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Une histoire des parents d'écrivains

3.4

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Audience : Adulte - Haut niveau
Le Pitch
Dans la lignée de l'Histoire des haines d'écrivains, Etienne Kern nous plonge avec verve et une pluie d'anecdotes dans l'intimité des familles des écrivains du XIXe et du XXe siècle. Il explore les réactions des parents face à la vocation littéraire de leurs enfants, entre incompréhension, soutien inconditionnel, fierté et déception. Des mères désespérées aux pères fiers, des jugements sévères aux encouragements cocasses, ce livre nous offre un regard inédit sur l'impact de la littérature sur la vie familiale. Afficher moinsAfficher plus

Une histoire des parents d'écrivains

3.4

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19,30 €
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Le Pitch

Dans la lignée de l'Histoire des haines d'écrivains, Etienne Kern nous plonge avec verve et une pluie d'anecdotes dans l'intimité des familles des écrivains du XIXe et du XXe siècle. Il explore les réactions des parents face à la vocation littéraire de leurs enfants, entre incompréhension, soutien inconditionnel, fierté et déception. Des mères désespérées aux pères fiers, des jugements sévères aux encouragements cocasses, ce livre nous offre un regard inédit sur l'impact de la littérature sur la vie familiale. Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
Une histoire des parents d'écrivains: de Balzac à Marguerite Duras
Editeur
Format
Broché
Publication
02 octobre 2010
Auteur
Boquel, Anne
Audience
Adulte - Haut niveau
Pages
324
Taille
21.9 x 13.4 x 2.1 cm
Poids
326
ISBN-13
9782081228337

Contenu

4ème de couverture

Dans la lignée de l'Histoire des haines d'écrivains, avec la même verve et une pluie d'anecdotes, ce livre raconte comment les parents d'écrivains du XIXe et du XXe siècle ont réagi à la vocation de leurs rejetons. Pour beaucoup, qui rêvaient d'un métier sérieux ou d'un avenir solide, c'est la disgrâce absolue : Jules Renard n'est qu'un « chieur d'encre » aux yeux de sa mère ; le père de Nerval finit par rompre avec lui. Quant à la mère de Marguerite Duras, elle se désespère : « Tu es faite pour le commerce ! » Car, insiste Mme Gide, il faut bien trouver de quoi « mettre la poule au pot ». D'autres encore sont scandalisés, ou s'agacent d'une imagination jugée débordante. « Poulou n'a rien compris à son enfance », s'écrie la mère de Sartre après avoir lu Les Mots. Certes, tous les parents n'ont pas été hostiles : Honoré a souffert sa vie durant de ses rapports avec la terrible Mme Balzac, qui exécrait ses premiers romans, mais il a eu le réconfort d'être le fils de son père ; un Théophile Gautier, une Marguerite Yourcenar ont été encouragés dès l'affirmation de leur vocation. Ce soutien frôle parfois la cocasserie pure : quand, emporté par l'inspiration, Lamartine célébra dans un poème le lierre majestueux, mais imaginaire, qui recouvrait la maison familiale, sa mère s'empressa d'en planter un, afin que nul ne pût prendre Alphonse en défaut... Peur de la déchéance sociale, fierté face au succès, rejet d'un milieu qu'on connaît mal, incrédulité, dévotion ou indifférence : souvent savoureuses, ces réactions à l'irruption de la littérature dans une vie nous font plonger dans l'intimité de ces familles à la fois si lointaines et si proches.Biographie de l'auteurProfesseur en classes préparatoires, Étienne Kern est l'auteur de plusieurs essais en collaboration avec Anne Boquel, dont Une histoire des haines d'écrivains et Les plus jolies fautes de français de nos grands écrivains.
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Livré entre : 14 décembre - 19 décembre
Livraison gratuite (FR) à partir de 35,00 € de livres neufs
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