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L'Alpe serie #84

L'Alpe 84 - Observatoires

Audience : Adulte - Haut niveau
Le Pitch
Présentation De par leur situation géographique singulière (altitude, températures extrêmes, sites isolés), leur réseau très dense d’universités et leur histoire, les Alpes se sont imposées comme l’un desplus importants laboratoires du monde. Une vigie tournée vers le ciel ou les profondeurs de la Terre. Un observatoire pluridisciplinaire, ouvert sur l’astronomie, la météorologie, la glaciologie, mais aussi la physique des particules ou la médecine. Au sommaire : – Après l’observatoire du pic du Midi de Bigorre en 2013, le parc national des Cévennes en 2018, ce sera sans doute cette année au tour du parc du Gantrisch en Suisse de se voir décerner le label« réserve internationale de cielétoilé » valorisant l’absence de pollution lumineuse. Lancé par les milieux de l’astronomie professionnelle et amateur, l’engouement pour la création de ces parcs d’un nouveau genre a notamment pris corps autour d’observatoires scientifiques de montagne. – Sur les hauteurs de Nice, l’observatoire (1887) ne manque pas d’attirertous les regards. Cette imposante demi-sphère immaculée marque les temps pionniers d’une architecture singulière appliquée aux observatoires astronomiques. Avec ses mécènes comme le banquier Raphaël Bischoffsheim et ses figures de proue comme Gustave Eiffel ou l’architecte Charles Garnier. – Aoste, Bauges, Baronnies provençales, etc. : les centres astronomiques sont nombreuxà ouvrir leurs portes au public. Un guide pratique pour programmer ses prochaines visites. – Arriméeà plus de 3 500 mètres d’altitude sur le col qui sépare la Jungfrau du Mönch, la station scientifique suisse du Jungfraujoch aété, dès les années 1950, un laboratoire sentinelle pour observer la pollution et le réchauffement climatique. Des scientifiques du monde entier continuent d’y ausculter la chimie de l’atmosphère terrestre. – L’histoire de la construction de l’observatoire Vallot en 1890 par Joseph Vallot lui-même. Météorologue, glaciologue, botaniste et cartographe, il fait fi des réticences de tous pour construire un laboratoireà 400 mètres sous le sommet du Mont-Blanc pour yétudier les phénomènes météorologiques ou le mal des montagnes. De ce lieu improbable, il fera un petit bout d’Asie en décorant le salonà l’orientale. – Le laboratoire des rayons cosmiques, bricoléà dos d’homme au col du Midià partir de 1947, n’aura pas fonctionné plus de dix ans. La théorie des quarks doit beaucoupà cet observatoire de particulesélémentaires, le plus haut du genreà l’époque. – Au début du XXesiècle, Angelo Mosso se fait construire un laboratoire sur les pentes du Mont- Rose. Lesétudes que le professeur de physiologie italien va y mener serviront surtout aux troupes de montagne ou aux futurs himalayistes, voireà l’étude de la santé des aviateurs, un métier alors en devenir. – Particulièrement sensible dans les Alpes, le dérèglement climatique actuel bouleverse les modes d’observation scientifique. La montagne bouge. La science aussi. Pour comprendre ces changements très rapides, les chercheurs en sciences de la nature comme en sciences sociales doivent mettre en place de nouvelles méthodes. Dont les maîtres mots sont« co-construction » et« participatif ».   Et aussi : – Jean Mohr (1925-2018) nous a quittés en novembre dernier. Il nous laisse des archives imposantes dont une bonne partie est consacrée aux Alpes. – Vu par le« berger Carnino Michel », le monde pastoral prend des allures truculentes au fil de ses créationsà l’Opinel. – José Le Piez sculpte les arbres. Et de ces sculptures, il tire des sons. Invité de la troisième saison de Paysage ? Paysages, manifestation artistique qui mobilise ce printemps tout le département de l’Isère, l’artiste va déployer ses Arbrassons. Afficher moinsAfficher plus

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Présentation De par leur situation géographique singulière (altitude, températures extrêmes, sites isolés), leur réseau très dense d’universités et leur histoire, les Alpes se sont imposées comme l’un desplus importants laboratoires du monde. Une vigie tournée vers le ciel ou les profondeurs de la Terre. Un observatoire pluridisciplinaire, ouvert sur l’astronomie, la météorologie, la glaciologie, mais aussi la physique des particules ou la médecine. Au sommaire : – Après l’observatoire du pic du Midi de Bigorre en 2013, le parc national des Cévennes en 2018, ce sera sans doute cette année au tour du parc du Gantrisch en Suisse de se voir décerner le label« réserve internationale de cielétoilé » valorisant l’absence de pollution lumineuse. Lancé par les milieux de l’astronomie professionnelle et amateur, l’engouement pour la création de ces parcs d’un nouveau genre a notamment pris corps autour d’observatoires scientifiques de montagne. – Sur les hauteurs de Nice, l’observatoire (1887) ne manque pas d’attirertous les regards. Cette imposante demi-sphère immaculée marque les temps pionniers d’une architecture singulière appliquée aux observatoires astronomiques. Avec ses mécènes comme le banquier Raphaël Bischoffsheim et ses figures de proue comme Gustave Eiffel ou l’architecte Charles Garnier. – Aoste, Bauges, Baronnies provençales, etc. : les centres astronomiques sont nombreuxà ouvrir leurs portes au public. Un guide pratique pour programmer ses prochaines visites. – Arriméeà plus de 3 500 mètres d’altitude sur le col qui sépare la Jungfrau du Mönch, la station scientifique suisse du Jungfraujoch aété, dès les années 1950, un laboratoire sentinelle pour observer la pollution et le réchauffement climatique. Des scientifiques du monde entier continuent d’y ausculter la chimie de l’atmosphère terrestre. – L’histoire de la construction de l’observatoire Vallot en 1890 par Joseph Vallot lui-même. Météorologue, glaciologue, botaniste et cartographe, il fait fi des réticences de tous pour construire un laboratoireà 400 mètres sous le sommet du Mont-Blanc pour yétudier les phénomènes météorologiques ou le mal des montagnes. De ce lieu improbable, il fera un petit bout d’Asie en décorant le salonà l’orientale. – Le laboratoire des rayons cosmiques, bricoléà dos d’homme au col du Midià partir de 1947, n’aura pas fonctionné plus de dix ans. La théorie des quarks doit beaucoupà cet observatoire de particulesélémentaires, le plus haut du genreà l’époque. – Au début du XXesiècle, Angelo Mosso se fait construire un laboratoire sur les pentes du Mont- Rose. Lesétudes que le professeur de physiologie italien va y mener serviront surtout aux troupes de montagne ou aux futurs himalayistes, voireà l’étude de la santé des aviateurs, un métier alors en devenir. – Particulièrement sensible dans les Alpes, le dérèglement climatique actuel bouleverse les modes d’observation scientifique. La montagne bouge. La science aussi. Pour comprendre ces changements très rapides, les chercheurs en sciences de la nature comme en sciences sociales doivent mettre en place de nouvelles méthodes. Dont les maîtres mots sont« co-construction » et« participatif ».   Et aussi : – Jean Mohr (1925-2018) nous a quittés en novembre dernier. Il nous laisse des archives imposantes dont une bonne partie est consacrée aux Alpes. – Vu par le« berger Carnino Michel », le monde pastoral prend des allures truculentes au fil de ses créationsà l’Opinel. – José Le Piez sculpte les arbres. Et de ces sculptures, il tire des sons. Invité de la troisième saison de Paysage ? Paysages, manifestation artistique qui mobilise ce printemps tout le département de l’Isère, l’artiste va déployer ses Arbrassons. Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
L'Alpe 84 - Observatoires: Observatoires
Editeur
Format
Grand Format
Publication
06 mars 2019
Série
Audience
Adulte - Haut niveau
Pages
96
Taille
30 x 23 x 1 cm
Poids
526
ISBN-13
9782344033890
Livré entre : 15 décembre - 20 décembre
Livraison gratuite (FR) à partir de 35,00 € de livres neufs
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