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Edmonde, l'envolée

3.5

(50)

Audience : Adulte - Grand Public
Le Pitch
PrésentationEdmonde, la jeune effrontée née sous une bonneétoile, délivrée de la 5e division blindée du Général de Lattre, sort de la guerre, vivante. Quoique surnommée« Edmondaine», la fille de l’ambassadeur François Charles-Roux, la sœur de la trop belle Cyprienne Del Drago, la complice de son frère Jean, qui n’est pas encore entré dans les ordres, quitte le clan familial que nous avions si superbement rencontré dans le premier tome de Dominique de Saint Pern. Qui est-elle alors, en 1945,à 25 ans, les pommettes hautes, le feu au cœur, ni mariée ni fiancée, ni soumise ni offerte ? On lui donnerait le Bon Dieu sans confession. Elle sourit : voilà que les Lazareff, le couple qui fait la presse et les dîners parisiens les plus courus, lui offre son premier emploiàElle. Elle cligne des yeux sous les flashs de son ami Robert Doisneau : voilà que le puissant groupe Condé Nast lui déroule le tapis deVogue, dont elle prendra la direction, et dont seule l’arrachera en 1966 une cover avec un mannequin trop noir et très Pop Art. Elle dénude uneépaule : voilà le lit où tombent les hommes de pouvoir et d’importance, les lions qui s’apaisent en se frottantà une tigresse, Orson Welles, André Derain, François-Régis Bastide, Maurice Druon, et chut ! les redoutés orientaux, le Général Oufkir et l’alors fréquentable Kadhafi.« Il faut que le cœur se brise ou se bronze», aécrit un moraliste. Le cœur d’Edmonde se brise parfois. Mais l’année 1966, où elle remporte le prix Goncourt avecOublier Palerme, son cœur bat la chamade en croisant le maire de Marseille, Gaston Defferre, l’homme au chapeau et au groupe de presse. La demoiselle a fait sa métamorphose : Edmonde en dame de fer, en compagnon de route du socialisme, en Marseillaise parfoiséprise du peuple qui l’amuse, cumule les contradictions : Yves Saint-Laurent et François Mitterrand, les chauffeurs et les fêtes du parti communiste, le poing levé et les ors de la République, l’amitié d’Aragon et le couvert au Goncourt, l’amour toujours et le chagrin noir après la mort si brutale de Gaston, le cœur des siciliens et la vengeance d’une femme, la joie d’écrire et l’Orient redécouvert : cet Orient qui lui va si bien, avec ses ombres et ses cruautés. Edmonde s’envole. Où ? Elle veut tout, elle aura tout. Dominique de Saint Pern nous raconte cette femme hors du commun, en technicolor. Un livre exceptionnel, un roman vrai, une femme libre. Afficher moinsAfficher plus

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3.5

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Le Pitch

PrésentationEdmonde, la jeune effrontée née sous une bonneétoile, délivrée de la 5e division blindée du Général de Lattre, sort de la guerre, vivante. Quoique surnommée« Edmondaine», la fille de l’ambassadeur François Charles-Roux, la sœur de la trop belle Cyprienne Del Drago, la complice de son frère Jean, qui n’est pas encore entré dans les ordres, quitte le clan familial que nous avions si superbement rencontré dans le premier tome de Dominique de Saint Pern. Qui est-elle alors, en 1945,à 25 ans, les pommettes hautes, le feu au cœur, ni mariée ni fiancée, ni soumise ni offerte ? On lui donnerait le Bon Dieu sans confession. Elle sourit : voilà que les Lazareff, le couple qui fait la presse et les dîners parisiens les plus courus, lui offre son premier emploiàElle. Elle cligne des yeux sous les flashs de son ami Robert Doisneau : voilà que le puissant groupe Condé Nast lui déroule le tapis deVogue, dont elle prendra la direction, et dont seule l’arrachera en 1966 une cover avec un mannequin trop noir et très Pop Art. Elle dénude uneépaule : voilà le lit où tombent les hommes de pouvoir et d’importance, les lions qui s’apaisent en se frottantà une tigresse, Orson Welles, André Derain, François-Régis Bastide, Maurice Druon, et chut ! les redoutés orientaux, le Général Oufkir et l’alors fréquentable Kadhafi.« Il faut que le cœur se brise ou se bronze», aécrit un moraliste. Le cœur d’Edmonde se brise parfois. Mais l’année 1966, où elle remporte le prix Goncourt avecOublier Palerme, son cœur bat la chamade en croisant le maire de Marseille, Gaston Defferre, l’homme au chapeau et au groupe de presse. La demoiselle a fait sa métamorphose : Edmonde en dame de fer, en compagnon de route du socialisme, en Marseillaise parfoiséprise du peuple qui l’amuse, cumule les contradictions : Yves Saint-Laurent et François Mitterrand, les chauffeurs et les fêtes du parti communiste, le poing levé et les ors de la République, l’amitié d’Aragon et le couvert au Goncourt, l’amour toujours et le chagrin noir après la mort si brutale de Gaston, le cœur des siciliens et la vengeance d’une femme, la joie d’écrire et l’Orient redécouvert : cet Orient qui lui va si bien, avec ses ombres et ses cruautés. Edmonde s’envole. Où ? Elle veut tout, elle aura tout. Dominique de Saint Pern nous raconte cette femme hors du commun, en technicolor. Un livre exceptionnel, un roman vrai, une femme libre. Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
Edmonde, l'envolée
Editeur
Format
Grand Format
Publication
06 avril 2022
Audience
Adulte - Grand Public
Pages
432
Taille
21.6 x 14 x 2.9 cm
Poids
454
ISBN-13
9782234086548

Auteur

Livré entre : 9 décembre - 12 décembre
Livraison gratuite (FR et BE) à partir de 20,00 € de livres d'occasion
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