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Gary, Romain

Frère Océan serie #2

La danse de Gengis Cohn

3.5

(174)

Audience : Adulte - Grand Public
Le Pitch
Dans ce roman de Romain Gary, l'auteur nous plonge dans une histoire à la fois tragique et burlesque. Gengis Cohn, un comique juif, raconte son incroyable destin : de sa renommée dans les cabarets yiddish à sa déportation à Auschwitz, en passant par sa fuite miraculeuse. Recueilli par l'ancien SS Schatz, devenu commissaire de police, il vit caché depuis plus de vingt ans. Une relation complexe se noue entre les deux hommes, mêlant culpabilité, amitié et manipulation. Gary aborde avec finesse les thèmes de l'identité, de la mémoire et de la rédemption, dans un récit à la fois poignant et empreint d'humour noir. Afficher moinsAfficher plus

Gary, Romain

Frère Océan serie #2

La danse de Gengis Cohn

3.5

(174)

10,00 €
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10,00 €

Le Pitch

Dans ce roman de Romain Gary, l'auteur nous plonge dans une histoire à la fois tragique et burlesque. Gengis Cohn, un comique juif, raconte son incroyable destin : de sa renommée dans les cabarets yiddish à sa déportation à Auschwitz, en passant par sa fuite miraculeuse. Recueilli par l'ancien SS Schatz, devenu commissaire de police, il vit caché depuis plus de vingt ans. Une relation complexe se noue entre les deux hommes, mêlant culpabilité, amitié et manipulation. Gary aborde avec finesse les thèmes de l'identité, de la mémoire et de la rédemption, dans un récit à la fois poignant et empreint d'humour noir. Afficher moinsAfficher plus

Détails du livre

Titre complet
La Danse de Gengis Cohn
Auteur
Editeur
Format
Poche
Publication
14 juin 1995
Série
Audience
Adulte - Grand Public
Pages
352
Taille
17.7 x 11 x 1.5 cm
Poids
186
ISBN-13
9782070393022

Contenu

4ème de couverture

"Mon nom est Cohn, Gengis Cohn. Naturellement, Gengis est un pseudonyme : mon vrai prénom était Moïché, mais Gengis allait mieux avec mon genre de drôlerie. Je suis un comique juif et j'étais très connu jadis, dans les cabarets yiddish : d'abord au Schwarze Schickse de Berlin, ensuite au Motke Ganeff de Varsovie, et enfin à Auschwitz. [...]Personnellement, je ne suis pas resté dans ce camp illustre. Je m'en suis miraculeusement évadé, en décembre 1943, Dieu soit loué. Mais je fus repris quelques mois plus tard, par un détachement de SS sous les ordres du Hauptjudenfresser Schatz, que j'appelle Schatzchen dans l'intimité : un terme câlin qui veut dire "petit trésor", en allemand. Mon ami est maintenant commissaire de police de première classe, ici, à Licht. [...]Nous ne nous sommes plus quittés, Schatzchen et moi, depuis cette belle journée d'avril 1944. Schatz m'a hébergé : voilà bientôt vingt-deux ans qu'il cache un Juif chez lui."Biographie de l'auteurRomain Gary, né Roman Kacew à Vilnius en 1914, est élevé par sa mère qui place en lui de grandes espérances, comme il le racontera dans La promesse de l'aube. Pauvre, "cosaque un peu tartare mâtiné de juif", il arrive en France à l'âge de quatorze ans et s'installe avec sa mère à Nice. Après des études de droit, il s'engage dans l'aviation et rejoint le général de Gaulle en 1940. Son premier roman, Éducation européenne, paraît avec succès en 1945 et révèle un grand conteur au style rude et poétique. La même année, il entre au Quai d'Orsay. Grâce à son métier de diplomate, il séjourne à Sofia, New York, Los Angeles, La Paz. En 1948, il publie Le grand vestiaire, et reçoit le prix Goncourt en 1956 pour Les racines du ciel. Consul à Los Angeles, il quitte la diplomatie en 1960, écrit Les oiseaux vont mourir au Pérou (Gloire à nos illustres pionniers) et épouse l'actrice Jean Seberg en 1963. Il fait paraître un roman humoristique, Lady L., se lance dans de vastes sagas : La comédie américaine et Frère Océan, rédige des scénarios et réalise deux films. Peu à peu les romans de Gary laissent percer son angoisse du déclin et de la vieillesse : Au-delà de cette limite votre ticket n'est plus valable, Clair de femme. Jean Seberg se donne la mort en 1979. En 1980, Romain Gary fait paraître son dernier roman, Les cerfs-volants, avant de se suicider à Paris en décembre. Il laisse un document posthume où il révèle qu'il se dissimulait sous le nom d'Émile Ajar, auteur d'ouvrages majeurs : Gros-Câlin, La vie devant soi, qui a reçu le prix Goncourt en 1975, Pseudo et L'angoisse du roi Salomon.
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