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Sakyo, Aya

Kuroneko serie #1

Kuroneko - Le Jeu

4.1

(11)

Audience : Adulte - Public averti
Le Pitch
Présentation de l'éditeur Les humains finissent toujours par m’abandonner. Je suis sûr que toi aussi, un jour... Shingo est un homme-chat, un humain qui se transforme en un chat noir et qui couche avec quiconque lui plaît physiquement. Mais cette fois, c’est lui la victime de l’impérieuse attention de Kagami, l’acteur le plus en vue du moment, à la virilité littéralement irrésistible. Ses attentions éveillent en Shingo une bête qu’il croyait pourtant endormie... Revue de presse L’auteur du shojo très controversé Désir © MAX revient, cette fois-ci chez Taïfu avec un titre boy’s love. Autant vous dire qu’à la couverture et au titre, je n’avais qu’une envie : m’enfuir en courant. Je voyais déjà de loin le fantasme de l’homme chat avec ses oreilles et sa queue bien pratiques dans les scènes de sexe. J’imaginais parfaitement les trésors de non-invention de l’auteur pour exploiter ce gros cliché. De manière décevante, vu sa précédente série. Et pourtant, quelle ne fut pas ma surprise, en refermant le manga, de me dire « Eh, mais c’était pas mal en fin de compte, ça ». Laissez-moi vous expliquer pourquoi. Tout commence par Shingo, un homme pouvant se transformer en chat noir, sa vraie nature. Depuis toujours, on le recueille avant de l’abandonner immédiatement après. Il a l’habitude de voir le monde depuis un vieux carton, et comme à chaque fois cela lui brise le cœur, Shingo a décrété qu’il ne s’attacherait plus à personne. Il travaille comme monteur démonteur de décors pour le cinéma ou la télévision, et seul son collègue et ami parvient à rester proche de lui. En le réveillant le matin quand il ne fait que dormir après avoir passé la nuit dehors, par exemple. Car Shingo couche avec tous ceux qui se présentent, avec la règle d’or de ne jamais les rappeler ou les revoir. Il les domine, les prend sauvagement avant de rentrer chez lui sous forme de chat. Mais en rencontrant Kagami, un acteur sublime et sympathique au premier abord, il va découvrir de nouveaux horizons. Oui, dit comme ça, ce n’est pas vraiment passionnant. Kagami charme le petit chat noir, l’attire dans son lit et le domine sans état d’âme. Shingo n’n’a pas vraiment le choix, l’autre utilisant comme une drogue sur lui qui lui fait perdre tous ses moyens (de l’herbe à chats oui oui). Bref, le voilà à se donner et à prendre littéralement son pied sans vouloir s’attacher et en fuyant ce fauteur de troubles avec qui il renouvelle ses parties de jambes en l’air comme la peste. Il aime ça, alors pourquoi pas ? Tant qu’il n’y a pas plus, avec ce léopard (oui, Kagami peut se transformer en GROS chat). Tout ça, c’était la partie un peu rasoir et classique. Sauf que. De temps en temps, comme des détails, des petits éléments du scénario nous séduisent. Tout d’abord, ce n’est pas Shingo le uke pleurnichard qui va tomber éperdument amoureux (et s’en rendre compte pendant qu’on lui fait l’amour), mais bien notre gentil sème qui avoue ses sentiments de but en blanc. Premier gros point de surprise, on ne l’attendait vraiment pas. Et c’est sans aucun doute ce qui fait tout, rendre Shingo réellement dur à apprivoiser, et ne pas s’en servir comme d’une fausse excuse bien pratique, mais aisée à détruire. De plus, les scènes de sexe sont parfaitement assumées, d’autant plus que pendant longtemps cela se résume au sexe. La queue de chat n’est pas utilisée comme on pourrait le croire, là encore pas de gros cliché juste pour le fan service. Bon, on n’échappe pas aux « non » murmurés tels des « oui » et de l’utilisation qu’en fait Kagami, maiiiiis bon, c’est malgré tout un bel effort de la part de l’auteur ! Rien à redire sur les graphismes qui rendent hommage au boy’s love et à ses scènes crues et détaillées. L’auteur a bien saisi les codes du genre, malgré son expérience dans le shojo. Les expressions passent bien, les proportions sont correctes et la lecture vivante et dynamique. En résumé, Kuroneko est malgré tout un manga très fan service, mais bon dans son d Afficher moinsAfficher plus

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Présentation de l'éditeur Les humains finissent toujours par m’abandonner. Je suis sûr que toi aussi, un jour... Shingo est un homme-chat, un humain qui se transforme en un chat noir et qui couche avec quiconque lui plaît physiquement. Mais cette fois, c’est lui la victime de l’impérieuse attention de Kagami, l’acteur le plus en vue du moment, à la virilité littéralement irrésistible. Ses attentions éveillent en Shingo une bête qu’il croyait pourtant endormie... Revue de presse L’auteur du shojo très controversé Désir © MAX revient, cette fois-ci chez Taïfu avec un titre boy’s love. Autant vous dire qu’à la couverture et au titre, je n’avais qu’une envie : m’enfuir en courant. Je voyais déjà de loin le fantasme de l’homme chat avec ses oreilles et sa queue bien pratiques dans les scènes de sexe. J’imaginais parfaitement les trésors de non-invention de l’auteur pour exploiter ce gros cliché. De manière décevante, vu sa précédente série. Et pourtant, quelle ne fut pas ma surprise, en refermant le manga, de me dire « Eh, mais c’était pas mal en fin de compte, ça ». Laissez-moi vous expliquer pourquoi. Tout commence par Shingo, un homme pouvant se transformer en chat noir, sa vraie nature. Depuis toujours, on le recueille avant de l’abandonner immédiatement après. Il a l’habitude de voir le monde depuis un vieux carton, et comme à chaque fois cela lui brise le cœur, Shingo a décrété qu’il ne s’attacherait plus à personne. Il travaille comme monteur démonteur de décors pour le cinéma ou la télévision, et seul son collègue et ami parvient à rester proche de lui. En le réveillant le matin quand il ne fait que dormir après avoir passé la nuit dehors, par exemple. Car Shingo couche avec tous ceux qui se présentent, avec la règle d’or de ne jamais les rappeler ou les revoir. Il les domine, les prend sauvagement avant de rentrer chez lui sous forme de chat. Mais en rencontrant Kagami, un acteur sublime et sympathique au premier abord, il va découvrir de nouveaux horizons. Oui, dit comme ça, ce n’est pas vraiment passionnant. Kagami charme le petit chat noir, l’attire dans son lit et le domine sans état d’âme. Shingo n’n’a pas vraiment le choix, l’autre utilisant comme une drogue sur lui qui lui fait perdre tous ses moyens (de l’herbe à chats oui oui). Bref, le voilà à se donner et à prendre littéralement son pied sans vouloir s’attacher et en fuyant ce fauteur de troubles avec qui il renouvelle ses parties de jambes en l’air comme la peste. Il aime ça, alors pourquoi pas ? Tant qu’il n’y a pas plus, avec ce léopard (oui, Kagami peut se transformer en GROS chat). Tout ça, c’était la partie un peu rasoir et classique. Sauf que. De temps en temps, comme des détails, des petits éléments du scénario nous séduisent. Tout d’abord, ce n’est pas Shingo le uke pleurnichard qui va tomber éperdument amoureux (et s’en rendre compte pendant qu’on lui fait l’amour), mais bien notre gentil sème qui avoue ses sentiments de but en blanc. Premier gros point de surprise, on ne l’attendait vraiment pas. Et c’est sans aucun doute ce qui fait tout, rendre Shingo réellement dur à apprivoiser, et ne pas s’en servir comme d’une fausse excuse bien pratique, mais aisée à détruire. De plus, les scènes de sexe sont parfaitement assumées, d’autant plus que pendant longtemps cela se résume au sexe. La queue de chat n’est pas utilisée comme on pourrait le croire, là encore pas de gros cliché juste pour le fan service. Bon, on n’échappe pas aux « non » murmurés tels des « oui » et de l’utilisation qu’en fait Kagami, maiiiiis bon, c’est malgré tout un bel effort de la part de l’auteur ! Rien à redire sur les graphismes qui rendent hommage au boy’s love et à ses scènes crues et détaillées. L’auteur a bien saisi les codes du genre, malgré son expérience dans le shojo. Les expressions passent bien, les proportions sont correctes et la lecture vivante et dynamique. En résumé, Kuroneko est malgré tout un manga très fan service, mais bon dans son d Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
Kuroneko - Le Jeu
Auteur
Editeur
Format
Tankobon
Publication
01 janvier 2014
Série
Audience
Adulte - Public averti
Pages
192
Taille
17.8 x 13 x 2.2 cm
Poids
216
ISBN-13
9782351808719
Livré entre : 7 décembre - 10 décembre
Livraison gratuite (FR et BE) à partir de 20,00 € de livres d'occasion
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