La peur a-t-elle tué nos libertés ?

Grand Format - 16/03/2022 - DES EQUATEURS

4.5

(2)

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation

Avec l'enracinement de l'état d'urgence, la République a endossé les caractéristiques d'un régime sécuritaire entravant les droits légitimes de chacun dans une proportion que la France n'avait jamais connue, ni en temps de paix ni même en temps de crise. Loin du gouvernement modéré de Montesquieu, l'État a jeté un pont entre la culture de la peur et l'exercice du pouvoir. Notre démocratie est incontestablement en danger si elle laisse la peur dominer l'espace public : un tel sentiment pervertit les perceptions humaines, annihile tout discernement éclairé et asservit les esprits. Parallèlement, la mondialisation a rebattu les cartes du Vieux Monde ; elle oblige à penser à travers des phénomènes de masse. La société se délite sous le joug des revendications de l'individu qui aspire à être le seul maître de son destin. La fragilité du pacte social témoigne de son inadaptation à la réalité. Il faut donc le renégocier. Et réfléchir de toute urgence à ce qui pousse le citoyen à maintenir son destin uni à celui du corps social. Plutôt que de coller des rustines sur un système qui se meurt, n'est-il pas temps de remettre la Constitution - seule garante d'un idéal politique - au coeur de notre démocratie ?
Afficher moins Afficher plus
Détails du livre
Auteur

La peur a-t-elle tué nos libertés ?

Grand Format - 16/03/2022 - DES EQUATEURS

4.5

(2)

Occasion
 
 
Il ne reste plus que 1 exemplaire(s) en stock
20,00 € -72 %
Prix réduit5,42 €
Livré entre : 17 mars - 20 mars
Livraison gratuite (FR et BE) à partir de 20,00 € de livres d'occasion

Retour GRATUIT sous 14 jours.


Paiement sécurisé

Achat engagé

Produit collecté et traité en France.

1133 g de CO2eq en moins par rapport au neuf.

Image to render

Revendez-le sur notre application!

Le Pitch

Présentation

Avec l'enracinement de l'état d'urgence, la République a endossé les caractéristiques d'un régime sécuritaire entravant les droits légitimes de chacun dans une proportion que la France n'avait jamais connue, ni en temps de paix ni même en temps de crise. Loin du gouvernement modéré de Montesquieu, l'État a jeté un pont entre la culture de la peur et l'exercice du pouvoir. Notre démocratie est incontestablement en danger si elle laisse la peur dominer l'espace public : un tel sentiment pervertit les perceptions humaines, annihile tout discernement éclairé et asservit les esprits. Parallèlement, la mondialisation a rebattu les cartes du Vieux Monde ; elle oblige à penser à travers des phénomènes de masse. La société se délite sous le joug des revendications de l'individu qui aspire à être le seul maître de son destin. La fragilité du pacte social témoigne de son inadaptation à la réalité. Il faut donc le renégocier. Et réfléchir de toute urgence à ce qui pousse le citoyen à maintenir son destin uni à celui du corps social. Plutôt que de coller des rustines sur un système qui se meurt, n'est-il pas temps de remettre la Constitution - seule garante d'un idéal politique - au coeur de notre démocratie ?
Afficher moins Afficher plus
Détails du livre
Auteur

Aller plus loin

Vous pouvez également aimer

Récemment consultés