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Les Barbares

3.1

(54)

Audience : Jeunesse - Tous âges
Le Pitch
Dans cet album de la série Alix, les héros sont envoyés en mission dans le fort d'Altum Rhenum, au Nord de l'Empire Romain. Ils se retrouvent impliqués dans une expédition périlleuse dirigée par le tribun Tullius Carbo, visant à récolter de l'ambre en mer Baltique. Mais les Barbares les guettent, et l'expédition tourne au drame. Nos héros devront lutter pour leur survie dans un récit mêlant aventure, mystère et action. Afficher moinsAfficher plus

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Le Pitch

Dans cet album de la série Alix, les héros sont envoyés en mission dans le fort d'Altum Rhenum, au Nord de l'Empire Romain. Ils se retrouvent impliqués dans une expédition périlleuse dirigée par le tribun Tullius Carbo, visant à récolter de l'ambre en mer Baltique. Mais les Barbares les guettent, et l'expédition tourne au drame. Nos héros devront lutter pour leur survie dans un récit mêlant aventure, mystère et action. Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
Alix - Tome 21 - Les Barbares
Editeur
Format
Album
Publication
30 juin 2000
Dessins
Moralès, Rafaël
Scénario
Martin, Jacques
Série
Audience
Jeunesse - Tous âges
Pages
48
Taille
29.9 x 22.7 x 0.8 cm
Poids
420
ISBN-13
9782203312210

Contenu

4ème de couverture

Envoyés en mission d'information dans le fort d'Altum Rhenum, dans l'extrême Nord de l'Empire Romain, Alix et Enak trouvent le fort en pleine effervescence. Une mystérieuse expédition se prépare. Poussé par le marchand Falcalus, le tribun Tullius Carbo va emmener une expédition sur la mer Baltique pour récolter de l 'ambre. Mais les Barbares guettent et leur tendent des embuscades meurtrières, l'expédition se termine en tragédie, et seuls nos héros et quelques hommes en reviendront vivants.Biographie de l'auteurNé à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire. Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique. Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr. La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou. Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinées par un graphiste nommée Leblicq. C'est de cette association que naît le pseudonyme Marleb, obtenu par contraction de Martin et de Leblicq. Cette collaboration prend fin au bout d'un an, mais Jacques Martin n'en continue pas moins d'utiliser ce patronyme masqué. Jusqu'en 1948, il alterne les séries réalistes avec les séries humoristiques. Le premier récit à suivre, dessiné pour Bravo est Lamar, l'homme invisible qui s'apparente fort à Flash Gordon dont les aventures paraissaient également dans l'hebdomadaire. Dans la foulée, il crée Oeil de Perdrix, nouveau héros dont la première aventure, Le secret du Calumet fut directement publiée en album. Vers la même époque, il signe encore une autre série humoristique dont la première histoire s'intitule Le Hibou gris et qui est prépubliée simultanément dans deux quotidiens belges. Reprise l'année suivante dans un hebdomadaire (Story), il lui donne une suite, Le Sept de Trèfle qui peut être considéré comme un premier brouillon de ce que sera La Grande Menace. Toujours dans ce même intervalle de temps, paraît La Cité fantastique, une bande dessinée ayant pour thème la guerre. Dès 1946, Jacques Martin conçoit un projet de journal pour jeunes qu'il baptise Jaky. Malheureusement le numéro un de l'hebdomadaire Tintin est sur le point de sortir, réunissant une impressionnante brochette de
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