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Martin, Jacques

Jhen serie #6

Le Lys et l'Ogre

3.2

(27)

Audience : Jeunesse - Tous âges
Le Pitch
Dans ce sixième tome de la série Jhen, le jeune architecte Jhen de Bruges se retrouve mêlé à une intrigue politique et amoureuse lorsqu'il est chargé de construire un pont sur la Meuse. Entre complots et rivalités, Jhen devra faire preuve de courage et d'ingéniosité pour mener à bien sa mission. Dans un Moyen Âge tourmenté, il croisera la route de personnages historiques tels que Gilles de Rais. Une aventure captivante mêlant histoire, action et mystère. Afficher moinsAfficher plus

Martin, Jacques

Jhen serie #6

Le Lys et l'Ogre

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Le Pitch

Dans ce sixième tome de la série Jhen, le jeune architecte Jhen de Bruges se retrouve mêlé à une intrigue politique et amoureuse lorsqu'il est chargé de construire un pont sur la Meuse. Entre complots et rivalités, Jhen devra faire preuve de courage et d'ingéniosité pour mener à bien sa mission. Dans un Moyen Âge tourmenté, il croisera la route de personnages historiques tels que Gilles de Rais. Une aventure captivante mêlant histoire, action et mystère. Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
Jhen, tome 6 : Le Lys et l'Ogre
Editeur
Format
Album
Publication
04 mai 1993
Dessins
Pleyers, Jean
Scénario
Martin, Jacques
Série
Audience
Jeunesse - Tous âges
Pages
47
Taille
30.5 x 22.5 x 1 cm
Poids
414
ISBN-13
9782203322042

Contenu

4ème de couverture

Pour célébrer Jehanne de France, son ancien compagnon, le Connétable Gilles de Rais décide de monter à Orléans un grand spectacle retraçant l'épopée de la Pucelle. Jhen est chargé de l'organisation du spectacle. Le Roi Charles et son fils l'ombrageux Dauphin Louis, sont venus assister au spectacle. Mais si le Roi Charles file le parfait amour avec la jeune Agnès Sorel, le Dauphin, vexé par l'impétueux Gilles, lui tend un traquenard... Jhen pourra-t-il, une fois de plus, lui sauver la mise ?Biographie de l'auteurNé à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire. Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique. Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr. La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou. Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinées par un graphiste nommée Leblicq. C'est de cette association que naît le pseudonyme Marleb, obtenu par contraction de Martin et de Leblicq. Cette collaboration prend fin au bout d'un an, mais Jacques Martin n'en continue pas moins d'utiliser ce patronyme masqué. Jusqu'en 1948, il alterne les séries réalistes avec les séries humoristiques. Le premier récit à suivre, dessiné pour Bravo est Lamar, l'homme invisible qui s'apparente fort à Flash Gordon dont les aventures paraissaient également dans l'hebdomadaire. Dans la foulée, il crée Oeil de Perdrix, nouveau héros dont la première aventure, Le secret du Calumet fut directement publiée en album. Vers la même époque, il signe encore une autre série humoristique dont la première histoire s'intitule Le Hibou gris et qui est prépubliée simultanément dans deux quotidiens belges. Reprise l'année suivante dans un hebdomadaire (Story), il lui donne une suite, Le Sept de Trèfle qui peut être considéré comme un premier brouillon de ce que sera La Grande Menace. Toujours dans ce même intervalle de temps, paraît La Cité fantastique, une bande dessinée ayant pour thème la guerre. Dès 1946, Jacques Martin conçoit un projet de journal pour jeunes qu'il baptise Jaky. Malheureusement le numéro un de l'hebdomadaire Tintin est sur le point de s
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