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Le cri du peuple serie #1

Le Cri du peuple, tome 1 : Les Canons du 18 mars

Album - 24/09/2004 - Casterman

4.1

(274)

4.1

(274)

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Ces premières modulations du Cri du peuple, qui promet d'être tonitruant, ont déjà été largement récompensées : Les canons du 18 mars ont remporté le Prix Alph-Art du dessin et le Prix Alph-Art du public au festival d'Angoulême 2002. Le récit s'ouvre à l'aube de la Commune de Paris, alors que monte la rumeur de la révolte et de l'espoir du peuple. Le cadavre d'une femme, serrant dans sa main un oeil de verre portant le numéro 13, est découvert dans la Seine. Les polices secrètes mènent l'enquête tout en se livrant une guerre sans merci. Dans cette atmosphère survoltée et confuse, les protagonistes vont au-devant de leurs destins respectifs : Grondin a fait 20 ans de bagne et cherche celui dont il croit avoir endossé le crime. Théophile Mirecourt, le photographe, officie sur les barricades pour Le Cri du Peuple, le journal de Jules Vallès. Il se lie d'amitié avec le Capitaine Tarpagnan, qui lui-même risquera sa vie en tombant amoureux de "CafConc", une belle aperçue le temps d'un mouvement de foule... Ainsi une multitude de personnages se croisent, se cherchent, s'affrontent ou s'évitent, leurs destinées se mêlent et peu à peu l'intrigue se noue sur fond de barricades, au son des chants révolutionnaires et des cris de tous les Gavroches. Amazon.fr 18 mars 1871. Sur le coup de trois heures du matin, des hommes en armes montent à l'assaut des collines escarpées de la butte Montmartre. Dans cette nuit silencieuse, à peine troublée par la chute des flocons de neige qui meurent doucement sur le mauvais pavé parisien, la troupe vient prendre possession des canons de la Garde nationale. Ordre de Monsieur Thiers, le chef du gouvernement. L'époque est troublée. La guerre avec les Prussiens vient tout juste de s'éteindre. Pas question de laisser ces pièces d'artillerie entre les mains du peuple. Mais celui-ci ne l'entend pas ainsi. Et au lever du jour, tandis que les soldats tentent maladroitement de descendre les canons le long de la butte, Paris se réveille révolutionnaire. Cris, protestations, poings qui se lèvent : personne ne le sait encore, mais la Commune vit ses premières heures… Dans son roman Le Cri du peuple, publié en 1999, l'écrivain Jean Vautrin s'est fait le héraut de ce Paris communard. Un hommage au roman-feuilleton du XIXe siècle, plein de sève, de souffle et de passions, porté par une écriture haletante. Jacques Tardi, chargé d'en dessiner la couverture, est tombé amoureux de cette fresque vibrante et habitée. Justement, l'idée de raconter la Commune dans une bande dessinée le titillait depuis longtemps… Alors, adapter Vautrin, pourquoi pas ? Les Canons du 18 mars, premier des trois volumes prévus, est à coup sûr du grand Tardi. Le dessinateur laisse libre cours à son amour de la capitale, sa tendresse pour le petit peuple et son respect des grandes figures populaires comme Louise Michel ou l'écrivain Jules Vallès. Sans oublier son côté "anar", rebelle à l'autorité, qu'il partage avec les soldats perdus de la Commune. Le format horizontal, "à l'italienne", n'a pas été choisi par hasard : il permettra à Tardi, au fur et à mesure de l'avancement du récit, de raconter les combats de rues de la sinistre "Semaine sanglante", sous forme de double-pages spectaculaires. Mais assez de commentaire, et place à l'action : déjà, le grondement de colère du peuple parisien se fait entendre, en ce matin du 18 mars… --Gilbert Jacques Quatrième de couverture Ces premières modulations du Cri du peuple, qui promet d'être tonitruant, ont déjà été largement récompensées : Les canons du 18 mars ont remporté le Prix Alph-Art du dessin et le Prix Alph-Art du public au festival d'Angoulême 2002. Le récit s'ouvre à l'aube de la Commune de Paris, alors que monte la rumeur de la révolte et de l'espoir du peuple. Le cadavre d'une femme, serrant dans sa main un oeil de verre portant le numéro 13, est découvert dans la Seine. Les polices secrètes mènent l'enquête tout en se livrant une guerre s Afficher moins Afficher plus
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Le cri du peuple serie #1

Le Cri du peuple, tome 1 : Les Canons du 18 mars

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4.1

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Présentation de l'éditeur Ces premières modulations du Cri du peuple, qui promet d'être tonitruant, ont déjà été largement récompensées : Les canons du 18 mars ont remporté le Prix Alph-Art du dessin et le Prix Alph-Art du public au festival d'Angoulême 2002. Le récit s'ouvre à l'aube de la Commune de Paris, alors que monte la rumeur de la révolte et de l'espoir du peuple. Le cadavre d'une femme, serrant dans sa main un oeil de verre portant le numéro 13, est découvert dans la Seine. Les polices secrètes mènent l'enquête tout en se livrant une guerre sans merci. Dans cette atmosphère survoltée et confuse, les protagonistes vont au-devant de leurs destins respectifs : Grondin a fait 20 ans de bagne et cherche celui dont il croit avoir endossé le crime. Théophile Mirecourt, le photographe, officie sur les barricades pour Le Cri du Peuple, le journal de Jules Vallès. Il se lie d'amitié avec le Capitaine Tarpagnan, qui lui-même risquera sa vie en tombant amoureux de "CafConc", une belle aperçue le temps d'un mouvement de foule... Ainsi une multitude de personnages se croisent, se cherchent, s'affrontent ou s'évitent, leurs destinées se mêlent et peu à peu l'intrigue se noue sur fond de barricades, au son des chants révolutionnaires et des cris de tous les Gavroches. Amazon.fr 18 mars 1871. Sur le coup de trois heures du matin, des hommes en armes montent à l'assaut des collines escarpées de la butte Montmartre. Dans cette nuit silencieuse, à peine troublée par la chute des flocons de neige qui meurent doucement sur le mauvais pavé parisien, la troupe vient prendre possession des canons de la Garde nationale. Ordre de Monsieur Thiers, le chef du gouvernement. L'époque est troublée. La guerre avec les Prussiens vient tout juste de s'éteindre. Pas question de laisser ces pièces d'artillerie entre les mains du peuple. Mais celui-ci ne l'entend pas ainsi. Et au lever du jour, tandis que les soldats tentent maladroitement de descendre les canons le long de la butte, Paris se réveille révolutionnaire. Cris, protestations, poings qui se lèvent : personne ne le sait encore, mais la Commune vit ses premières heures… Dans son roman Le Cri du peuple, publié en 1999, l'écrivain Jean Vautrin s'est fait le héraut de ce Paris communard. Un hommage au roman-feuilleton du XIXe siècle, plein de sève, de souffle et de passions, porté par une écriture haletante. Jacques Tardi, chargé d'en dessiner la couverture, est tombé amoureux de cette fresque vibrante et habitée. Justement, l'idée de raconter la Commune dans une bande dessinée le titillait depuis longtemps… Alors, adapter Vautrin, pourquoi pas ? Les Canons du 18 mars, premier des trois volumes prévus, est à coup sûr du grand Tardi. Le dessinateur laisse libre cours à son amour de la capitale, sa tendresse pour le petit peuple et son respect des grandes figures populaires comme Louise Michel ou l'écrivain Jules Vallès. Sans oublier son côté "anar", rebelle à l'autorité, qu'il partage avec les soldats perdus de la Commune. Le format horizontal, "à l'italienne", n'a pas été choisi par hasard : il permettra à Tardi, au fur et à mesure de l'avancement du récit, de raconter les combats de rues de la sinistre "Semaine sanglante", sous forme de double-pages spectaculaires. Mais assez de commentaire, et place à l'action : déjà, le grondement de colère du peuple parisien se fait entendre, en ce matin du 18 mars… --Gilbert Jacques Quatrième de couverture Ces premières modulations du Cri du peuple, qui promet d'être tonitruant, ont déjà été largement récompensées : Les canons du 18 mars ont remporté le Prix Alph-Art du dessin et le Prix Alph-Art du public au festival d'Angoulême 2002. Le récit s'ouvre à l'aube de la Commune de Paris, alors que monte la rumeur de la révolte et de l'espoir du peuple. Le cadavre d'une femme, serrant dans sa main un oeil de verre portant le numéro 13, est découvert dans la Seine. Les polices secrètes mènent l'enquête tout en se livrant une guerre s Afficher moins Afficher plus
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