Passer au contenu
Mon compte
Wishlist
Panier 00:00

L'odyssée blanche

3.7

(124)

Audience : Adulte - Grand Public
Le Pitch
Note biographique Entre deux expéditions, Nicolas Vanier, trente-sept ans,vit en Sologne avec sa femme et leurs deux enfants. Il a publié plusieurs récits de voyages dont, chez Robert Laffont, Transsibérie, le mythe sauvage (1992), La Vie en Nord (1993) et Destin Nord (1998). ,Présentation Un homme et ses dix chiens à travers l'Extrême-Nord canadien : une histoire d'amitié, une aventure à la Jack London. Lorsque Nicolas Vanier a eu l'idée de croiser un laïka sibérien et une chienne groënlandaise, mariage inédit, il n'imaginait pas que l'attelage qui allait naître l'entraînerait cinq ans plus tard dans cette incroyable traversée du Canada. C'est pourtant ce qui s'est passé. Le 13 décembre 1998 Nicolas Vanier est parti, debout sur son traîneau derrière ses dix chiens, pour relier l'océan Pacifique à l'océan Atlantique. Mais cette fois-ci, plus question de marcher pour ouvrir la piste à l'attelage comme lors de ses précédents voyages : c'est une véritable course contre le temps qui s'est engagée, avec l'obligation de franchir cent kilomètres par jour en moyenne. Plusieurs hommes en motoneige se sont donc chargés de damer la neige, quelques jours en avant du traîneau. Une deuxième aventure en soi, et qui n'a pas toujours été plus facile. Voyager en traîneau à chiens n'est pas la jolie glissade qu'on imagine, le vent au visage et les chiens faisant tout le travail. Non, c'est courir à côté du traîneau dans les montées, sauter d'un patin à l'autre pour négocier les virages sans s'écraser sur les arbres, porter les chiens un par un, puis la cargaison puis le traîneau lui-même quand on s'embourbe dans la slutch, cette soupe épaisse et glacée, cachée sous une couche de neige, qui se forme sur les fleuves et piège les voyageurs... C'est aussi, lors des pauses accordées à la meute, les nourrir, vérifier les coussinets de leurs pattes, réparer le traîneau, manger soi-même et finalement voler quelques maigres heures de sommeil, pelotonné contre un des chiens.La traversée nous entraîne jusqu'aux terribles montagnes Rocheuses, que tous avaient prédites infranchissables. Puis, une fois victorieux des montagnes, ce sont des kilomètres arrachés à la neige, mais où l'on sent monter le soutien de tout un peuple, car trappeurs et Indiens, bientôt suivis par les habitants de la région, se sont mis à croire à l'exploit : une formidable chaîne de villages, chacun traçant un bout de piste pour Nicolas, aucun ne voulant que l'aventure s'arrête chez lui...Bien sûr, Nicolas Vanier a connu des accidents, de terribles frayeurs, mais jamais les chiens, objets de tous ses soins, ne lui ont fait défaut. Quels que soient l'intensité du froid, les difficultés du parcours, les rencontres inquiétantes (grizzli et loups), l'envie de courir les animait. C'est cette formidable relation entre l'homme et ses chiens qui fait la grandeur de cette histoire. Afficher moinsAfficher plus

L'odyssée blanche

3.7

(124)

2,45 €
21,50 € -88%
Sélectionnez la condition
2,45 €
21,50 € -88%

Le Pitch

Note biographique Entre deux expéditions, Nicolas Vanier, trente-sept ans,vit en Sologne avec sa femme et leurs deux enfants. Il a publié plusieurs récits de voyages dont, chez Robert Laffont, Transsibérie, le mythe sauvage (1992), La Vie en Nord (1993) et Destin Nord (1998). ,Présentation Un homme et ses dix chiens à travers l'Extrême-Nord canadien : une histoire d'amitié, une aventure à la Jack London. Lorsque Nicolas Vanier a eu l'idée de croiser un laïka sibérien et une chienne groënlandaise, mariage inédit, il n'imaginait pas que l'attelage qui allait naître l'entraînerait cinq ans plus tard dans cette incroyable traversée du Canada. C'est pourtant ce qui s'est passé. Le 13 décembre 1998 Nicolas Vanier est parti, debout sur son traîneau derrière ses dix chiens, pour relier l'océan Pacifique à l'océan Atlantique. Mais cette fois-ci, plus question de marcher pour ouvrir la piste à l'attelage comme lors de ses précédents voyages : c'est une véritable course contre le temps qui s'est engagée, avec l'obligation de franchir cent kilomètres par jour en moyenne. Plusieurs hommes en motoneige se sont donc chargés de damer la neige, quelques jours en avant du traîneau. Une deuxième aventure en soi, et qui n'a pas toujours été plus facile. Voyager en traîneau à chiens n'est pas la jolie glissade qu'on imagine, le vent au visage et les chiens faisant tout le travail. Non, c'est courir à côté du traîneau dans les montées, sauter d'un patin à l'autre pour négocier les virages sans s'écraser sur les arbres, porter les chiens un par un, puis la cargaison puis le traîneau lui-même quand on s'embourbe dans la slutch, cette soupe épaisse et glacée, cachée sous une couche de neige, qui se forme sur les fleuves et piège les voyageurs... C'est aussi, lors des pauses accordées à la meute, les nourrir, vérifier les coussinets de leurs pattes, réparer le traîneau, manger soi-même et finalement voler quelques maigres heures de sommeil, pelotonné contre un des chiens.La traversée nous entraîne jusqu'aux terribles montagnes Rocheuses, que tous avaient prédites infranchissables. Puis, une fois victorieux des montagnes, ce sont des kilomètres arrachés à la neige, mais où l'on sent monter le soutien de tout un peuple, car trappeurs et Indiens, bientôt suivis par les habitants de la région, se sont mis à croire à l'exploit : une formidable chaîne de villages, chacun traçant un bout de piste pour Nicolas, aucun ne voulant que l'aventure s'arrête chez lui...Bien sûr, Nicolas Vanier a connu des accidents, de terribles frayeurs, mais jamais les chiens, objets de tous ses soins, ne lui ont fait défaut. Quels que soient l'intensité du froid, les difficultés du parcours, les rencontres inquiétantes (grizzli et loups), l'envie de courir les animait. C'est cette formidable relation entre l'homme et ses chiens qui fait la grandeur de cette histoire. Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
L'Odyssée blanche
Format
Broché
Publication
04 novembre 1999
Audience
Adulte - Grand Public
Pages
264
Taille
24.1 x 15.4 x 2.5 cm
Poids
494
ISBN-13
9782221090824

Contenu

4ème de couverture

Lorsque Nicolas Vanier a eu l'idée de croiser un laïka sibérien et une chienne groënlandaise, mariage inédit, il n'imaginait pas que l'attelage qui allait naître l'entraînerait cinq ans plus tard dans cette incroyable traversée du Canada. C'est pourtant ce qui s'est passé. Le 13 décembre 1998 Nicolas Vanier est parti, debout sur son traîneau derrière ses dix chiens, pour relier l'océan Pacifique à l'océan Atlantique. Mais cette fois-ci, plus question de marcher pour ouvrir la piste à l'attelage comme lors de ses précédents voyages : c'est une véritable course contre le temps qui s'est engagée, avec l'obligation de franchir cent kilomètres par jour en moyenne. Plusieurs hommes en motoneige se sont donc chargés de damer la neige, quelques jours en avant du traîneau. Une deuxième aventure en soi, et qui n'a pas toujours été plus facile. Voyager en traîneau à chiens n'est pas la jolie glissade qu'on imagine, le vent au visage et les chiens faisant tout le travail. Non, c'est courir à côté du traîneau dans les montées, sauter d'un patin à l'autre pour négocier les virages sans s'écraser sur les arbres, porter les chiens un par un, puis la cargaison puis le traîneau lui-même quand on s'embourbe dans la slutch, cett
Livré entre : 23 décembre - 26 décembre
Disponible chez le fournisseur
Impression à la demande
Expédition immédiate
Chez vous entre :
Les délais de livraison ont tendance à s'accélérer ces dernières semaines, le temps indiqué peut être plus court que prévu. Les délais de livraison ont tendance à s'allonger ces dernières semaines, le temps indiqué peut être plus long que prévu.
Livraison gratuite (FR et BE) à partir de 20,00 € de livres d'occasion
Retour GRATUIT sous 14 jours.
Image to render

Revendez-le sur notre application!

Aller plus loin

Vous pouvez également aimer

Récemment consultés