Passer au contenu
Mon compte
Wishlist
Panier 00:00

la barbarie ordinaire

4.5

(7)

Audience : Adulte - Grand Public
Le Pitch
Alain Finkielkraut interroge le rôle de la mémoire, de l'art et de la culture dans les situations extrêmes, en s'appuyant notamment sur le témoignage du peintre Zoran Music, déporté à Dachau. Comment ces déportés ont-ils fait face à l'indicible ? Quelle était la puissance de la mémoire et de l'art contre la barbarie nazie ? Finkielkraut soulève ces questions et interroge leur pertinence dans notre modernité, marquée par des défis éthiques majeurs. Un texte poignant et intellectuellement stimulant. Afficher moinsAfficher plus

la barbarie ordinaire

4.5

(7)

6,45 €
15,25 € -57%
Sélectionnez la condition
 
Il ne reste plus que 1 exemplaire(s) en stock
6,45 €
15,25 € -57%

Le Pitch

Alain Finkielkraut interroge le rôle de la mémoire, de l'art et de la culture dans les situations extrêmes, en s'appuyant notamment sur le témoignage du peintre Zoran Music, déporté à Dachau. Comment ces déportés ont-ils fait face à l'indicible ? Quelle était la puissance de la mémoire et de l'art contre la barbarie nazie ? Finkielkraut soulève ces questions et interroge leur pertinence dans notre modernité, marquée par des défis éthiques majeurs. Un texte poignant et intellectuellement stimulant. Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
La Barbarie ordinaire
Auteur
Editeur
Format
Broché
Publication
14 février 2001
Audience
Adulte - Grand Public
Pages
176
Taille
23.6 x 18.4 x 0.8 cm
Poids
187
ISBN-13
9782070760947

Contenu

4ème de couverture

Plutarque raconte que, des sept mille Athéniens faits prisonniers durant les guerres de Sicile, échappèrent aux travaux forcés dans les latomies, et donc à la mort, ceux qui surent réciter à leurs vainqueurs Grecs comme eux, quelques vers d'Euripide.Les nazis n'appliquèrent pas ce trait de clémence antique aux déportés des camps. Citer Goethe ou Schiller ne fut à ces derniers d'aucun secours.Pourtant la mémoire - la culture - joua un rôle majeur dans le destin des déportés. Savoir par coeur un poème met à l'abri du désastre. Ce que l'on garde en esprit, aucune Gestapo, aucune Guépéou, aucune C.I.A. ne peut vous le retirer.En septembre 1944, le peintre Zoran Music est déporté à Dachau. Il y réalise, au risque de sa vie, une centaine de dessins décrivant ce qu'il voit : les scènes de pendaison, les fours crématoires, les cadavres empilés par dizaines, c'est-à-dire l'indescriptible.Plus que la formule trop citée d'Adorno sur Auschwitz, la question que pose ce livre est la suivante : que pouvait alors la mémoire contre la mort, l'art contre l'indicible ? Non pas "après", mais dans le quotidien de la vie des camps ? Que peut-elle aujourd'hui dans une modernité qui, par son déni de la culture au nom de l'égalitarisme, et par sa tentation, au nom du progrès biologique, de légaliser l'euthanasie et l'eugénisme, semble souscrire au nomos de la vie concentrationnaire même ?
Feuilleter le livre
Livré entre : 10 décembre - 13 décembre
Livraison gratuite (FR et BE) à partir de 20,00 € de livres d'occasion
Retour GRATUIT sous 14 jours.
Image to render

Revendez-le sur notre application!

Aller plus loin

Vous pouvez également aimer

Récemment consultés