La Mère

Broché - 09/04/1997 - STOCK

Le Pitch

Présentation

La Mère
"[à] Cette femme qui perd son mari, sa fille puis son fils, comme une vivante dont on amputerait tous les membres l'un après l'autre, cette existence désolée qui n'est qu'un lent supplice, cette répétition invariable du malheur, cette absence de déclamation, ce ton uni, cette simplicité, cet intérêt qui vous captive dans ce manque d'aventures finissent par produire une souveraine impression de grandeur : c'est toute l'immensité de la plaine chinoise, ce labeur opiniâtre, éternel ; les choses, dans ce paysage, semblent se dérouler comme les lois de la nature, leur emprunter leur caractère d'indifférence et de nécessité. C'est la tranquillité des faits imperturbables, qu'aucune révolte n'arrête, qu'aucune prière ne conjure. Les scènes se succèdent avec la rigueur des saisons, de la floraison, de la chute des feuilles, de l'hiver et de la mort.
Il y a là une égalité, une pureté de dessin que je ne trouve nulle part dans la littérature anglaise, même chez une Jane Austen, et qui me font songer aux plus beaux contes d'un Tourgueniev ou d'un Tchekov"
Louis Gillet
Née en Virginie dans une famille de missionnaires présbytériens, Pearl Buck n'avait pas trois mois lorsqu'en 1892, elle arrivait dans une Chine qu'elle ne quitta pratiquement pas pendant trente-deux ans. Le chinois, appris bien avant l'anglais dans les bras d'une nourrice très aimée, était sa véritable langue maternelle. Aussi ne faut-il pas s'étonner que son amour de la Chine inspire et nourrisse l'essentiel de son oeuvre, une oeuvre qui lui valut de recevoir en 1938 le Prix Nobel de littérature. Pearl Buck est morte en 1973.

Afficher moins Afficher plus
Détails du livre
Auteur

La Mère

Broché - 09/04/1997 - STOCK

Occasion
 
 
Il ne reste plus que 1 exemplaire(s) en stock
18,50 € -24 %
Prix réduit13,94 €
Livré entre : 17 mars - 20 mars
Livraison gratuite (FR et BE) à partir de 20,00 € de livres d'occasion

Retour GRATUIT sous 14 jours.


Paiement sécurisé

Achat engagé

Produit collecté et traité en France.

794 g de CO2eq en moins par rapport au neuf.

Image to render

Revendez-le sur notre application!

Le Pitch

Présentation

La Mère
"[à] Cette femme qui perd son mari, sa fille puis son fils, comme une vivante dont on amputerait tous les membres l'un après l'autre, cette existence désolée qui n'est qu'un lent supplice, cette répétition invariable du malheur, cette absence de déclamation, ce ton uni, cette simplicité, cet intérêt qui vous captive dans ce manque d'aventures finissent par produire une souveraine impression de grandeur : c'est toute l'immensité de la plaine chinoise, ce labeur opiniâtre, éternel ; les choses, dans ce paysage, semblent se dérouler comme les lois de la nature, leur emprunter leur caractère d'indifférence et de nécessité. C'est la tranquillité des faits imperturbables, qu'aucune révolte n'arrête, qu'aucune prière ne conjure. Les scènes se succèdent avec la rigueur des saisons, de la floraison, de la chute des feuilles, de l'hiver et de la mort.
Il y a là une égalité, une pureté de dessin que je ne trouve nulle part dans la littérature anglaise, même chez une Jane Austen, et qui me font songer aux plus beaux contes d'un Tourgueniev ou d'un Tchekov"
Louis Gillet
Née en Virginie dans une famille de missionnaires présbytériens, Pearl Buck n'avait pas trois mois lorsqu'en 1892, elle arrivait dans une Chine qu'elle ne quitta pratiquement pas pendant trente-deux ans. Le chinois, appris bien avant l'anglais dans les bras d'une nourrice très aimée, était sa véritable langue maternelle. Aussi ne faut-il pas s'étonner que son amour de la Chine inspire et nourrisse l'essentiel de son oeuvre, une oeuvre qui lui valut de recevoir en 1938 le Prix Nobel de littérature. Pearl Buck est morte en 1973.

Afficher moins Afficher plus
Détails du livre
Auteur

Aller plus loin

Vous pouvez également aimer

Récemment consultés