Ces gens qui se sentent coupables

Name: Ces gens qui se sentent coupables
Brand: Engel, Lewis
SKU: PR-9782266195454
Price: 2.95 EUR
Availability: InStock
Rating: 3.8 (9 reviews)

3.8

(9)

Audience : Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Bon nombre des problèmes trouvent leur origine dans la culpabilité que l'on éprouve inconsciemment à l'égard des êtres qui nous sont chers. L'amour et les soins attentifs reçus dans l'enfance au détriment d'un autre membre de la famille, l'indépendance durement conquise, l'impossibilité de répondre aux attentes de nos proches ne sont que quelques-unes des fautes dont nous avons pu nous sentir coupables à un moment ou à un autre. Si nous avons tendance à endosser les problèmes du monde entier ou à nous sentir obligé de combler les attentes de tout un chacun, il est grand temps d'y mettre fin. Le présent ouvrage nous propose d'identifier rapidement les causes d'un tel comportement et de nous en libérer une bonne fois pour toutes... Extrait Extrait de l'introduction Parmi nos problèmes psychologiques les plus sérieux, bon nombre sont dus à un type particulier de sentiment de culpabilité : celui que nous éprouvons secrètement envers nos parents, et parfois même à l'égard de nos frères et soeurs, à qui nous croyons avoir fait du mal. Certains savent reconnaître les manifestations de ce sentiment et l'emprise qu'il exerce sur eux ; mais, chez la plupart d'entre nous, il est enfoui dans les profondeurs de l'inconscient. Ces blessures que nous pensons avoir infligées à nos proches au cours de notre enfance, ces crimes imaginaires, ont engendré en nous une culpabilité d'autant plus déconcertante qu'elle est inconsciente justement. Seuls sont en réalité manifestes les problèmes qu'elle entraîne : ° sabotage de notre propre succès ; ° inaptitude à connaître le bonheur à l'intérieur d'une relation intime ; ° incapacité de nous détendre et de jouir de la vie. Ces conduites d'échec sont une façon de nous punir nous-mêmes de nos crimes imaginaires, dont les plus courants, semble-t-il, sont liés à l'impression de surpasser nos proches, d'avoir été un fardeau pour nos parents ou d'avoir volé leur amour si ce n'est de les avoir abandonnés, trahis, ou encore d'être foncièrement mauvais. ° Surpasser les siens. Le fait de mieux réussir que tout autre membre de sa famille, d'avoir davantage de succès, ou d'être plus heureux, plus populaire et plus apte à jouir de la vie que ses parents, ses frères ou soeurs, peut amener quelqu'un à se sentir coupable du «crime» de les avoir surpassés. ° Être un fardeau. Si l'un de ses parents (ou les deux) a paru accablé ou miné par l'insuccès ou l'insatisfaction, il est possible que l'on se sente responsable de son (de leur) malheur. On croit peut-être, inconsciemment, que l'on a été pour eux un fardeau et que le fait d'avoir eu à prendre soin de nous est à l'origine de leur tristesse et de leur frustration. ° Voler l'amour des parents. Si l'on pense avoir reçu l'amour et l'attention dont un autre membre de la famille avait besoin pour se développer, il est possible qu'on se sente coupable d'avoir «volé» cet amour et d'être responsable de tous les ennuis et difficultés qu'il a connus par la suite. ° Abandonner ses parents. Se séparer de ses parents, faire ses propres choix, s'éloigner de la maison familiale pour mener une vie indépendante, priver en somme ses parents de leur principal centre d'intérêt et, par voie de conséquence, les rendre profondément malheureux par son absence, voilà un autre crime imaginaire qui peut engendrer un sentiment de culpabilité. ° Trahir les siens. Se montrer critique envers ses parents, ne pas répondre à leurs aspirations, rompre les règles familiales, faire ses propres choix de vie, constitue cette fois le «crime» de trahison. Être critique à leur égard, rejeter la profession, la religion ou le style de vie dont ils rêvent pour nous, défendre des idées politiques ou philosophiques différentes des leurs, ou épouser une personne de confession, de race ou de classe sociale différente, peut être dans l'imaginaire synonyme de trahison. ° Être foncièrement mauvais. Des messages négatifs, de mauvais traitements ou un manque de s Afficher moinsAfficher plus

Engel, Lewis

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Présentation de l'éditeur Bon nombre des problèmes trouvent leur origine dans la culpabilité que l'on éprouve inconsciemment à l'égard des êtres qui nous sont chers. L'amour et les soins attentifs reçus dans l'enfance au détriment d'un autre membre de la famille, l'indépendance durement conquise, l'impossibilité de répondre aux attentes de nos proches ne sont que quelques-unes des fautes dont nous avons pu nous sentir coupables à un moment ou à un autre. Si nous avons tendance à endosser les problèmes du monde entier ou à nous sentir obligé de combler les attentes de tout un chacun, il est grand temps d'y mettre fin. Le présent ouvrage nous propose d'identifier rapidement les causes d'un tel comportement et de nous en libérer une bonne fois pour toutes... Extrait Extrait de l'introduction Parmi nos problèmes psychologiques les plus sérieux, bon nombre sont dus à un type particulier de sentiment de culpabilité : celui que nous éprouvons secrètement envers nos parents, et parfois même à l'égard de nos frères et soeurs, à qui nous croyons avoir fait du mal. Certains savent reconnaître les manifestations de ce sentiment et l'emprise qu'il exerce sur eux ; mais, chez la plupart d'entre nous, il est enfoui dans les profondeurs de l'inconscient. Ces blessures que nous pensons avoir infligées à nos proches au cours de notre enfance, ces crimes imaginaires, ont engendré en nous une culpabilité d'autant plus déconcertante qu'elle est inconsciente justement. Seuls sont en réalité manifestes les problèmes qu'elle entraîne : ° sabotage de notre propre succès ; ° inaptitude à connaître le bonheur à l'intérieur d'une relation intime ; ° incapacité de nous détendre et de jouir de la vie. Ces conduites d'échec sont une façon de nous punir nous-mêmes de nos crimes imaginaires, dont les plus courants, semble-t-il, sont liés à l'impression de surpasser nos proches, d'avoir été un fardeau pour nos parents ou d'avoir volé leur amour si ce n'est de les avoir abandonnés, trahis, ou encore d'être foncièrement mauvais. ° Surpasser les siens. Le fait de mieux réussir que tout autre membre de sa famille, d'avoir davantage de succès, ou d'être plus heureux, plus populaire et plus apte à jouir de la vie que ses parents, ses frères ou soeurs, peut amener quelqu'un à se sentir coupable du «crime» de les avoir surpassés. ° Être un fardeau. Si l'un de ses parents (ou les deux) a paru accablé ou miné par l'insuccès ou l'insatisfaction, il est possible que l'on se sente responsable de son (de leur) malheur. On croit peut-être, inconsciemment, que l'on a été pour eux un fardeau et que le fait d'avoir eu à prendre soin de nous est à l'origine de leur tristesse et de leur frustration. ° Voler l'amour des parents. Si l'on pense avoir reçu l'amour et l'attention dont un autre membre de la famille avait besoin pour se développer, il est possible qu'on se sente coupable d'avoir «volé» cet amour et d'être responsable de tous les ennuis et difficultés qu'il a connus par la suite. ° Abandonner ses parents. Se séparer de ses parents, faire ses propres choix, s'éloigner de la maison familiale pour mener une vie indépendante, priver en somme ses parents de leur principal centre d'intérêt et, par voie de conséquence, les rendre profondément malheureux par son absence, voilà un autre crime imaginaire qui peut engendrer un sentiment de culpabilité. ° Trahir les siens. Se montrer critique envers ses parents, ne pas répondre à leurs aspirations, rompre les règles familiales, faire ses propres choix de vie, constitue cette fois le «crime» de trahison. Être critique à leur égard, rejeter la profession, la religion ou le style de vie dont ils rêvent pour nous, défendre des idées politiques ou philosophiques différentes des leurs, ou épouser une personne de confession, de race ou de classe sociale différente, peut être dans l'imaginaire synonyme de trahison. ° Être foncièrement mauvais. Des messages négatifs, de mauvais traitements ou un manque de s Afficher moinsAfficher plus