Passer au contenu
Mon compte
Wishlist
Panier 00:00

Vera serie #1

Vera

3.9

(65)

Audience : Adulte - Grand Public
Le Pitch
Revue de presse Dieu que l’amour est une notion changeante… Une jeune fille en fleur, accoudée nonchalamment à la balustrade de sa riche demeure. Pas vraiment éplorée par la mort de son pauvre Papa, mais ouverte à toute rencontre. Un homme, d’âge mûr, qui erre par les chemins des vertes Cornouailles. Lucy l’épouse, pleine de bonnes résolutions sur sa future vie sociale et familiale ; gonflée d’un amour raisonnable, peut-être parce qu’elle ne peut concevoir de rester sans tutelle masculine. Tout commence mièvrement. La moiteur estivale opérant, le livre nous tomberait des mains s’il était l’heure de la sieste. On lutte, jusqu’à mériter de découvrir une écriture précise, incisive, qui tient presque du miracle. Une évocation irritante de vérité, digne d’un thriller, où le tyran Everard Wemyss prend un vrai volume romanesque, gonflé de bruit et de fureur. Il est le fruit d’une expérience quasi-chimique : la représentation de la culture patriarcale poussée dans ses derniers retranchements, dans ce qu’elle développe du sadisme qu’il y a en chaque être humain. Complice malgré elle, une ombre rôde dans la prison dorée de Lucy : celle de Vera, la défunte épouse, à la fois rivale implacable, modèle inimitable, amie imaginaire. La «Rebecca» de Daphné Du Maurier n’a rien à lui envier. A bout de souffle, on attend la chute. Mais rien ne vient. Si, un éclair d’espoir et de drôlerie : la tante Entwhistle, qui, un soir d’orage, libère des rancœurs vieilles comme elle contre une certaine conception du mariage. Pour la fatalité finale d’une aliénation féminine qui se porte bien, merci.--Sophie Rouanet-- -- Urbuz.com Présentation de l'éditeur Quelques mois après la mort mystérieuse de Vera, Everars Wemys se remarie avec Lucy, de vingt ans sa cadette. Mais le souvenir omniprésent de Vera, les doutes relatifs à sa mort (accident, suicide, voire crime ?) font planer sur le couple, qui s'est installé à la campagne, dans la grande maison où eut lieu le drame, une ombre noire que ni l'un ni l'autre ne parviendront à chasser. Après avoir lu Vera, Bertrand Russell, alors beau-frère d'Elizabeth von Arnim, avoua : " J'ai donné à mes enfants un conseil de prudence : n'épousez jamais une romancière ". Biographie de l'auteur Cousine de Katherine Mansfield, Elizabeth von Arnim est née Mary Beauchamp en 1866, en Australie. Elle reçoit une éducation européenne avant d'entamer un " grand tour " au cours duquel elle rencontre le conte Henning von Arnim-Schlagenthin. Après quelques années passées à Berlin, elle découvre le domaine familial de Nassenheide et décide de s'y installer. Véritable événement littéraire de la fin du siècle, Elizabeth et son jardin allemand sera suivi de vingt et un romans. Encore connue sous son seul prénom, Elizabeth von Arnim devient, après la mort de son mari en 1910, le contre d'une vie mondaine au cours de laquelle elle rencontre H.G. Wells avec qui elle aura une liaison tapageuse, avant un remariage malheureux avec le comte Francis Russell, fils d'un Premier ministre de la reine Victoria et frère du philosophe Bertrand Russell. Puis elle réside successivement en Suisse, à Mougins et aux Etats-Unis où elle meurt en 1941. Afficher moinsAfficher plus

Vera serie #1

Vera

3.9

(65)

6,45 €
Sélectionnez la condition
 
Il ne reste plus que 1 exemplaire(s) en stock
6,45 €

Le Pitch

Revue de presse Dieu que l’amour est une notion changeante… Une jeune fille en fleur, accoudée nonchalamment à la balustrade de sa riche demeure. Pas vraiment éplorée par la mort de son pauvre Papa, mais ouverte à toute rencontre. Un homme, d’âge mûr, qui erre par les chemins des vertes Cornouailles. Lucy l’épouse, pleine de bonnes résolutions sur sa future vie sociale et familiale ; gonflée d’un amour raisonnable, peut-être parce qu’elle ne peut concevoir de rester sans tutelle masculine. Tout commence mièvrement. La moiteur estivale opérant, le livre nous tomberait des mains s’il était l’heure de la sieste. On lutte, jusqu’à mériter de découvrir une écriture précise, incisive, qui tient presque du miracle. Une évocation irritante de vérité, digne d’un thriller, où le tyran Everard Wemyss prend un vrai volume romanesque, gonflé de bruit et de fureur. Il est le fruit d’une expérience quasi-chimique : la représentation de la culture patriarcale poussée dans ses derniers retranchements, dans ce qu’elle développe du sadisme qu’il y a en chaque être humain. Complice malgré elle, une ombre rôde dans la prison dorée de Lucy : celle de Vera, la défunte épouse, à la fois rivale implacable, modèle inimitable, amie imaginaire. La «Rebecca» de Daphné Du Maurier n’a rien à lui envier. A bout de souffle, on attend la chute. Mais rien ne vient. Si, un éclair d’espoir et de drôlerie : la tante Entwhistle, qui, un soir d’orage, libère des rancœurs vieilles comme elle contre une certaine conception du mariage. Pour la fatalité finale d’une aliénation féminine qui se porte bien, merci.--Sophie Rouanet-- -- Urbuz.com Présentation de l'éditeur Quelques mois après la mort mystérieuse de Vera, Everars Wemys se remarie avec Lucy, de vingt ans sa cadette. Mais le souvenir omniprésent de Vera, les doutes relatifs à sa mort (accident, suicide, voire crime ?) font planer sur le couple, qui s'est installé à la campagne, dans la grande maison où eut lieu le drame, une ombre noire que ni l'un ni l'autre ne parviendront à chasser. Après avoir lu Vera, Bertrand Russell, alors beau-frère d'Elizabeth von Arnim, avoua : " J'ai donné à mes enfants un conseil de prudence : n'épousez jamais une romancière ". Biographie de l'auteur Cousine de Katherine Mansfield, Elizabeth von Arnim est née Mary Beauchamp en 1866, en Australie. Elle reçoit une éducation européenne avant d'entamer un " grand tour " au cours duquel elle rencontre le conte Henning von Arnim-Schlagenthin. Après quelques années passées à Berlin, elle découvre le domaine familial de Nassenheide et décide de s'y installer. Véritable événement littéraire de la fin du siècle, Elizabeth et son jardin allemand sera suivi de vingt et un romans. Encore connue sous son seul prénom, Elizabeth von Arnim devient, après la mort de son mari en 1910, le contre d'une vie mondaine au cours de laquelle elle rencontre H.G. Wells avec qui elle aura une liaison tapageuse, avant un remariage malheureux avec le comte Francis Russell, fils d'un Premier ministre de la reine Victoria et frère du philosophe Bertrand Russell. Puis elle réside successivement en Suisse, à Mougins et aux Etats-Unis où elle meurt en 1941. Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
Vera
Editeur
Format
Poche
Publication
06 juillet 2000
Série
Audience
Adulte - Grand Public
Pages
286
Taille
17.7 x 10.9 x 1.6 cm
Poids
185
ISBN-13
9782264023896
Livré entre : 24 décembre - 27 décembre
Disponible chez le fournisseur
Impression à la demande
Expédition immédiate
Chez vous entre :
Les délais de livraison ont tendance à s'accélérer ces dernières semaines, le temps indiqué peut être plus court que prévu. Les délais de livraison ont tendance à s'allonger ces dernières semaines, le temps indiqué peut être plus long que prévu.
Livraison gratuite (FR et BE) à partir de 20,00 € de livres d'occasion
Retour GRATUIT sous 14 jours.
Image to render

Revendez-le sur notre application!

Aller plus loin

Vous pouvez également aimer

Récemment consultés