Contenu
Notre programme qualité
Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.
Description de l’état d’un livre :
Très bon :
- Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
- Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
- Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées
- La couverture est en parfait étatVous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !
Bon:
- Livre déjà lu et usagé
- Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
- Aucune page n’est manquante
- La couverture est intacte
Correct:
- Livre usagé avec des marques d’usure visibles (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
- Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
- Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
- La couverture de protection peut être manquante
Le Pitch
Note biographique
Elisabeth Barillé est l'auteure de plusieurs romans, récits et biographies, parmi lesquelsL'Oreille d'or(Grasset, Prix Maurice Genevoix 2016).
Présentation
Lucie, solaire, insaisissable, abandonne tout un beau matin pour partir à Dubaï. Un saut dans le vide perturbant pour la narratrice, sa sœur aînée peu téméraire et rêveuse.Le renoncement. J'en étais loin concernant ma sœur, l'espoir qu'elle rentre en France me taraudait. Il me fallait me raisonner, je multipliais les admonestations à moi-même. Laisse Lucie être ce qu'elle est, joueuse et rebelle.
Lucie tient à peine sur ses petites jambes quand elle commence à apprivoiser l'usage du mot " non " et la puissance qui s'en dégage. Comme les obstacles pour les chevaux de course, les normes sont pour elle des incitations à sauter. Les normes appellent la transgression, pas l'obéissance. Transgresser lui est naturel, comme chanter pour l'oiseau.
Lucie, solaire, insaisissable, abandonne tout un beau matin pour partir à Dubaï. Un saut dans le vide perturbant pour la narratrice, sa sœur aînée peu téméraire et rêveuse, qui enquête depuis des mois sur la vie d'une femme du XVIIIe siècle, Madeleine-Françoise Basseporte, issue d'un milieu modeste, devenue botaniste du roi et peintre naturaliste, alors célébrée par les Encyclopédistes.
À quoi songe cette artiste en dessinant ses planches merveilleuses de jacinthes ou de lilas ? Et comment a-t-elle pu sombrer dans un tel oubli ?
L'oubli, est-ce aussi ce que recherche Lucie ? Comment expliquer sa fuite ? À quelle malédiction du passé veut-elle échapper ? Et qu'espère-t-elle trouver dans la capitale du matérialisme et de l'outrance ?
Rien n'est plus secret qu'une existence féminine, disait Marguerite Yourcenar. Tel est le thème magistralement renouvelé par Élisabeth Barillé dansLes Sœurs, et autres espèces du vivant.
Le Pitch
Note biographique
Elisabeth Barillé est l'auteure de plusieurs romans, récits et biographies, parmi lesquelsL'Oreille d'or(Grasset, Prix Maurice Genevoix 2016).
Présentation
Lucie, solaire, insaisissable, abandonne tout un beau matin pour partir à Dubaï. Un saut dans le vide perturbant pour la narratrice, sa sœur aînée peu téméraire et rêveuse.Le renoncement. J'en étais loin concernant ma sœur, l'espoir qu'elle rentre en France me taraudait. Il me fallait me raisonner, je multipliais les admonestations à moi-même. Laisse Lucie être ce qu'elle est, joueuse et rebelle.
Lucie tient à peine sur ses petites jambes quand elle commence à apprivoiser l'usage du mot " non " et la puissance qui s'en dégage. Comme les obstacles pour les chevaux de course, les normes sont pour elle des incitations à sauter. Les normes appellent la transgression, pas l'obéissance. Transgresser lui est naturel, comme chanter pour l'oiseau.
Lucie, solaire, insaisissable, abandonne tout un beau matin pour partir à Dubaï. Un saut dans le vide perturbant pour la narratrice, sa sœur aînée peu téméraire et rêveuse, qui enquête depuis des mois sur la vie d'une femme du XVIIIe siècle, Madeleine-Françoise Basseporte, issue d'un milieu modeste, devenue botaniste du roi et peintre naturaliste, alors célébrée par les Encyclopédistes.
À quoi songe cette artiste en dessinant ses planches merveilleuses de jacinthes ou de lilas ? Et comment a-t-elle pu sombrer dans un tel oubli ?
L'oubli, est-ce aussi ce que recherche Lucie ? Comment expliquer sa fuite ? À quelle malédiction du passé veut-elle échapper ? Et qu'espère-t-elle trouver dans la capitale du matérialisme et de l'outrance ?
Rien n'est plus secret qu'une existence féminine, disait Marguerite Yourcenar. Tel est le thème magistralement renouvelé par Élisabeth Barillé dansLes Sœurs, et autres espèces du vivant.