Drôle de couples: 47 coups de foudre dans le monde animal

Name: Drôle de couples: 47 coups de foudre dans le monde animal
Brand: Holland, Jennifer-S
SKU: PR-9782709642446
Price: 4.95 EUR
Availability: InStock
Rating: 1.0 (2 reviews)

1.0

(2)

Audience : Adulte - Grand Public

Le Pitch

Biographie de l'auteur Jennifer S. Holland est une journaliste scientifique dont le magazine National Geographic publie régulièrement les articles sur l’histoire naturelle (les reptiles, les mammifères, les oiseaux, les amibes ; elle s’intéresse à tout ce qui vit). Elle habite avec son mari, leurs deux chiens et des douzaines de serpents et de lézards. Présentation de l'éditeur 47 coups de foudre dans le monde animal Imaginez un prédateur câlinant sa proie. Ou un oiseau se rapprochant d’un mammifère. Ou un poisson sortant la tête de l’eau pour se frotter contre le museau d’un chien. Ou encore un énorme gorille – dénommé Koko, célèbre pour son aptitude à communiquer à l’aide du langage des signes – serrant contre lui un minuscule chaton. La journaliste scientifique Jennifer S. Holland raconte quarante-sept histoires vraies d’un point de vue original. Dans certains cas, elle offre des explications scientifiques plausibles : un orphelin cherche du réconfort auprès d’un animal plus âgé ; un adulte aspire à prendre soin d’une créature sans défense. Il suffit de songer à la lionne qui a protégé un bébé oryx – une attitude surprenante et pourtant explicable. Il arrive qu’une amitié se noue par besoin, comme dans le cas du labrador aveugle et du chat qui le guidait. Parfois aussi, le mystère reste entier. Comment expliquer qu’Owen l’hippopotame et Mzee la tortue, issus d’espèces connues pour leur mauvais caractère, soient devenus les meilleurs copains du monde ? Chaque histoire met en évidence le pouvoir de l’amitié et l’existence de certaines formes d’affection au sein du règne animal. Certes, l’idée suscitera peut-être les moqueries des scientifiques mais vous ne verrez plus les animaux de la même façon une fois terminé ce livre. Traduit de l’anglais par Marie Boudewyn Extrait Extrait de l'introduction Enfant, mon mari John a eu pour meilleur ami un raton laveur; une minuscule boule de fourrure qu'un chat errant déposa un beau jour dans la botte d'un voisin. John, alors âgé de dix ans, prit soin de lui. Il l'abritait au creux de sa main, lui versait du lait dans la bouche à l'aide d'un compte-gouttes et, la nuit, le plaçait sur une couverture, dans une boîte, près d'un réveil dont le tic-tac rappelait à l'animal, baptisé Bandit, les battements du coeur de sa mère. En grandissant, Bandit prit l'habitude d'accompagner John partout - sur le chemin de l'école, à table le soir, et même sous la douche. Bandit se juchait sur l'épaule de John et s'accrochait à son col de chemise, le museau dans le vent, tandis qu'ils filaient à vélo. Le raton laveur dormait en boule sur l'oreiller de John et lui marmottait ses rêves d'animaux au creux de l'oreille. Aucun autre mot qu'«amitié» ne décrit mieux le lien qui les unissait. Il n'y a rien d'exceptionnel à ce que des êtres humains s'attachent à des animaux. Plus de la moitié des foyers aux États-Unis possèdent des animaux de compagnie, auxquels ils consacrent chaque année plus de quarante milliards de dollars. Des études prouvent que le contact avec des animaux est en mesure de faire baisser la tension et de soulager la dépression et la souffrance, aussi bien physique que mentale, liée au vieillissement - or il ne s'agit là que de quelques exemples parmi tant d'autres de la capacité de nos amies les bêtes à enrichir notre vie. Les rapprochements entre espèces - chien et âne, chat et oiseau, éléphant et mouton - surprennent plus, vu qu'ils demeurent plus rares qu'entre l'homme et le reste du règne animal. Le phénomène s'observe plus fréquemment chez les animaux en captivité, entre autres parce qu'on les prend plus souvent sur le fait. Mais aussi, affirme la biologiste spécialiste des primates, Barbara King de l'université du Michigan, parce que dans de telles conditions, les animaux, n'ayant plus à lutter pour assouvir leurs besoins, baissent la garde et investissent ailleurs leur énergie émotionnelle. Bien sûr, il existe aussi des cas d'associations entre espèces à l'état sauvage. «Le plus Afficher moinsAfficher plus

Holland, Jennifer S.

Drôle de couples: 47 coups de foudre dans le monde animal

1.0

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4,95 €

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Le Pitch

Biographie de l'auteur Jennifer S. Holland est une journaliste scientifique dont le magazine National Geographic publie régulièrement les articles sur l’histoire naturelle (les reptiles, les mammifères, les oiseaux, les amibes ; elle s’intéresse à tout ce qui vit). Elle habite avec son mari, leurs deux chiens et des douzaines de serpents et de lézards. Présentation de l'éditeur 47 coups de foudre dans le monde animal Imaginez un prédateur câlinant sa proie. Ou un oiseau se rapprochant d’un mammifère. Ou un poisson sortant la tête de l’eau pour se frotter contre le museau d’un chien. Ou encore un énorme gorille – dénommé Koko, célèbre pour son aptitude à communiquer à l’aide du langage des signes – serrant contre lui un minuscule chaton. La journaliste scientifique Jennifer S. Holland raconte quarante-sept histoires vraies d’un point de vue original. Dans certains cas, elle offre des explications scientifiques plausibles : un orphelin cherche du réconfort auprès d’un animal plus âgé ; un adulte aspire à prendre soin d’une créature sans défense. Il suffit de songer à la lionne qui a protégé un bébé oryx – une attitude surprenante et pourtant explicable. Il arrive qu’une amitié se noue par besoin, comme dans le cas du labrador aveugle et du chat qui le guidait. Parfois aussi, le mystère reste entier. Comment expliquer qu’Owen l’hippopotame et Mzee la tortue, issus d’espèces connues pour leur mauvais caractère, soient devenus les meilleurs copains du monde ? Chaque histoire met en évidence le pouvoir de l’amitié et l’existence de certaines formes d’affection au sein du règne animal. Certes, l’idée suscitera peut-être les moqueries des scientifiques mais vous ne verrez plus les animaux de la même façon une fois terminé ce livre. Traduit de l’anglais par Marie Boudewyn Extrait Extrait de l'introduction Enfant, mon mari John a eu pour meilleur ami un raton laveur; une minuscule boule de fourrure qu'un chat errant déposa un beau jour dans la botte d'un voisin. John, alors âgé de dix ans, prit soin de lui. Il l'abritait au creux de sa main, lui versait du lait dans la bouche à l'aide d'un compte-gouttes et, la nuit, le plaçait sur une couverture, dans une boîte, près d'un réveil dont le tic-tac rappelait à l'animal, baptisé Bandit, les battements du coeur de sa mère. En grandissant, Bandit prit l'habitude d'accompagner John partout - sur le chemin de l'école, à table le soir, et même sous la douche. Bandit se juchait sur l'épaule de John et s'accrochait à son col de chemise, le museau dans le vent, tandis qu'ils filaient à vélo. Le raton laveur dormait en boule sur l'oreiller de John et lui marmottait ses rêves d'animaux au creux de l'oreille. Aucun autre mot qu'«amitié» ne décrit mieux le lien qui les unissait. Il n'y a rien d'exceptionnel à ce que des êtres humains s'attachent à des animaux. Plus de la moitié des foyers aux États-Unis possèdent des animaux de compagnie, auxquels ils consacrent chaque année plus de quarante milliards de dollars. Des études prouvent que le contact avec des animaux est en mesure de faire baisser la tension et de soulager la dépression et la souffrance, aussi bien physique que mentale, liée au vieillissement - or il ne s'agit là que de quelques exemples parmi tant d'autres de la capacité de nos amies les bêtes à enrichir notre vie. Les rapprochements entre espèces - chien et âne, chat et oiseau, éléphant et mouton - surprennent plus, vu qu'ils demeurent plus rares qu'entre l'homme et le reste du règne animal. Le phénomène s'observe plus fréquemment chez les animaux en captivité, entre autres parce qu'on les prend plus souvent sur le fait. Mais aussi, affirme la biologiste spécialiste des primates, Barbara King de l'université du Michigan, parce que dans de telles conditions, les animaux, n'ayant plus à lutter pour assouvir leurs besoins, baissent la garde et investissent ailleurs leur énergie émotionnelle. Bien sûr, il existe aussi des cas d'associations entre espèces à l'état sauvage. «Le plus Afficher moinsAfficher plus