La Porte des Larmes. Retour vers l'Abyssinie

Name: La Porte des Larmes. Retour vers l'Abyssinie
Brand: Depardon, Raymond
SKU: AV-9782020259309
Price: 5.77 EUR
Availability: OutOfStock
Rating: 4.5 (20 reviews)

4.5

(20)

Audience : Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur "Retour, mais vers quoi ? Revenir sur ses pas, mais dans quel but ? La vérité est que tous deux avons partie liée depuis longtemps avec ces confins de l'Afrique et de l'Arabie; cette Corne fameuse qui, des sables de Mersa Tekle au cap des Aromates, des splendeurs haut perchées du Wollo abyssin aux sauvageries bantoues de la vallée de l'Omo, dessine comme un accent circonflexe coiffant l'Afrique orientale. A chacun son initiation. La mienne fut éthiopienne. Et cruelle : le monde était effectivement méchant. On pouvait y mourir au pied des maisons où festoyaient les riches. Pendant dix années au moins, cette Corne fut, pour moi, le canton privilégié d'une géographie personnelle, quelque chose comme un secret personnel, un lieu fondateur où je reviens sans cesse. Dix fois, quinze fois ... Aucun ailleurs, nulle partie du monde, aucun lieu ne compta dans ma vie autant que celui-là. J'ai toujours su qu'un jour je repartirais vers l'Abyssinie." J.-C. G. "Longtemps après ma première visite en Ethiopie, j'ai gardé une joie douce et un peu mystérieuse en pensant à ce pays unique, pudique et mélancolique. C'était au milieu des années soixante. Je suivais la reine Elisabeth en visite officielle dans cette Abyssinie féodale. Par la suite, les voyages ne furent que prétextes pour retrouver cette sensation et revoir cette Ethiopie. Aujourd'hui, en remontant la route historique, ma nostalgie a disparu. J'ai découvert un pays en paix, un pays nouveau, enfin débarrassé de son passé douloureux." R.D. Amazon.fr Jean-Claude Guillebaud, Raymond Depardon. Le premier est écrivain et essayiste, le second est cinéaste et photographe chez Magnum. Tous deux ont entretenu longtemps un rapport particulier avec l'Ethiopie, cette corne fameuse qui, des sables de Mersa Tekle au cap des Aromates, des splendeurs haut perchées du Wollo abyssin aux sauvageries bantoues de la vallée de l'Omo, dessine comme un accent circonflexe coiffant l'Afrique orientale. La Porte des Larmes est un retour vers l'Abyssinie, une rencontre de deux personnalités, imprégnées par ce bout du monde. Cependant que l'écrivain, au fil des tours et détours à travers le pays, se rappelle ses souvenirs vieux de quelque vingt ans, le photographe saisit, dans une Ethiopie plus rurale qu'urbaine, ce qui semble immuable, malgré les guerres, les bouleversements politiques. Corvées d'eau et de bois de chauffe, sourire innocent de jeunes adolescentes, matinée brumeuse à Addis-Abeba, petit barrage sur la rivière Mehô, carrioles aux roues caoutchoutées, misère noirâtre des bicoques... --Céline Darner Afficher moinsAfficher plus

Depardon, Raymond

La Porte des Larmes. Retour vers l'Abyssinie

4.5

(20)

9,95 €

Le Pitch

Présentation de l'éditeur "Retour, mais vers quoi ? Revenir sur ses pas, mais dans quel but ? La vérité est que tous deux avons partie liée depuis longtemps avec ces confins de l'Afrique et de l'Arabie; cette Corne fameuse qui, des sables de Mersa Tekle au cap des Aromates, des splendeurs haut perchées du Wollo abyssin aux sauvageries bantoues de la vallée de l'Omo, dessine comme un accent circonflexe coiffant l'Afrique orientale. A chacun son initiation. La mienne fut éthiopienne. Et cruelle : le monde était effectivement méchant. On pouvait y mourir au pied des maisons où festoyaient les riches. Pendant dix années au moins, cette Corne fut, pour moi, le canton privilégié d'une géographie personnelle, quelque chose comme un secret personnel, un lieu fondateur où je reviens sans cesse. Dix fois, quinze fois ... Aucun ailleurs, nulle partie du monde, aucun lieu ne compta dans ma vie autant que celui-là. J'ai toujours su qu'un jour je repartirais vers l'Abyssinie." J.-C. G. "Longtemps après ma première visite en Ethiopie, j'ai gardé une joie douce et un peu mystérieuse en pensant à ce pays unique, pudique et mélancolique. C'était au milieu des années soixante. Je suivais la reine Elisabeth en visite officielle dans cette Abyssinie féodale. Par la suite, les voyages ne furent que prétextes pour retrouver cette sensation et revoir cette Ethiopie. Aujourd'hui, en remontant la route historique, ma nostalgie a disparu. J'ai découvert un pays en paix, un pays nouveau, enfin débarrassé de son passé douloureux." R.D. Amazon.fr Jean-Claude Guillebaud, Raymond Depardon. Le premier est écrivain et essayiste, le second est cinéaste et photographe chez Magnum. Tous deux ont entretenu longtemps un rapport particulier avec l'Ethiopie, cette corne fameuse qui, des sables de Mersa Tekle au cap des Aromates, des splendeurs haut perchées du Wollo abyssin aux sauvageries bantoues de la vallée de l'Omo, dessine comme un accent circonflexe coiffant l'Afrique orientale. La Porte des Larmes est un retour vers l'Abyssinie, une rencontre de deux personnalités, imprégnées par ce bout du monde. Cependant que l'écrivain, au fil des tours et détours à travers le pays, se rappelle ses souvenirs vieux de quelque vingt ans, le photographe saisit, dans une Ethiopie plus rurale qu'urbaine, ce qui semble immuable, malgré les guerres, les bouleversements politiques. Corvées d'eau et de bois de chauffe, sourire innocent de jeunes adolescentes, matinée brumeuse à Addis-Abeba, petit barrage sur la rivière Mehô, carrioles aux roues caoutchoutées, misère noirâtre des bicoques... --Céline Darner Afficher moinsAfficher plus