Emmène-moi là-bas

Name: Emmène-moi là-bas
Brand: Ramolet, David
SKU: AV-9782368030905
Price: 99.0 EUR
Availability: OutOfStock
Rating: 3.9 (3 reviews)

3.9

(3)

Audience : Adulte - Grand Public

Le Pitch

PrésentationAutomne 1975. Une petite maison perdue dans un faubourg de Chartres, un jardin qui jouxte la voie de chemin de fer, une salle de séjour aux parfums rassurants et la tendresse de Solange. Du haut de ses six ans, le p’tit Pierrot adore ces instants. Mais au cœur de ce havre, le p’tit Pierrot va un jour découvrir un fusil de guerre allemand. L’enfant a bien malgré lui réveillé les souvenirs… Automne 2015. Pierre Bourcier a tout perdu : son innocence, ses amours, ses racines, son envie de vivre. Lorsqu’il traverse par hasard la ville de son enfance, il croise Georges, le fils de Solange. Au fil des confidences et afin de redonner à Pierre le goût à l’existence, le vieil homme laisse tomber sa garde. Il livre pour la première fois de sa vie ses souvenirs d’adolescent, ses 15 ans au milieu de la tourmente. ,CommentairesEmmène-moi là-bas est ce qu’on pourrait appeler une biographie arrangée puisqu’elle est librement inspirée de l’histoire du chartrain Henri Ramolet, résistant à 15 ans et déporté dans le camp de Buchenwald en Aout 1944… Emmène-moi là-bas raconte les souvenirs d’un homme qui s’est longtemps obstiné à perdre la mémoire dans le seul but d’exister mais qui, après bien des réticences douloureuses, s’aperçoit qu’il ne peut quitter ce monde sans témoigner de l’enfer gravé au fond de lui. Ce roman dévoile une vérité tue depuis près de 70 ans : les véritable et très peu nombreux résistants, les rares ayant survécu, les prisonniers (aussi rares) déportés et revenus vivants des camps, qu'ont ils pensé en découvrant une France en liesse ? Qu'ont-ils souffert au fond de leur corps et de leur âme lorsqu'ils ont vu les "résistants de la dernière heure" défiler, parader ? Et souvent maltraiter les supposées collaboratrices et même tuer parfois quelques prisonniers allemands. La vérité, c'est que ces hommes ayant vécu l'enfer de la déportation, ces véritables porteurs de l'honneur de la France, ont eu honte. Eux qui avaient vu leurs camarades mourir dans les camps, dans les wagons, ne se reconnaissaient pas dans ce pays. Et il aura fallu de nombreuses années avant que les langues se délient. Afficher moinsAfficher plus

Ramolet, David

Emmène-moi là-bas

3.9

(3)

14,45 €

18,00 € -19%

Le Pitch

PrésentationAutomne 1975. Une petite maison perdue dans un faubourg de Chartres, un jardin qui jouxte la voie de chemin de fer, une salle de séjour aux parfums rassurants et la tendresse de Solange. Du haut de ses six ans, le p’tit Pierrot adore ces instants. Mais au cœur de ce havre, le p’tit Pierrot va un jour découvrir un fusil de guerre allemand. L’enfant a bien malgré lui réveillé les souvenirs… Automne 2015. Pierre Bourcier a tout perdu : son innocence, ses amours, ses racines, son envie de vivre. Lorsqu’il traverse par hasard la ville de son enfance, il croise Georges, le fils de Solange. Au fil des confidences et afin de redonner à Pierre le goût à l’existence, le vieil homme laisse tomber sa garde. Il livre pour la première fois de sa vie ses souvenirs d’adolescent, ses 15 ans au milieu de la tourmente. ,CommentairesEmmène-moi là-bas est ce qu’on pourrait appeler une biographie arrangée puisqu’elle est librement inspirée de l’histoire du chartrain Henri Ramolet, résistant à 15 ans et déporté dans le camp de Buchenwald en Aout 1944… Emmène-moi là-bas raconte les souvenirs d’un homme qui s’est longtemps obstiné à perdre la mémoire dans le seul but d’exister mais qui, après bien des réticences douloureuses, s’aperçoit qu’il ne peut quitter ce monde sans témoigner de l’enfer gravé au fond de lui. Ce roman dévoile une vérité tue depuis près de 70 ans : les véritable et très peu nombreux résistants, les rares ayant survécu, les prisonniers (aussi rares) déportés et revenus vivants des camps, qu'ont ils pensé en découvrant une France en liesse ? Qu'ont-ils souffert au fond de leur corps et de leur âme lorsqu'ils ont vu les "résistants de la dernière heure" défiler, parader ? Et souvent maltraiter les supposées collaboratrices et même tuer parfois quelques prisonniers allemands. La vérité, c'est que ces hommes ayant vécu l'enfer de la déportation, ces véritables porteurs de l'honneur de la France, ont eu honte. Eux qui avaient vu leurs camarades mourir dans les camps, dans les wagons, ne se reconnaissaient pas dans ce pays. Et il aura fallu de nombreuses années avant que les langues se délient. Afficher moinsAfficher plus