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Pisser dans les cours d'eau - Carnets de reportages très ind

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Audience : Adulte - Grand Public
Le Pitch
4e de couverture« Mon copain Shérif m'avait prévenu, deux jours avant le départ. "Les gens qui travaillent, t'as compris, ils n'aiment pas les glandeurs. Ils vont se demander pourquoi tu voyages, pourquoi t'es là alors que, eux, ils n'ont pas l'argent, pas le temps. Si tu dis que t'es écrivain, là, d'accord, ils vont pas avoir envie de te taper dessus. Les gens — comment t'expliquer ? —, ils n'aiment pas les journalistes mais ils respectent les écrivains, voilà. Ils vont se dire :Ben merde, écrivain, et ils te raconteront leurs histoires." » En autostop d'un bout à l'autre de la Russie en guerre, de la frontière mexicaine aux réserves sioux du Dakota pendant la campagne présidentielle américaine, aux six coins de la France écartelée comme une peau de vache l'été de la dissolution, Serge traîne, seul ou en meute, glanant des morceaux de vie au hasard de la route. Les récits qu'il rapporte nous donnent à voir des bouts du monde. Le monde tel qu'il est, non tel qu'il devrait être. Serge Hastoma 30 ans. Il est reporter indépendant et cofondateur de la revueInvendable. "C’est du vrai journalisme littéraire, qui donne des existences concrètes et émouvantes aux personnes rencontrées, en leur laissant la parole pour raconter un bout de leur histoire [...] Cette justesse dans l'évocation explosive et archi-personnelle des territoires parcourus rend l'immersion saisissante de vérité, elle fait bouger quelques lignes." Tiphaine Samoyault, Le Monde des livres "Ce Nicolas Bouvier punk a rapporté des carnets de route extraordinaires, drôles et tragiques à la fois [...] Sa curiosité sans oeillère et son style savamment débraillé font des étincelles à chaque page. Un vrai livre de vraie littérature, toujours à hauteur d'homme", Grégoire Leménager, Le Nouvel Obs "Serge Hastom et les francs-tireurs de la revue Invendable, partisans d'écrire ce qu'ils ne trouvent pas à lire dans la presse, font le bilan : à force de parleraux réacs de tous les pays, on commence à bien les connaître. Agilité mentale, endurance, écriture savoureuse : bravo les artistes !" Frédéric Pagès, Le Canard enchaîné. "Le livre haletant d’un journaliste contrarié." Jean-Marie Durand, Les Inrocks "Pisser dans les cours d'eau, ce sont mille histoires nées d'une démarche d'une rare simplicité. Un travail de journaliste mené tantôt seul, tantôt avec des compagnons d'échappée. Un travail qui, par son ambition, les mois passés sur le terrain et la plume de son jeune auteur, évoque bien plus qu'un simple article au long cours. Certains éditeurs auraient appelé cela "récit de voyage" voire "roman" car le texte en a les qualités. Ce qui est sûr, c'est que ses 350 pages se lisent d'une traite. Une plongée décapante." Théo Moy, La Croix,Présentation« Mon copain Shérif m'avait prévenu, deux jours avant le départ. "Les gens qui travaillent, t'as compris, ils n'aiment pas les glandeurs. Ils vont se demander pourquoitu voyages, pourquoi t'es là alors que, eux, ils n'ont pas l'argent, pas le temps. Si tu dis que t'es écrivain, là, d'accord, ils vont pas avoir envie de te taper dessus. Les gens — comment t'expliquer ? —, ils n'aiment pas les journalistes mais ils respectent les écrivains, voilà. Ils vont se dire :Ben merde, écrivain, et ils te raconteront leurs histoires." » En autostop d'un bout à l'autre de la Russie en guerre, de la frontière mexicaine aux réserves sioux du Dakota pendant la campagne présidentielle américaine, aux six coins de la France écartelée comme une peau de vache l'été de la dissolution, Serge traîne, seul ou en meute, glanant des morceaux de vie au hasard de la route. Les récits qu'il rapporte nous donnent à voir des bouts du monde. Le monde tel qu'il est, non tel qu'il devrait être. Serge Hastoma 30 ans. Il est reporter indépendant et cofondateur de la revueInvendable. "C’est du vrai journalisme littéraire, qui donne des existences concrètes et émouvantes aux personnes rencontrées, en leur laissant la parole pour raconter un bout de leur histoire [...] Cette justesse dans l'évocation explosive et archi-personnelle des territoires parcourus rend l'immersion saisissante de vérité, elle fait bouger quelques lignes." Tiphaine Samoyault, Le Monde des livres "Ce Nicolas Bouvier punk a rapporté des carnets de route extraordinaires, drôles et tragiques à la fois [...] Sa curiosité sans oeillère et son style savamment débraillé font des étincelles à chaque page. Un vrai livre de vraie littérature, toujours à hauteur d'homme", Grégoire Leménager, Le Nouvel Obs "Serge Hastom et les francs-tireurs de la revue Invendable, partisans d'écrire ce qu'ils ne trouvent pas à lire dans la presse, font le bilan : à force de parler aux réacs de tous les pays, on commence à bien les connaître. Agilité mentale, endurance, écriture savoureuse : bravo les artistes !" Frédéric Pagès, Le Canard enchaîné. "Le livre haletant d’un journaliste contrarié." Jean-Marie Durand, Les Inrocks "Pisser dans les cours d'eau, ce sont mille histoires néesd'une démarche d'une rare simplicité. Un travail de journaliste mené tantôt seul, tantôt avec des compagnons d'échappée. Un travail qui, par son ambition, les mois passés sur le terrain et la plume de son jeune auteur, évoque bien plus qu'un simple article au long cours. Certains éditeurs auraient appelé cela "récit de voyage" voire "roman" car le texte en a les qualités. Ce qui est sûr, c'est que ses 350 pages se lisent d'une traite. Une plongée décapante." Théo Moy, La Croix Afficher moinsAfficher plus

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4e de couverture« Mon copain Shérif m'avait prévenu, deux jours avant le départ. "Les gens qui travaillent, t'as compris, ils n'aiment pas les glandeurs. Ils vont se demander pourquoi tu voyages, pourquoi t'es là alors que, eux, ils n'ont pas l'argent, pas le temps. Si tu dis que t'es écrivain, là, d'accord, ils vont pas avoir envie de te taper dessus. Les gens — comment t'expliquer ? —, ils n'aiment pas les journalistes mais ils respectent les écrivains, voilà. Ils vont se dire :Ben merde, écrivain, et ils te raconteront leurs histoires." » En autostop d'un bout à l'autre de la Russie en guerre, de la frontière mexicaine aux réserves sioux du Dakota pendant la campagne présidentielle américaine, aux six coins de la France écartelée comme une peau de vache l'été de la dissolution, Serge traîne, seul ou en meute, glanant des morceaux de vie au hasard de la route. Les récits qu'il rapporte nous donnent à voir des bouts du monde. Le monde tel qu'il est, non tel qu'il devrait être. Serge Hastoma 30 ans. Il est reporter indépendant et cofondateur de la revueInvendable. "C’est du vrai journalisme littéraire, qui donne des existences concrètes et émouvantes aux personnes rencontrées, en leur laissant la parole pour raconter un bout de leur histoire [...] Cette justesse dans l'évocation explosive et archi-personnelle des territoires parcourus rend l'immersion saisissante de vérité, elle fait bouger quelques lignes." Tiphaine Samoyault, Le Monde des livres "Ce Nicolas Bouvier punk a rapporté des carnets de route extraordinaires, drôles et tragiques à la fois [...] Sa curiosité sans oeillère et son style savamment débraillé font des étincelles à chaque page. Un vrai livre de vraie littérature, toujours à hauteur d'homme", Grégoire Leménager, Le Nouvel Obs "Serge Hastom et les francs-tireurs de la revue Invendable, partisans d'écrire ce qu'ils ne trouvent pas à lire dans la presse, font le bilan : à force de parleraux réacs de tous les pays, on commence à bien les connaître. Agilité mentale, endurance, écriture savoureuse : bravo les artistes !" Frédéric Pagès, Le Canard enchaîné. "Le livre haletant d’un journaliste contrarié." Jean-Marie Durand, Les Inrocks "Pisser dans les cours d'eau, ce sont mille histoires nées d'une démarche d'une rare simplicité. Un travail de journaliste mené tantôt seul, tantôt avec des compagnons d'échappée. Un travail qui, par son ambition, les mois passés sur le terrain et la plume de son jeune auteur, évoque bien plus qu'un simple article au long cours. Certains éditeurs auraient appelé cela "récit de voyage" voire "roman" car le texte en a les qualités. Ce qui est sûr, c'est que ses 350 pages se lisent d'une traite. Une plongée décapante." Théo Moy, La Croix,Présentation« Mon copain Shérif m'avait prévenu, deux jours avant le départ. "Les gens qui travaillent, t'as compris, ils n'aiment pas les glandeurs. Ils vont se demander pourquoitu voyages, pourquoi t'es là alors que, eux, ils n'ont pas l'argent, pas le temps. Si tu dis que t'es écrivain, là, d'accord, ils vont pas avoir envie de te taper dessus. Les gens — comment t'expliquer ? —, ils n'aiment pas les journalistes mais ils respectent les écrivains, voilà. Ils vont se dire :Ben merde, écrivain, et ils te raconteront leurs histoires." » En autostop d'un bout à l'autre de la Russie en guerre, de la frontière mexicaine aux réserves sioux du Dakota pendant la campagne présidentielle américaine, aux six coins de la France écartelée comme une peau de vache l'été de la dissolution, Serge traîne, seul ou en meute, glanant des morceaux de vie au hasard de la route. Les récits qu'il rapporte nous donnent à voir des bouts du monde. Le monde tel qu'il est, non tel qu'il devrait être. Serge Hastoma 30 ans. Il est reporter indépendant et cofondateur de la revueInvendable. "C’est du vrai journalisme littéraire, qui donne des existences concrètes et émouvantes aux personnes rencontrées, en leur laissant la parole pour raconter un bout de leur histoire [...] Cette justesse dans l'évocation explosive et archi-personnelle des territoires parcourus rend l'immersion saisissante de vérité, elle fait bouger quelques lignes." Tiphaine Samoyault, Le Monde des livres "Ce Nicolas Bouvier punk a rapporté des carnets de route extraordinaires, drôles et tragiques à la fois [...] Sa curiosité sans oeillère et son style savamment débraillé font des étincelles à chaque page. Un vrai livre de vraie littérature, toujours à hauteur d'homme", Grégoire Leménager, Le Nouvel Obs "Serge Hastom et les francs-tireurs de la revue Invendable, partisans d'écrire ce qu'ils ne trouvent pas à lire dans la presse, font le bilan : à force de parler aux réacs de tous les pays, on commence à bien les connaître. Agilité mentale, endurance, écriture savoureuse : bravo les artistes !" Frédéric Pagès, Le Canard enchaîné. "Le livre haletant d’un journaliste contrarié." Jean-Marie Durand, Les Inrocks "Pisser dans les cours d'eau, ce sont mille histoires néesd'une démarche d'une rare simplicité. Un travail de journaliste mené tantôt seul, tantôt avec des compagnons d'échappée. Un travail qui, par son ambition, les mois passés sur le terrain et la plume de son jeune auteur, évoque bien plus qu'un simple article au long cours. Certains éditeurs auraient appelé cela "récit de voyage" voire "roman" car le texte en a les qualités. Ce qui est sûr, c'est que ses 350 pages se lisent d'une traite. Une plongée décapante." Théo Moy, La Croix Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
Pisser dans les cours d'eau: Carnets de reportages très indépendants
Editeur
Format
Grand Format
Publication
21 mars 2025
Audience
Adulte - Grand Public
Pages
352
Taille
18.9 x 13.8 x 2.5 cm
Poids
326
ISBN-13
9782487867116
Livré entre : 8 décembre - 11 décembre
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