Le Pitch
Présentation de l'éditeur
C’est difficile d’y croire mais si ! Ce tome est bien le dernier de la série ! Et si notre cœur est loin d’être à la fête, Tsukasa Hojo a réservé à nos héros un grand moment de bonheur. Après plusieurs années de vie commune, Umibozu s’est enfin décidé à épouser la belle Miki. rappelons toutde même que nous sommes dans City Hunter et que les chances que la cérémonie se déroule tranquillement sont quasi nulles. Surtout quand on sait que d’anciens ennemis mercenaires ont décidé de participer aux festivités.
Revue de presse
Et voilà, même les meilleures choses ont une fin, ce trente deuxième tome marque la fin de cette grande série, culte s’il en est : City Hunter ! Panini aura permis aux plus jeunes de découvrir (et aux autres de redécouvrir)cette série dans une édition d’une tout autre qualité que celle de J’ai Lu.On a là une belle fin mais en toute franchise on aurait pu s’attendre à une fin un peu plus épique. La première partie, occupant la moitié du tome, est une histoire pas tout à fait classique, mais pas non plus révolutionnaire par rapport à ce que l’on connaît déjà du titre.On découvre donc la fin de l’histoire qui oppose Mick à Ryo pour le titre de City hunter, et accessoirement pour l’association (le cœur ?) de Kaori.C’est l’occasion pour l’auteur de s’amuser à multiplier les délires avec cette fois non pas un, mais deux pervers, mais également de s’approfondir sur le personnage de Mick, décidément très attachant, mais aussi et surtout sur le lien de confiance unissant Ryo et Kaori. Un lien que les rancunes et les petites disputes ne sauraient émousser, un lien de confiance qui prouve que malgré sa bonne volonté, Mick ne saurait être le partenaire idéale pour Kaori. Nos deux héros se complètent et anticipent les actions de l’autre…ils sont les seuls à ne pas remarquer que cette osmose va au delà de la confiance entre partenaire professionnelle… mais ça y est, à l’issue de cette histoire, ils cessent enfin de se voiler la face sans se l’avouer mutuellement pour autant.Et donc la seconde partie sera la dernière, et comment mieux finir que par un événement de l’ampleur d’un mariage…mais pas de ceux qu’on pourrait croire ! La plupart des personnages importants de la série sont donc là, pour célébrer cet heureux évènements, mais aussi pour permettre aux lecteurs de célébrer la fin de la série avec ceux qu’ils ont suivis durant de longues années (là aussi une relation de confiance, malgré quelques coups de gueules, mais une relation forte).Évidemment les choses ne se passent pas comme elles auraient du, et le titre se termine donc dans le ton adéquat, où Ryo et Umibozu forment la parfaite alliance, presque du fan service, mais cela fait tellement plaisir à voir !Les dernières pages seront sans un seul texte, on observe la situation des personnages, on comprend ce qu’ils sont devenus, ce qu’ils vont devenir, et ça y est, on tourne la dernière page et il n’y a plus rien…City Hunter est terminé !Un dernier mokkori pour rendre hommage à cette série qui nous aura fait vivre tant de grands moments, que ce soit des instants de fous rires ou des moments d ‘émotions allant jusqu’au larmes !
erkael (Critique de www.manga-news.com)
Biographie de l'auteur
Tsukasa Hojo est né en 1959 à Kokura. Il décide de tenter sa chance dans le manga alors qu'il est à l'université. Il envoie ainsi sa première histoire, Space Angel, au concours Tezuka, organisé par le magazine Shonen Jump (Shueisha). et gagne le second prix. Un succès qui lui permet de signer un contrat avec l'éditeur et de débuter sa carrière professionnelle en 1980 avec le titre Je suis un homme ! L'année suivante, Hojo entame sa première série majeure : Cats Eye. Il acquiert rapidement une renommée internationale et à peine deux ans plus tard, en 1983, la série est adaptée en dessin animé. En 1985. Hojo lance City Hunter, et cette fois encore, le succès est au rendez-vous. Le manga est tellement populaire qu'il est rapidemen
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