survécu à l?écroulement des maisons et à l?arrachement des arbres (l?enfer, déjà?), les navires s?efforcent de gagner la Floride, malgré l?Océan déchaîné et sans le secours alors des calculs de longitude**. Ils sont trois cents à débarquer, près de la baie de Tampa, le 12 avril 1528. Dix mois pour traverser l?Atlantique ! La flotte a l?ordre d?attendre le retour de Narváez qui, à la tête de deux cent soixante fantassins et quarante cavaliers, s?enfonce vers le nord. Afficher moinsAfficher plus

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Présentation de l'éditeur La traversée américaine du conquistador parti d?Andalousie en 1527. Quatrième de couverture Si les choses étaient ce qu?elles devraient être, et bien faite la tête des hommes qui porte si mal au rêve et à la justice, Alvar Núñez Cabeza de Vaca serait en nous, là où se gagnent la gloire et l?admiration, savoir dans notre mémoire et alors, de nous à lui, quels élans du c?ur ! Quelle fièvre de l?imaginaire ! Quelles courses dans la forêt américaine, qui fut la plus belle du monde, et notre regard voilé à connaître, à travers lui qui les raconte, tant de misères, une telle cruauté, qu?on croit lire, hallucinant, le livre du Mal ! Or les choses ne sont pas ce qu?elles devraient être et les hommes ont la tête mal faite. Alvar Núñez Cabeza de Vaca, dit Cabeza de Vaca, et donc, en français, Tête de Vache? Il est trésorier et grand alguazil de l?expédition ? cinq navires, six cents hommes ? que commande Pánfilo de Narváez, le conquérant borgne (il a perdu un ?il en se battant contre Cortés) de Cuba, sans doute psychopathe et l?un des plus sinistres ?bourreaux d?Indiens? de l?histoire des conquistadores. Le rêve de tous : l?or ? en trouver autant au nord du Rio Grande que Cortés en découvrit au sud. Voici trente-cinq ans à peine que Christophe Colomb a révélé le Nouveau Monde. Bonne ou erronée, l?information est lente à se répandre : Cabeza de Vaca, comme Colomb, parle toujours des ?Indes? et on ne connaît rien, alors, de l?Amérique septentrionale, c?est-à-dire du pays qui n?en finit pas de s?étendre au nord du golfe du Mexique. La flotte, le 17 juin 1527, quitte l?Andalousie pour la Floride, via Saint-Domingue et Cuba. L?Amérique des navigateurs a sa bible : l??uvre d?un amiral ? un homme qui, par métier, s?y connaît ? Samuel Eliot Morison*. Il a pu établir que, durant tout le XVIe siècle, un sur trois des ?aventuriers? (au sens propre du mot) qui tentaient le voyage transocéanique jamais ne prenait pied sur le continent. La faute aux cyclones, aux maladies, aux rixes, à l?ordinaire déprimant de lard et de biscuits. De Cuba, où ils ont subi les vents, les tempêtes, les pluies torrentielles, où ils ont survécu à l?écroulement des maisons et à l?arrachement des arbres (l?enfer, déjà?), les navires s?efforcent de gagner la Floride, malgré l?Océan déchaîné et sans le secours alors des calculs de longitude**. Ils sont trois cents à débarquer, près de la baie de Tampa, le 12 avril 1528. Dix mois pour traverser l?Atlantique ! La flotte a l?ordre d?attendre le retour de Narváez qui, à la tête de deux cent soixante fantassins et quarante cavaliers, s?enfonce vers le nord. Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
Relation de voyage (1527-1537)
Editeur
Format
Poche
Publication
01 janvier 1999
Traduction
Lesfargues, Bernard
Traduction
Auzias, Jean-Marie
Audience
Adulte - Grand Public
Pages
240
Taille
1.8 x 1.1 x 0.2 cm
Poids
194
ISBN-13
9782742702893

Contenu

4ème de couverture

Si les choses étaient ce qu?elles devraient être, et bien faite la tête des hommes qui porte si mal au rêve et à la justice, Alvar Núñez Cabeza de Vaca serait en nous, là où se gagnent la gloire et l?admiration, savoir dans notre mémoire et alors, de nous à lui, quels élans du c?ur ! Quelle fièvre de l?imaginaire ! Quelles courses dans la forêt américaine, qui fut la plus belle du monde, et notre regard voilé à connaître, à travers lui qui les raconte, tant de misères, une telle cruauté, qu?on croit lire, hallucinant, le livre du Mal ! Or les choses ne sont pas ce qu?elles devraient être et les hommes ont la tête mal faite. Alvar Núñez Cabeza de Vaca, dit Cabeza de Vaca, et donc, en français, Tête de Vache? Il est trésorier et grand alguazil de l?expédition ? cinq navires, six cents hommes ? que commande Pánfilo de Narváez, le conquérant borgne (il a perdu un ?il en se battant contre Cortés) de Cuba, sans doute psychopathe et l?un des plus sinistres ?bourreaux d?Indiens? de l?histoire des conquistadores. Le rêve de tous : l?or ? en trouver autant au nord du Rio Grande que Cortés en découvrit au sud. Voici trente-cinq ans à peine que Christophe Colomb a révélé le Nouveau Monde. Bonne ou erronée, l?information est lente à se répandre : Cabeza de Vaca, comme Colomb, parle toujours des ?Indes? et on ne connaît rien, alors, de l?Amérique septentrionale, c?est-à-dire du pays qui n?en finit pas de s?étendre au nord du golfe du Mexique. La flotte, le 17 juin 1527, quitte l?Andalousie pour la Floride, via Saint-Domingue et Cuba. L?Amérique des navigateurs a sa bible : l??uvre d?un amiral ? un homme qui, par métier, s?y connaît ? Samuel Eliot Morison*. Il a pu établir que, durant tout le XVIe siècle, un sur trois des ?aventuriers? (au sens propre du mot) qui tentaient le voyage transocéanique jamais ne prenait pied sur le continent. La faute aux cyclones, aux maladies, aux rixes, à l?ordinaire déprimant de lard et de biscuits. De Cuba, où ils ont subi les vents, les tempêtes, les pluies torrentielles, où ils ont survécu à l?écroulement des maisons et à l?arrachement des arbres (l?enfer, déjà?), les navires s?efforcent de gagner la Floride, malgré l?Océan déchaîné et sans le secours alors des calculs de longitude**. Ils sont trois cents à débarquer, près de la baie de Tampa, le 12 avril 1528. Dix mois pour traverser l?Atlantique ! La flotte a l?ordre d?attendre le retour de Narváez qui, à la tête de deux cent soixante fantassins et quarante cavaliers, s?enfonce vers le nord.

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