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Les Panzers de la Garde Noire

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Le Pitch
Quatrième de couverture Dans la nuit du 23 au 24 avril 1945, un ordre parvient à l'état-major du régiment " Charlemagne " : l'unité des volontaires français de la Waffen SS, qui vient de livrer de terribles combats en Poméranie, où la division a été aux trois quarts anéantie, doit envoyer de toute urgence un bataillon d'assaut à Berlin. Plus de trois cents hommes parviennent à rejoindre la capitale du Reich, au moment même où les forces soviétiques en achèvent l'encerclement. Les Français appelés ainsi à livrer leur dernier combat traversent la ville en chantant, au milieu d'une population stupéfaite de leur arrivée, alors que tout s'écroule. Engagés dans le secteur de Neukölln, ils reprennent aux Russes quelques pâtés de maisons, mais doivent se replier pour éviter l'encerclement. Ils rejoignent la Hermannplatz, où ils sont organisés en commandos d'intervention contre les chars. Ils vont défendre, pendant près d'une semaine, les artères menant de la place Belle-Alliance à la porte de Brandebourg. L'étau de l'Armée Rouge se resserre inexorablement sur la Chancellerie, où Adolf Hitler vit ses dernières heures. Après avoir mis plus de soixante chars russes hors de combat, les SS français seront les derniers à se battre encore au matin du 2 mai 1945, lors de la capitulation des forces allemandes de la capitale. Sur les trois cents volontaires partis pour " mourir à Berlin ", il n'en reste alors plus qu'une trentaine encore capables de porter les armes, tandis que s'écroule autour d'eux le monde national-socialiste, dans le décor même du " crépuscule des dieux ", illuminé par les flammes d'innombrables incendies. Afficher moinsAfficher plus

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Le Pitch

Quatrième de couverture Dans la nuit du 23 au 24 avril 1945, un ordre parvient à l'état-major du régiment " Charlemagne " : l'unité des volontaires français de la Waffen SS, qui vient de livrer de terribles combats en Poméranie, où la division a été aux trois quarts anéantie, doit envoyer de toute urgence un bataillon d'assaut à Berlin. Plus de trois cents hommes parviennent à rejoindre la capitale du Reich, au moment même où les forces soviétiques en achèvent l'encerclement. Les Français appelés ainsi à livrer leur dernier combat traversent la ville en chantant, au milieu d'une population stupéfaite de leur arrivée, alors que tout s'écroule. Engagés dans le secteur de Neukölln, ils reprennent aux Russes quelques pâtés de maisons, mais doivent se replier pour éviter l'encerclement. Ils rejoignent la Hermannplatz, où ils sont organisés en commandos d'intervention contre les chars. Ils vont défendre, pendant près d'une semaine, les artères menant de la place Belle-Alliance à la porte de Brandebourg. L'étau de l'Armée Rouge se resserre inexorablement sur la Chancellerie, où Adolf Hitler vit ses dernières heures. Après avoir mis plus de soixante chars russes hors de combat, les SS français seront les derniers à se battre encore au matin du 2 mai 1945, lors de la capitulation des forces allemandes de la capitale. Sur les trois cents volontaires partis pour " mourir à Berlin ", il n'en reste alors plus qu'une trentaine encore capables de porter les armes, tandis que s'écroule autour d'eux le monde national-socialiste, dans le décor même du " crépuscule des dieux ", illuminé par les flammes d'innombrables incendies. Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
Mourir à Berlin: Les Français, derniers défenseurs du bunker d'Adolf Hitler
Auteur
Editeur
Format
Broché
Publication
15 novembre 1995
Pages
273
Taille
0 x 0 x 0 cm
Poids
439
ISBN-13
9782733904985

Contenu

4ème de couverture

Dans la nuit du 23 au 24 avril 1945, un ordre parvient à l'état-major du régiment " Charlemagne " : l'unité des volontaires français de la Waffen SS, qui vient de livrer de terribles combats en Poméranie, où la division a été aux trois quarts anéantie, doit envoyer de toute urgence un bataillon d'assaut à Berlin. Plus de trois cents hommes parviennent à rejoindre la capitale du Reich, au moment même où les forces soviétiques en achèvent l'encerclement. Les Français appelés ainsi à livrer leur dernier combat traversent la ville en chantant, au milieu d'une population stupéfaite de leur arrivée, alors que tout s'écroule. Engagés dans le secteur de Neukölln, ils reprennent aux Russes quelques pâtés de maisons, mais doivent se replier pour éviter l'encerclement. Ils rejoignent la Hermannplatz, où ils sont organisés en commandos d'intervention contre les chars. Ils vont défendre, pendant près d'une semaine, les artères menant de la place Belle-Alliance à la porte de Brandebourg. L'étau de l'Armée Rouge se resserre inexorablement sur la Chancellerie, où Adolf Hitler vit ses dernières heures. Après avoir mis plus de soixante chars russes hors de combat, les SS français seront les derniers à se battre encore au matin du 2 mai 1945, lors de la capitulation des forces allemandes de la capitale. Sur les trois cents volontaires partis pour " mourir à Berlin ", il n'en reste alors plus qu'une trentaine encore capables de porter les armes, tandis que s'écroule autour d'eux le monde national-socialiste, dans le décor même du " crépuscule des dieux ", illuminé par les flammes d'innombrables incendies.
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