Contenu
Notre programme qualité
Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.
Description de l’état d’un livre :
Très bon :
- Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
- Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
- Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées
- La couverture est en parfait étatVous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !
Bon:
- Livre déjà lu et usagé
- Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
- Aucune page n’est manquante
- La couverture est intacte
Correct:
- Livre usagé avec des marques d’usure visibles (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
- Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
- Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
- La couverture de protection peut être manquante
Le Pitch
Note biographique
Pierre Demarty est né (à Paris, en 1976). Éditeur de littérature étrangère et traducteur, il a commis, avantMort aux girafes, trois autres incartades en librairie :Manhattan Volcano(2013),En face(2014),Le Petit Garçon sur la plage(2017).
,Présentation
Un ovni littéraire, une seule phrase de 200 pages et l'art de la digression poussé dans ses ultimes retranchements pour dire le destin tragi-comique d'un homme parti se suicider à Bar-le-Duc. Le plus étonnant ne tient pas à la virtuosité littéraire du texte mais aux émotions suscitées par le roman, incroyablement drôle d'abord, absolument bouleversant au final. Un livre unique.Voir Bar-le-Duc et mourir : on connaît le dicton. Frédéric Berthet, luien tout cas, le connaissait, qui n'a sans doute pas choisi par hasard le chef-lieu de la Meuse pour mettre fin à ses jours. Mais pour quelles raisons ? Se peut-il que son suicide soit lié à l'affaire Flamurd ? Comment expliquer autrement l'implication dans cette trouble histoire d'un ancien bibliothécaire devenu détective privé malgré lui, d'un inquiétant colosse serbe et d'un jeune Sri-Lankais converti au judaïsme ? À moins qu'il ne faille remonter à l'année 1862 pour trouver la clé de l'énigme. Ou encore – prenons soin de ne pas écarter cette hypothèse – que tout ceci ne soit qu'un gigantesque malentendu.
Avançant sous le masque de la digression et du coq-à-l'âne poussés dans leurs ultimes retranchements pour mieux aborder des questions graves telles que la mort, l'amour, la cohabitation interethnique en milieu carcéral et l'épépinage des groseilles,Mort aux girafesest un cri d'indignation, un brûlot féministe, un thriller haletant aux résonances écologiques en prise avec l'actualité la plus actuelle – bref, on l'aura compris, un roman coup de poing dont on ne sort pas indemne.
Le Pitch
Note biographique
Pierre Demarty est né (à Paris, en 1976). Éditeur de littérature étrangère et traducteur, il a commis, avantMort aux girafes, trois autres incartades en librairie :Manhattan Volcano(2013),En face(2014),Le Petit Garçon sur la plage(2017).
,Présentation
Un ovni littéraire, une seule phrase de 200 pages et l'art de la digression poussé dans ses ultimes retranchements pour dire le destin tragi-comique d'un homme parti se suicider à Bar-le-Duc. Le plus étonnant ne tient pas à la virtuosité littéraire du texte mais aux émotions suscitées par le roman, incroyablement drôle d'abord, absolument bouleversant au final. Un livre unique.Voir Bar-le-Duc et mourir : on connaît le dicton. Frédéric Berthet, luien tout cas, le connaissait, qui n'a sans doute pas choisi par hasard le chef-lieu de la Meuse pour mettre fin à ses jours. Mais pour quelles raisons ? Se peut-il que son suicide soit lié à l'affaire Flamurd ? Comment expliquer autrement l'implication dans cette trouble histoire d'un ancien bibliothécaire devenu détective privé malgré lui, d'un inquiétant colosse serbe et d'un jeune Sri-Lankais converti au judaïsme ? À moins qu'il ne faille remonter à l'année 1862 pour trouver la clé de l'énigme. Ou encore – prenons soin de ne pas écarter cette hypothèse – que tout ceci ne soit qu'un gigantesque malentendu.
Avançant sous le masque de la digression et du coq-à-l'âne poussés dans leurs ultimes retranchements pour mieux aborder des questions graves telles que la mort, l'amour, la cohabitation interethnique en milieu carcéral et l'épépinage des groseilles,Mort aux girafesest un cri d'indignation, un brûlot féministe, un thriller haletant aux résonances écologiques en prise avec l'actualité la plus actuelle – bref, on l'aura compris, un roman coup de poing dont on ne sort pas indemne.