Contenu
Notre programme qualité
Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.
Description de l’état d’un livre :
Très bon :
- Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
- Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
- Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées
- La couverture est en parfait étatVous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !
Bon:
- Livre déjà lu et usagé
- Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
- Aucune page n’est manquante
- La couverture est intacte
Correct:
- Livre usagé avec des marques d’usure visibles (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
- Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
- Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
- La couverture de protection peut être manquante
Le Pitch
Note biographique
Philippe Bonnin est architecte, anthropologue, et directeur de recherche au CNRS. Un de ses
derniers livres, le Vocabulaire de la spatialité japonaise, CNRS, a reçu le grand prix de l'Académie
d'architecture.
Présentation
L'auteur, architecte et anthropologue, spécialiste du Japon, nous présente la villa impériale Katsura, édifiée au début du XVIIe siècle par le prince Toshihito puis par son fils Toshitada. Décrivant la structure principale, les jardins qui l'entourent ainsi que les quatre pavillons de thé bordant l'étang central, il revient également sur l'histoire de l'édifice, émaillée d'imprécisions et de contre-vérités, afin d'en livrer un regard neuf.Il y a, de par le monde, des lieux qui incitent au rêve, qui répondent à notre intuition du beau, et qui nous échappent comme autant d'énigmes. Le Taj Mahal en Inde, par exemple, ou Casa Malaparte en Italie, ou la Grande muraille de Chine.
Au Japon, c'est la villa Katsura – lieu idéal, dit-on, d'où l'on peut contempler la lune.
Au milieu de son jardin et des quatre pavillons de thé qui bordent l'étang central, édifiée au début du XVIIe siècle par le prince Toshihito, puis son fils Toshitada, sur le bord de la rivière éponyme qui baigne Kyoto, la villa demeure l'image idéale du raffinement, toute de retenue et de sobre distinction aristocratique face à l'architecture surchargée des shōguns Tokugawa qui prenaient alors le pouvoir pour trois siècles de féodalité totalitaire.
Mais la réinterprétation de cette architecture si particulière par les architectes du mouvement
moderne, au début du XXe siècle, a engendré nombre de quiproquos.
Il fallait aujourd'hui tout le talent et la sensibilité de Philippe Bonnin pour nous faire partager cette
esthétique originale et éclairer l'énigme.
Le Pitch
Note biographique
Philippe Bonnin est architecte, anthropologue, et directeur de recherche au CNRS. Un de ses
derniers livres, le Vocabulaire de la spatialité japonaise, CNRS, a reçu le grand prix de l'Académie
d'architecture.
Présentation
L'auteur, architecte et anthropologue, spécialiste du Japon, nous présente la villa impériale Katsura, édifiée au début du XVIIe siècle par le prince Toshihito puis par son fils Toshitada. Décrivant la structure principale, les jardins qui l'entourent ainsi que les quatre pavillons de thé bordant l'étang central, il revient également sur l'histoire de l'édifice, émaillée d'imprécisions et de contre-vérités, afin d'en livrer un regard neuf.Il y a, de par le monde, des lieux qui incitent au rêve, qui répondent à notre intuition du beau, et qui nous échappent comme autant d'énigmes. Le Taj Mahal en Inde, par exemple, ou Casa Malaparte en Italie, ou la Grande muraille de Chine.
Au Japon, c'est la villa Katsura – lieu idéal, dit-on, d'où l'on peut contempler la lune.
Au milieu de son jardin et des quatre pavillons de thé qui bordent l'étang central, édifiée au début du XVIIe siècle par le prince Toshihito, puis son fils Toshitada, sur le bord de la rivière éponyme qui baigne Kyoto, la villa demeure l'image idéale du raffinement, toute de retenue et de sobre distinction aristocratique face à l'architecture surchargée des shōguns Tokugawa qui prenaient alors le pouvoir pour trois siècles de féodalité totalitaire.
Mais la réinterprétation de cette architecture si particulière par les architectes du mouvement
moderne, au début du XXe siècle, a engendré nombre de quiproquos.
Il fallait aujourd'hui tout le talent et la sensibilité de Philippe Bonnin pour nous faire partager cette
esthétique originale et éclairer l'énigme.