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La cité engloutie

3.1

(23)

Audience : Jeunesse - Tous âges
Le Pitch
Dans cet épisode de la série Alix, le jeune héros romain part en Armorique pour retrouver des légionnaires disparus. Il devra faire face à la fois à des dangers réels et aux machinations des druides celtes. Cette aventure mettra en lumière les tensions entre la civilisation romaine et le monde celtique, ainsi que les questionnements d'Alix sur ses origines et son appartenance. Une plongée captivante dans l'Antiquité, mêlant action, mystère et réflexion. Afficher moinsAfficher plus

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Le Pitch

Dans cet épisode de la série Alix, le jeune héros romain part en Armorique pour retrouver des légionnaires disparus. Il devra faire face à la fois à des dangers réels et aux machinations des druides celtes. Cette aventure mettra en lumière les tensions entre la civilisation romaine et le monde celtique, ainsi que les questionnements d'Alix sur ses origines et son appartenance. Une plongée captivante dans l'Antiquité, mêlant action, mystère et réflexion. Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
Alix - Tome 28 - La Cité engloutie
Editeur
Format
Album
Publication
08 mai 2009
Dessins
Ferry
Scénario
Weber, Patrick
Scénario
Martin, Jacques
Série
Audience
Jeunesse - Tous âges
Pages
48
Taille
30.2 x 22.7 x 0.9 cm
Poids
406
ISBN-13
9782203012189

Contenu

4ème de couverture

Des légionnaires ont mystérieusement disparu dans les profondes forêts d'Armorique. Et ce n'est pas une bonne nouvelle pour Rome. Si les Celtes, en effet, n'ont pas réussi à vaincre par les armes leurs adversaires romains, ils ont choisi de poursuivre la lutte par le biais des croyances. Grande est la puissance de leur religion, de leurs dieux, et surtout de leurs druides, dépositaires d'un savoir très élaboré où la pharmacopée occupe une place centrale. En dépit des superstitions attachées à la religion des peuples celtes, et aux pouvoirs magiques que l'on prête aux druides, Alix part sur les traces des soldats disparus. Mais, ce faisant, c'est aussi à sa propre histoire que le jeune homme est bientôt confronté. Quelles seront les réactions d'un fils de Gaule adopté par la Louve romaine face à ce qui ressemble à un complot des ennemis de César ? Comment mener à bien pareille mission en terre d'Armorique lorsqu'on est, comme Alix, le produit complexe de deux cultures aussi dissemblables? Pour Alix commence une aventure difficile, éprouvante. Dans une ambiance baignée de mystère, c'est bientôt le choc frontal entre les fils de la «civilisation» et ceux de la «forêt». La tension monte, jusqu'à l'affrontement final au milieu des éléments déchaînés.Biographie de l'auteurNé à Strasbourg en 1921, sous le signe de la Balance, Jacques Martin découvre très tôt la bande dessinée au travers des grands albums allongés de Buster Brown, par Richard F. Outcault, publiés chez Hachette. C'est au verso de ces pages qu'il fait ses premiers dessins ; la plupart représentant des avions (son père était aviateur) ou des personnages moyenâgeux. Cette passion pour le dessin naît en même temps qu'un goût immodéré pour l'Histoire. Son enfance chaotique se passe à cultiver ces deux jardins secrets en travaillant sans relâche à la maîtrise des techniques du dessin et à l'apprentissage de sa science de prédilection. Désireux d'entrer aux Beaux-Arts, dans l'optique de faire du dessin un métier, il ne parvient toutefois pas à concrétiser pleinement ce rêve. En effet, sa mère et ses tuteurs officiels l'orientent d'autorité vers les Arts et Métiers, où il reçoit un enseignement purement technique. Il en reconnaîtra lui-même plus tard l'utilité, contraint qu'il fut de se rompre aux rudiments de la perspective et de la descriptive. Cette première formation n'est sûrement pas étrangère à la rigueur obstinée dont Jacques Martin a fait preuve tout au long de son oeuvre et qui a probablement contribué à en faire l'un des trois principaux représentants de l'école dite « de Bruxelles », les deux autres étant Hergé et Jacobs bien sûr. La critique a légitimement rapproché le travail de ces trois auteurs qui, en plus de s'être beaucoup fréquentés et d'avoir collaboré en maintes occasions, partagent un idéal artistique fait de réalisme, de probité et de minutie. Une demi génération sépare Jacques Martin de ses prestigieux aînés. Il ne commence à publier qu'à partir de 1946, dans l'hebdomadaire Bravo où il crée, un peu par hasard, Monsieur Barbichou. Durant les trois années qui suivent, il multiplie les collaborations éphémères avec des publications bruxelloises et wallonnes conjuguant l'art de la bande dessinée et celui de l'illustration. Dans l'impossibilité de faire face à tous ses engagements, il se fait assister pour les décors et la mise en couleur de ses bandes dessinées par un graphiste nommée Leblicq. C'est de cette association que naît le pseudonyme Marleb, obtenu par contraction de Martin et de Leblicq. Cette collaboration prend fin au bout d'un an, mais Jacques Martin n'en continue pas moins d'utiliser ce patronyme masqué. Jusqu'en 1948, il alterne les séries réalistes avec les séries humoristiques. Le premier récit à suivre, dessiné pour Bravo est Lamar, l'homme invisible qui s'apparente fort à Flash Gordon dont les aventures paraissaient également dans l'hebdomadaire. Dans la foulée, il crée Oeil de Perdrix, nouveau héros dont
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Auteur

Ferry / Jacques Martin / Patrick Weber
Livré entre : 8 décembre - 11 décembre
Livraison gratuite (FR et BE) à partir de 20,00 € de livres d'occasion
Retour GRATUIT sous 14 jours.
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