En compagnie d'Alix, légendaire personnage de bande dessinée, découvrez Rome avec un autre regard. Les 10 itinéraires de ce guide vous feront voyager dans le temps, de la Rome antique à nos jours en passant par le Moyen Âge ou l'époque baroque. Reconstitution de temples, détails d'une façade, scènes du quotidien, combats de gladiateurs... au fil des illustrations, c'est toute l'histoire de Rome et de ses métamorphoses qui se dévoile et sert de trame à ces promenades. De fontaines en cloîtres cachés, partez à la recherche d'une inscription, d'une ruelle inconnue et percez, grâce aux magnifiques dessins originaux, les secrets de la ville éternelle, entre hier et aujourd'hui, entre histoire et imaginaire.Biographie de l'auteurAuteure et traductrice de nombreux ouvrages sur les voyages ou destinés à la jeunesse, Thérèse de Cherisey a parcouru l'Inde, le Tibet, la Grèce, l'Iran, la Chine, la Russie... Elle a un faible pour la culture et le mode de vie italiens, qu'elle goûte régulièrement lors de ses fréquents séjours en Toscane ou à Rome. Elle a traduit et adapté un grand nombre d'ouvrages Lonely Planet (Italie, Sicile et Rome) et coécrit le guide d'itinéraires Paris à pied et à vélib (Lonely Planet, 2008). On lui doit, en collaboration avec une illustratrice, plusieurs livres sur l'Antiquité destinés aux enfants chez Larousse : Légendes de la Mythologie (2005), La mythologie (2005), Larousse junior de l'Egypte (2004).Né à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire. Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique. Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr. La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou. Durant les t
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