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Yoneda, Kou

Twittering birds never fly serie #1

Twittering birds never fly - Tome 01

3.9

(32)

Audience : Adulte - Public averti
Le Pitch
Présentation de l'éditeur Yashiro, un masochiste totalement dépravé, patron d'un clan de yakuza et de la société de finance Shinsei, embauche comme garde du corps Chikara Dômeki, un homme taciturne et peu bavard. Yashiro tombe peu à peu sous le charme taciturne de Dômeki, mais ce dernier reste impassible aux avances de son patron. C'est le début d'une histoire oppressante entre Yashiro qui ne parvient pas à surmonter ses traumatismes d'enfance et Dômeki qui tout en obéissant sans mot dire aux ordres de son patron, cache au fond de lui une cicatrice plus profonde... Revue de presse Ce premier tome du nouveau titre de Kou Yoneda met en scène quatre personnages, avec plus ou moins d’importance. D’abord on commence par une petite nouvelle qui introduit le ton si bien affuté de l’auteur, que l’on connaît déjà par « Le labyrinthe des sentiments ». On y découvre Kageyama, un médecin un peu spécial qui est attiré par les cicatrices comme un papillon de nuit par la lumière. C’est le meilleur ami de Yashiro, un yakuza un peu particulier. On apprend dans la nouvelle de fin que ce dernier est amoureux depuis le lycée, un amour déçu qu’il a été incapable d’afficher, de reconnaître, de vivre. Alors il se contente, depuis des années, d’une amitié fidèle, et va même trouver à son ami l’amour de sa vie, dans un de ses subordonné difficile qui se rebelle contre l’autorité. Kuga est pile celui qu’il faut pour Kageyama, et leur romance introduit le manga avec assez de légèreté. C’est quelque chose qui se passe bien, qui se conclut et ces deux-là semblent s’être trouvés. Mais la majeure partie du tome, et surtout le principal intérêt du manga, c’est l’histoire de Yashiro. Du moins le début de celle-ci. On le découvre sous trois aspects différents dans ce premier opus. D’abord, l’ami conciliant et yakuza intraitable. Puis l’homme torturé, souillé par son passé mais satisfait de sa situation. Et enfin, l’adolescent qui voit ses faibles espoirs piétinés par la seule déception qu’il a eu de toute sa vie.Comme d’habitude dans l’univers de Kou Yoneda, les personnages sont sublimes. Au début on ne pense pas trouver autant de profondeur, mais dès que l’on arrive sur Yashiro, c’est l’explosion. C’est juste le plus beau personnage de yaoi, voire tout court, que j’ai eu l’opportunité de voir depuis « Le jeu du chat et de la souris ». Il est esthétiquement très beau, quoique pas forcément aussi lisse qu’à l’ordinaire. En effet, il est déjà bien adulte, les cheveux laqués, les yeux fins, pas de rondeurs dans les lignes de son corps ni d’élégance trop efféminée. Il a une sexualité très particulière. En effet, il est masochiste. Depuis qu’il a été violé, Yashiro recherche cette souffrance qui lui est source de plaisir. Il inverse les sentiments, fuit l’amour, refuse de s’attacher et préfère qu’on le violente pour être sûr de ne pas tomber amoureux. Il aime qu’on le désire, qu’on lui saute dessus en ayant honte de coucher avec un dépravé pareil. Yashiro est impulsif, entier, mais très secret et complexe à comprendre. Il veut contrôler les autres par tous les moyens possibles, et offrir son corps lui permet de prendre le rapport de force sur son partenaire, et d’en retirer du plaisir. Il est rabaissé plus bas que terre mais c’est cela qui le rend si puissant et hors d’atteinte. Les critiques, les insultes ne l’atteignent pas. Il n’est pas sensible, comme détaché du monde. Yashiro observe le monde et cherche à jouer avec.Mais l’arrivée de Domeki va bouleverser son quotidien si bien rangé. C’est un de ses hommes, et Yashiro ne veut pas toucher à ses hommes de peur que leur admiration couplée à un rapport physique les fasse tomber amoureux de lui. Mais Domeki est nouvellement arrivé, et Yashiro comprend vite qu’il ne le désire pas. Pire, qu’il est impuissant. C’est parfait. Aucun risque qu’il tombe amoureux puisqu’il n’a pas envie de lui, pas vrai ? Et le voir incapable de bander pour lui l’excite d’autant plus. On comprend à la fin du tome que c’est sans doute Afficher moinsAfficher plus

Yoneda, Kou

Twittering birds never fly serie #1

Twittering birds never fly - Tome 01

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Yashiro, un masochiste totalement dépravé, patron d'un clan de yakuza et de la société de finance Shinsei, embauche comme garde du corps Chikara Dômeki, un homme taciturne et peu bavard. Yashiro tombe peu à peu sous le charme taciturne de Dômeki, mais ce dernier reste impassible aux avances de son patron. C'est le début d'une histoire oppressante entre Yashiro qui ne parvient pas à surmonter ses traumatismes d'enfance et Dômeki qui tout en obéissant sans mot dire aux ordres de son patron, cache au fond de lui une cicatrice plus profonde... Revue de presse Ce premier tome du nouveau titre de Kou Yoneda met en scène quatre personnages, avec plus ou moins d’importance. D’abord on commence par une petite nouvelle qui introduit le ton si bien affuté de l’auteur, que l’on connaît déjà par « Le labyrinthe des sentiments ». On y découvre Kageyama, un médecin un peu spécial qui est attiré par les cicatrices comme un papillon de nuit par la lumière. C’est le meilleur ami de Yashiro, un yakuza un peu particulier. On apprend dans la nouvelle de fin que ce dernier est amoureux depuis le lycée, un amour déçu qu’il a été incapable d’afficher, de reconnaître, de vivre. Alors il se contente, depuis des années, d’une amitié fidèle, et va même trouver à son ami l’amour de sa vie, dans un de ses subordonné difficile qui se rebelle contre l’autorité. Kuga est pile celui qu’il faut pour Kageyama, et leur romance introduit le manga avec assez de légèreté. C’est quelque chose qui se passe bien, qui se conclut et ces deux-là semblent s’être trouvés. Mais la majeure partie du tome, et surtout le principal intérêt du manga, c’est l’histoire de Yashiro. Du moins le début de celle-ci. On le découvre sous trois aspects différents dans ce premier opus. D’abord, l’ami conciliant et yakuza intraitable. Puis l’homme torturé, souillé par son passé mais satisfait de sa situation. Et enfin, l’adolescent qui voit ses faibles espoirs piétinés par la seule déception qu’il a eu de toute sa vie.Comme d’habitude dans l’univers de Kou Yoneda, les personnages sont sublimes. Au début on ne pense pas trouver autant de profondeur, mais dès que l’on arrive sur Yashiro, c’est l’explosion. C’est juste le plus beau personnage de yaoi, voire tout court, que j’ai eu l’opportunité de voir depuis « Le jeu du chat et de la souris ». Il est esthétiquement très beau, quoique pas forcément aussi lisse qu’à l’ordinaire. En effet, il est déjà bien adulte, les cheveux laqués, les yeux fins, pas de rondeurs dans les lignes de son corps ni d’élégance trop efféminée. Il a une sexualité très particulière. En effet, il est masochiste. Depuis qu’il a été violé, Yashiro recherche cette souffrance qui lui est source de plaisir. Il inverse les sentiments, fuit l’amour, refuse de s’attacher et préfère qu’on le violente pour être sûr de ne pas tomber amoureux. Il aime qu’on le désire, qu’on lui saute dessus en ayant honte de coucher avec un dépravé pareil. Yashiro est impulsif, entier, mais très secret et complexe à comprendre. Il veut contrôler les autres par tous les moyens possibles, et offrir son corps lui permet de prendre le rapport de force sur son partenaire, et d’en retirer du plaisir. Il est rabaissé plus bas que terre mais c’est cela qui le rend si puissant et hors d’atteinte. Les critiques, les insultes ne l’atteignent pas. Il n’est pas sensible, comme détaché du monde. Yashiro observe le monde et cherche à jouer avec.Mais l’arrivée de Domeki va bouleverser son quotidien si bien rangé. C’est un de ses hommes, et Yashiro ne veut pas toucher à ses hommes de peur que leur admiration couplée à un rapport physique les fasse tomber amoureux de lui. Mais Domeki est nouvellement arrivé, et Yashiro comprend vite qu’il ne le désire pas. Pire, qu’il est impuissant. C’est parfait. Aucun risque qu’il tombe amoureux puisqu’il n’a pas envie de lui, pas vrai ? Et le voir incapable de bander pour lui l’excite d’autant plus. On comprend à la fin du tome que c’est sans doute Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
Twittering birds never fly - Tome 01
Auteur
Editeur
Format
Tankobon
Publication
01 janvier 2013
Audience
Adulte - Public averti
Pages
180
Taille
18 x 13 x 2.3 cm
Poids
216
ISBN-13
9782351807682
Livré entre : 9 décembre - 12 décembre
Livraison gratuite (FR et BE) à partir de 20,00 € de livres d'occasion
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