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Martin, Jacques

Lefranc serie #29

La stratégie du chaos

3.7

(13)

Audience : Jeunesse - Tous âges
Le Pitch
Lefranc est envoyé en Australie pour couvrir les Jeux Olympiques de 1956. Bloqué par la météo, il rejoint en hydravion son ami athlète Jean Duval. Un incident les mène à bord d'un mystérieux navire du futur. Ils devront faire face à un complot mêlant technologies avancées et manipulations politiques. Afficher moinsAfficher plus

Martin, Jacques

Lefranc serie #29

La stratégie du chaos

3.7

(13)

13,50 €
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13,50 €

Le Pitch

Lefranc est envoyé en Australie pour couvrir les Jeux Olympiques de 1956. Bloqué par la météo, il rejoint en hydravion son ami athlète Jean Duval. Un incident les mène à bord d'un mystérieux navire du futur. Ils devront faire face à un complot mêlant technologies avancées et manipulations politiques. Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
Lefranc - Tome 29 - La Stratégie du Chaos
Editeur
Format
Album
Publication
11 avril 2018
Dessins
Régric
Scénario
Seiter, Roger
Série
Audience
Jeunesse - Tous âges
Pages
48
Taille
30.3 x 22.6 x 0.9 cm
Poids
402
ISBN-13
9782203123939

Contenu

4ème de couverture

Lefranc est envoyé en Australie afin de couvrir les J.O. de 1956, mais la météo et ses caprices l'empêchent de continuer sa route. Il accepte alors la proposition de son ami, l'athlète Jean Duval, de terminer le trajet en hydravion. Mais rien ne se passe comme prévu. Après un amerrissage forcé, Lefranc et le reste des naufragés sont recueillis par un immense bateau tout droit sorti du futur...Biographie de l'auteurNé à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire. Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique. Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr. La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou. Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinées par un graphiste nommée Leblicq. C'est de cette association que naît le pseudonyme Marleb, obtenu par contraction de Martin et de Leblicq. Cette collaboration prend fin au bout d'un an, mais Jacques Martin n'en continue pas moins d'utiliser ce patronyme masqué. Jusqu'en 1948, il alterne les séries réalistes avec les séries humoristiques. Le premier récit à suivre, dessiné pour Bravo est Lamar, l'homme invisible qui s'apparente fort à Flash Gordon dont les aventures paraissaient également dans l'hebdomadaire. Dans la foulée, il crée Oeil de Perdrix, nouveau héros dont la première aventure, Le secret du Calumet fut directement publiée en album. Vers la même époque, il signe encore une autre série humoristique dont la première histoire s'intitule Le Hibou gris et qui est prépubliée simultanément dans deux quotidiens belges. Reprise l'année suivante dans un hebdomadaire (Story), il lui donne une suite, Le Sept de Trèfle qui peut être considéré comme un premier brouillon de ce que sera La Grande Menace. T
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